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l'impossible sevrage...ou mon cheminement vers la haine de mon allaitement...
- Démarrée par Stephs13
- Date de début
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- sentiments sevrage
Oui c'est toujours un gros débat dans ma
Tête:
Quand il est là c'est hyper tendu mais je peux aller aux toilettes, me doucher (bon pas làpas de salle de bains) préparer un minimum à manger, ne pas avoir peur avec mes deux enfants dans les escaliers
Quand il n'est pas làje gère mieux comme je veux mais c'est compliqué niveau pratique
Le départ a été difficile ce matin... Elle s'est peu réveillée cette nuit mais réveil vers 4 h ( mon réveil prévu à4h45)et à50 elle refusait toujours de lâcher le sein.. Et je devais vraiment partir ...elle a fini par lâcher ouffff
Hier soir elle a beaucoup tête ( en même temps c'est terrible mais en ce moment elle a des gouttes pour ses oreilles donc ça "m'arrange" qu'elle tête )mais s'est endormie dans mes bras sans sein
Hier mon mari m a dit que la femme de son collègue avait allaite jusque trois ans " mais c'est pas pareil elle elle travaillait pas elle allaitait à la demande etc mais ça pose pas pb quand tu travailles pas"...
Bon j'ai pas bien vu le lien avec le travail... Peut être pour le côté " elle ne se levait pas le matin"?( ils n'ont pas de grand qu'il faut lever)???
Tête:
Quand il est là c'est hyper tendu mais je peux aller aux toilettes, me doucher (bon pas làpas de salle de bains) préparer un minimum à manger, ne pas avoir peur avec mes deux enfants dans les escaliers
Quand il n'est pas làje gère mieux comme je veux mais c'est compliqué niveau pratique
Le départ a été difficile ce matin... Elle s'est peu réveillée cette nuit mais réveil vers 4 h ( mon réveil prévu à4h45)et à50 elle refusait toujours de lâcher le sein.. Et je devais vraiment partir ...elle a fini par lâcher ouffff
Hier soir elle a beaucoup tête ( en même temps c'est terrible mais en ce moment elle a des gouttes pour ses oreilles donc ça "m'arrange" qu'elle tête )mais s'est endormie dans mes bras sans sein
Hier mon mari m a dit que la femme de son collègue avait allaite jusque trois ans " mais c'est pas pareil elle elle travaillait pas elle allaitait à la demande etc mais ça pose pas pb quand tu travailles pas"...
Bon j'ai pas bien vu le lien avec le travail... Peut être pour le côté " elle ne se levait pas le matin"?( ils n'ont pas de grand qu'il faut lever)???
Steph,
je suis ce post depuis le début avec beaucoup de peine pour toi... je me permets juste une toute petite note d'espoir, enfin j'espère !
tu vis actuellement dans un grenier sans salle de bain, tu campes dans ta propre maison en chantier : c'est très dur (même si c'est malheureusement à relativiser au vu des semaines passées chez tes beaux-parents cet été !)
voici un petit retour d'expérience... le contexte n'était pas le même (pas de sevrage en cours et un mari très à l'écoute), cependant il se trouve que j'ai vécu un peu ce que tu vis actuellement : à la naissance de notre petit hérisson, nous étions en plein chantier d'autoconstruction de notre maison. La naissance ayant été déclenchée pour des raisons médicale, je me suis retrouvée très fatiguée (césarienne sous AG), à gérer toute la journée (mon mari était sur le chantier) un nourrisson tout petit (né avec 5,5 semaines d'avances dans des conditions très compliquées), le tout dans une caravane au fond du jardin en plein été, avec des toilettes de fortune et une douche solaire... ça a duré 4 mois.
Ensuite nous avons intégré la seule pièce 'finie' de la maison à savoir le futur bureau de mon mari que nous avons aménagé en studio pour 3 et dans lequel nous avons vécu pendant encore 6 mois. Évidemment ça a été de mieux en mieux au niveau du confort puisque nous avions l'électricité, petit à petit nous avons eu de l'eau dans la maison à portée de main (pas juste l'arrivée d'eau en bas), nous avons eu une étape douche solaire dans une baignoire non fixée etc. etc. Pendant tout ce temps, j'étais en dépression post-partum... et bizarrement notre petit hérisson a très mal vécu ses premiers mois : peurs-paniques à chaque endormissement en particulier, impossibilité de ne pas avoir d'adulte dans son champs de vision (même à la crèche où il a commencé à aller 2 jours par semaines à 6 mois).
Bref tout ça pour te faire part d'une chose étonnante qui est arrivée du jour au lendemain : nous avons emménagé dans notre rez-de-chaussée fini après 10 mois de chantier : 70 m² d'espace avec cuisine, vrai chambre, espaces de rangements (pleins de cartons !) et un coin dédié au petit... le matin même du jour suivant le déménagement, notre petit bonhomme s'est réveillé sereinement et a passé du temps (combien je ne sais plus... ça m'avait paru une éternité !) à jouer seul, tranquillement, sans chercher notre présence, sans réclamer notre attention... et les endormissements se sont apaisés en quelques jours à peine !
