Hello les filles,
On a commencé l'adaptation ce matin chez l'assmat. J'y suis restée une heure avec ma poulette et il y avait 2 autres enfants de 18 mois et 2,5 ans. Un troisième petit doit arriver début octobre, il a un an je crois. Demain je la laisse une heure sans moi, jeudi 2h et vendredi 3h dont le repas du midi.
Elle lui a aménagé un petit tapis pour elle dans une partie du salon, mais c'était difficile de la laisser allongée, même si elle regardait les enfants jouer. Petit à petit elle s'est intéressée à ce qu'il y avait autour d'elle à force de grands sourires. Mais c'était l'heure de sa sieste, donc elle voulait être dans les bras.
Globalement, on ne peut pas dire que ça s'est mal passé, mais j'ai le coeur lourd !
Quand je pense que lundi prochain elle y sera 8h d'affilée et qu'on va être séparées aussi longtemps, c'est dur. Je serai en cours, donc pas moyen de venir la chercher s'il y a un problème. Son papa sera là en revanche.
J'ai du mal à savoir si c'est moi qui souffre de la future séparation ou si mon angoisse est justifiée car ça va être violent pour elle.
Je sens qu'avec la fatigue, les nuits hachées, la présence de mon beau-père (il s'en va vendredi, ouf!) qui ajoute de la fatigue au quotidien, la reprise du boulot où il faut que je pense à 1000 trucs d'ici lundi (en vrai j'ai déjà repris les réunions et la préparation de mes cours, mais mon conjoint gardait notre fille), je n'arrive plus à prendre du recul.
J'en suis à me dire que j'aurais dû prendre un congé parental, même si je suis heureuse de reprendre le boulot. L'angoisse de séparation, ça existe du côté de la maman ?
On a commencé l'adaptation ce matin chez l'assmat. J'y suis restée une heure avec ma poulette et il y avait 2 autres enfants de 18 mois et 2,5 ans. Un troisième petit doit arriver début octobre, il a un an je crois. Demain je la laisse une heure sans moi, jeudi 2h et vendredi 3h dont le repas du midi.
Elle lui a aménagé un petit tapis pour elle dans une partie du salon, mais c'était difficile de la laisser allongée, même si elle regardait les enfants jouer. Petit à petit elle s'est intéressée à ce qu'il y avait autour d'elle à force de grands sourires. Mais c'était l'heure de sa sieste, donc elle voulait être dans les bras.
Globalement, on ne peut pas dire que ça s'est mal passé, mais j'ai le coeur lourd !
Quand je pense que lundi prochain elle y sera 8h d'affilée et qu'on va être séparées aussi longtemps, c'est dur. Je serai en cours, donc pas moyen de venir la chercher s'il y a un problème. Son papa sera là en revanche.
J'ai du mal à savoir si c'est moi qui souffre de la future séparation ou si mon angoisse est justifiée car ça va être violent pour elle.
Je sens qu'avec la fatigue, les nuits hachées, la présence de mon beau-père (il s'en va vendredi, ouf!) qui ajoute de la fatigue au quotidien, la reprise du boulot où il faut que je pense à 1000 trucs d'ici lundi (en vrai j'ai déjà repris les réunions et la préparation de mes cours, mais mon conjoint gardait notre fille), je n'arrive plus à prendre du recul.
J'en suis à me dire que j'aurais dû prendre un congé parental, même si je suis heureuse de reprendre le boulot. L'angoisse de séparation, ça existe du côté de la maman ?
de toute façon quand il sera trop fatigué il va se vautrer, pleurer, téter et dormir.
). Ça me rassure parce que ça ressemble beaucoup plus au bébé qu’on connaît. Et puis on nous dit ce qu’elle fait de ses journées…
