J'ai eu des douleurs comme ça quelques jours avant d'accoucher...Bon la cigogne de @Lullalynne a du se perdre en chemin mais au moins j'ai pu profiter de ma journée rien ne change pour moi, des douleurs de rÚgles plus ou moins fortes et c'est tout pour le moment. En attendant, j'espÚre que je vais mieux dormir que la nuit derniÚre !
Je suis vraiment surprise que ces pratiques aient encore cours (que les obstĂ©triciens se "pointent" pour sortir bĂ©bĂ© et ainsi toucher leur chĂšque en cochant l'acte rĂ©alisĂ©). J'ai connu ça il y a 20 ans pendant mes Ă©tudes, j'espĂ©rais que ça ne se faisait plus...Jâai vu avec ma sage-femme, jâai moyen de soudoyer les sages-femmes qui seront lĂ le jour de mon accouchement (avec du chocolat Ă©videmment) pour quâelles prĂ©viennent lâobstĂ©tricien trop tard si câest un que je ne veux pas (Oui clinique privĂ©e, tous les accouchements sont faits par les mĂ©decins et câest lĂ oĂč je travaille donc je les connais tous ).
Les cliniques privĂ©es paient le personnel avec l'argent du service publique ?Pourquoi l'assurance maladie tolĂšre t'elle encore qu'on fasse intervenir un spĂ©cialiste de la pathologie de l'accouchement quand ce n'est pas indiquĂ©? Cet argent offert aux gynĂ©cologues pourrait ĂȘtre tellement mieux utilisĂ© pour la santĂ© des femmes, pour la santĂ© publique
J'imagine qu'il y a au moins un minimum pris en charge par la sécu. Et comme j'espÚre qu'on ne demande pas à un bureaucrate aprÚs coup de dire si oui ou non l'obstétricien était nécessaire et bah il doit y avoir de la prise en charge.Les cliniques privées paient le personnel avec l'argent du service publique ?
Bien sûr!Les cliniques privées paient le personnel avec l'argent du service publique ?
La tarification à l'activité constitue un mode de financement qui vise à la mise en place d'un cadre unique de facturation et de paiement des activités hospitaliÚres des établissements de santé, qu'ils soient publics ou privés, quels que soient leur statut et leur spécialité, dans lequel l'allocation des ressources est fondée à la fois sur la nature et le volume de leurs activités.
Tel acte cote tant et la structure (publique ou privée) reçoit donc tant.la T2A met en place un mode unique de financement pour les activités de « MCO » (médecine, chirurgie, obstétrique), et, depuis mars 2008, de « MCOO » (médecine, chirurgie, obstétrique et odontologie), des établissements de santé publics et privés, basé sur une distribution des ressources en fonction du volume et de la nature de leurs activités. Désormais, les ressources sont calculées à partir d'une estimation d'activités et donc de recettes (le prix de chaque activité étant fixé par l'assurance-maladie via le mécanisme des GHM/GHS)1.
Bienvenue dans un monde oĂč la santĂ© se "cote", ou l'on crĂ©e des "groupes homogĂšnes de malades" pour dĂ©finir quelle tarification appliquer Ă quel sĂ©jourSi le systĂšme T2A prĂ©sente des avantages, il n'en demeure pas moins que certains dĂ©sagrĂ©ments sont d'ores et dĂ©jĂ connus du ministĂšre de la SantĂ© et des Agences rĂ©gionales de santĂ©. Ainsi, le surcodage, la segmentation des sĂ©jours, la sĂ©lection des patients, l'inadaptation des soins en fonction de la gravitĂ© des besoins et la transformation de certains actes externes en hospitalisation sont annoncĂ©s par la DGOS comme des effets pervers potentiels6.
Oui. mais aussi les médecins sont libéraux, donc ce n'est pas la clinique qui les salarient, mais ils sont rémunérés par les patientes (et leurs sécurité sociale et assurance complémentaire, bien sûr).Les cliniques privées paient le personnel avec l'argent du service publique ?
Sauf que le praticien présent le jour de l'accouchement n'est pas forcément celui qui a suivi la femme...C'est d'ailleurs un des arguments pour lequels des femmes choisissent les privé... pouvoir accoucher avec SON médecin accoucheur, celui qui a suivit la grossesse et souvent la femme depuis longtemps
C'Ă©tait Ă©galement mon cas et j'Ă©tais trĂšs contente qu'il soit lĂ , Ă©galement pour aprĂšs la naissance. Je l'aime bien, je lui fais confiance, je voulais ĂȘtre suivie par luiEluyana parle d'une clinique privĂ©e. C'est la norme que les obstĂ©triciens fassent l'accouchement. C'est d'ailleurs un des arguments pour lequels des femmes choisissent les privĂ©... pouvoir accoucher avec SON mĂ©decin accouch
J'imagine qu'on n'a pas forcĂ©ment les mĂȘmes attentes pour le suivi de grossesse et pour l'accouchement.j'ai eu un accouchement de rĂȘve.
Pas branché empathie apparemment (avec moi il a été gentil) mais super pro.
Moi nom plus il n'Ă©tait pas de garde. Mais il s'engage Ă suivre la patiente jusquĂ l'accouchement. Donc vers la fin de la grossesse il sait qu'il peut ĂȘtre dĂ©rangĂ© n'importe quand. Et en effet, il a dĂ» venir au milieu de la nuit. Il est arrivĂ© en pyjama avec un pull mis vite fait par dessus.Pour mon second accouchement (clinique privĂ©e), mon gynĂ©cologue n'Ă©tait pas de garde.
Oui probablement. Il ne doit pas ĂȘtre Ă la rue