Il avait enfin de la place pour lui, des parents plus sereins, plus tranquilles, sans doute plus disponibles aussi... la vie est devenue simple et j'ai pu enfin commencer à sortir la tête du trou !
je te souhaite que tes travaux avancent autant que possible, de gagner en confort petit à petit et que chaque tout petit pas te facilite la vie dans tes projets de sevrage, tes relations familiales... et te donne enfin la possibilité de retrouver de la sérénité, d'être apaisée.
courage Steph, on pense toutes fort à toi !
je suis ce post depuis le début avec beaucoup de peine pour toi... je me permets juste une toute petite note d'espoir, enfin j'espère !
tu vis actuellement dans un grenier sans salle de bain, tu campes dans ta propre maison en chantier : c'est très dur (même si c'est malheureusement à relativiser au vu des semaines passées chez tes beaux-parents cet été !)
voici un petit retour d'expérience... le contexte n'était pas le même (pas de sevrage en cours et un mari très à l'écoute), cependant il se trouve que j'ai vécu un peu ce que tu vis actuellement : à la naissance de notre petit hérisson, nous étions en plein chantier d'autoconstruction de notre maison. La naissance ayant été déclenchée pour des raisons médicale, je me suis retrouvée très fatiguée (césarienne sous AG), à gérer toute la journée (mon mari était sur le chantier) un nourrisson tout petit (né avec 5,5 semaines d'avances dans des conditions très compliquées), le tout dans une caravane au fond du jardin en plein été, avec des toilettes de fortune et une douche solaire... ça a duré 4 mois.
Ensuite nous avons intégré la seule pièce 'finie' de la maison à savoir le futur bureau de mon mari que nous avons aménagé en studio pour 3 et dans lequel nous avons vécu pendant encore 6 mois. Évidemment ça a été de mieux en mieux au niveau du confort puisque nous avions l'électricité, petit à petit nous avons eu de l'eau dans la maison à portée de main (pas juste l'arrivée d'eau en bas), nous avons eu une étape douche solaire dans une baignoire non fixée etc. etc. Pendant tout ce temps, j'étais en dépression post-partum... et bizarrement notre petit hérisson a très mal vécu ses premiers mois : peurs-paniques à chaque endormissement en particulier, impossibilité de ne pas avoir d'adulte dans son champs de vision (même à la crèche où il a commencé à aller 2 jours par semaines à 6 mois).
Bref tout ça pour te faire part d'une chose étonnante qui est arrivée du jour au lendemain : nous avons emménagé dans notre rez-de-chaussée fini après 10 mois de chantier : 70 m² d'espace avec cuisine, vrai chambre, espaces de rangements (pleins de cartons !) et un coin dédié au petit... le matin même du jour suivant le déménagement, notre petit bonhomme s'est réveillé sereinement et a passé du temps (combien je ne sais plus... ça m'avait paru une éternité !) à jouer seul, tranquillement, sans chercher notre présence, sans réclamer notre attention... et les endormissements se sont apaisés en quelques jours à peine !
Il avait enfin de la place pour lui, des parents plus sereins, plus tranquilles, sans doute plus disponibles aussi... la vie est devenue simple et j'ai pu enfin commencer à sortir la tête du trou !
je te souhaite que tes travaux avancent autant que possible, de gagner en confort petit à petit et que chaque tout petit pas te facilite la vie dans tes projets de sevrage, tes relations familiales... et te donne enfin la possibilité de retrouver de la sérénité, d'être apaisée.
courage Steph, on pense toutes fort à toi !
Merci pour ce beau partage Toupidek!: Comme tout cela a du être difficile!!!!!!!!!!!!! Et moi qui me plains alors que ça ne fait que quelques semaines...
Je t'avoue que je n'ai pas beaucoup d'espoir pour autant car quand nous étions à Paris dans une vraie maison etc, la situation était déjà identique...Mais bon on ne sait jamais!!!
Apparemment cela fut très dur ce matin (mon mari m'a appelée pour me donner des nouvelles pour une fois...). Dès qu'elle a senti que j'étais partie, elle s'est mise à hurler, s'est levée, est allée tambouriner à la porte du grenier....La pauvre, ça me déchire...
En même temps on en parle beaucoup, elle sait que je vais à paris travailler, elle est capable de dire qu'elle va dormir avec papa, que c'est papa qui l'emmène à la crèche..On lit aussi beaucoup les bébés chouettes (d'ailleurs, ce n'est pas écrit mais je vous assure les filles, la maman chouette elle est partie à Paris bosser!!!) et quand on le ferme, elle me dit "les mamans elles reviennent toujours"...
J'ai fait une provision de bisous pour mon fils, je lui ai dit qu'il pouvait en donner à sa soeur si elle était triste...on verra bien!
Je t'avoue que je n'ai pas beaucoup d'espoir pour autant car quand nous étions à Paris dans une vraie maison etc, la situation était déjà identique...Mais bon on ne sait jamais!!!
Apparemment cela fut très dur ce matin (mon mari m'a appelée pour me donner des nouvelles pour une fois...). Dès qu'elle a senti que j'étais partie, elle s'est mise à hurler, s'est levée, est allée tambouriner à la porte du grenier....La pauvre, ça me déchire...
En même temps on en parle beaucoup, elle sait que je vais à paris travailler, elle est capable de dire qu'elle va dormir avec papa, que c'est papa qui l'emmène à la crèche..On lit aussi beaucoup les bébés chouettes (d'ailleurs, ce n'est pas écrit mais je vous assure les filles, la maman chouette elle est partie à Paris bosser!!!) et quand on le ferme, elle me dit "les mamans elles reviennent toujours"...
J'ai fait une provision de bisous pour mon fils, je lui ai dit qu'il pouvait en donner à sa soeur si elle était triste...on verra bien!
Dernière édition:
heu... Steph, on n'inverse pas les rôles ! c'est pas moi qui suis dans la galère là et la difficulté ne se mesure pas en temps !!!
A Paris la situation te semblait identique... or depuis ta puce a grandi, vous avez fait des progrès, suivi de retours en arrière très durs à gérer... et cependant ces petits pas ont été faits : tu n'as jamais été aussi près de la fin (beurk c'est nul ça comme remarque ! tant pis j'assume) et peu importe ce qui sera votre propre déclic, l'important est qu'il ait lieu et le plus tôt sera le mieux !
A Paris la situation te semblait identique... or depuis ta puce a grandi, vous avez fait des progrès, suivi de retours en arrière très durs à gérer... et cependant ces petits pas ont été faits : tu n'as jamais été aussi près de la fin (beurk c'est nul ça comme remarque ! tant pis j'assume) et peu importe ce qui sera votre propre déclic, l'important est qu'il ait lieu et le plus tôt sera le mieux !
toupidek, elle exprime vachement bien ce que je pense aussi. Oui, à Paris, c'était la galère! Mais ta puce a grandi, a évolué, a fait des progrès. Peut-être qu'un contexte sécurisant ne changera rien, peut-être bien que si.
Elle a crié sa peine de te voir partir, et je trouve cela bien normal. Tu es sa référence. Mais c'est aussi merveilleux d'avoir un enfant qui exprime sa tristesse. Bien sûr, ton mari est désemparé face à ses pleurs, cela le renvoie sans doute à son inutilité. Donc ça l'énerve. Sauf qu'il n'est pas du tout inutile. Je pense que lorsqu'il comprendra justement le rôle prépondérant qu'il a à jouer pour accompagner votre fille dans ces moments, il vivra aussi beaucoup mieux ses pleurs.
J'ai mis beaucoup de temps avant de comprendre que les pleurs étaient là pour faire sortir la douleur, pas la renforcer. Quand j'ai enfin admis que si mes filles pleuraient, cela pouvait les dégager d'un traumatisme éventuel, leur faire sortir leurs émotions plutôt qu'elles les gardent en elles, et bien j'ai passé un cap et les pleurs m'ont été plus simple à accepter. Je ne dis pas que certains jours je n'ai pas du mal (et aujourd'hui en fait partie car je suis fatiguée et que je n'ai pas franchement envie qu'elles soient de plus mauvaise humeur que moi) mais globalement, je me sens plus à l'aise.
Ce que je ressens avec ton mari, c'est qu'il ne trouve pas sa place ou que celle que lui propose ta fille ne lui convient pas. Mais même si elle le rejette (normal, elle a envie que maman soit là), elle a besoin de lui. Ce n'est pas simple, ce n'est pas valorisant, mais c'est un rôle incroyablement important.
Elle a crié sa peine de te voir partir, et je trouve cela bien normal. Tu es sa référence. Mais c'est aussi merveilleux d'avoir un enfant qui exprime sa tristesse. Bien sûr, ton mari est désemparé face à ses pleurs, cela le renvoie sans doute à son inutilité. Donc ça l'énerve. Sauf qu'il n'est pas du tout inutile. Je pense que lorsqu'il comprendra justement le rôle prépondérant qu'il a à jouer pour accompagner votre fille dans ces moments, il vivra aussi beaucoup mieux ses pleurs.
J'ai mis beaucoup de temps avant de comprendre que les pleurs étaient là pour faire sortir la douleur, pas la renforcer. Quand j'ai enfin admis que si mes filles pleuraient, cela pouvait les dégager d'un traumatisme éventuel, leur faire sortir leurs émotions plutôt qu'elles les gardent en elles, et bien j'ai passé un cap et les pleurs m'ont été plus simple à accepter. Je ne dis pas que certains jours je n'ai pas du mal (et aujourd'hui en fait partie car je suis fatiguée et que je n'ai pas franchement envie qu'elles soient de plus mauvaise humeur que moi) mais globalement, je me sens plus à l'aise.
Ce que je ressens avec ton mari, c'est qu'il ne trouve pas sa place ou que celle que lui propose ta fille ne lui convient pas. Mais même si elle le rejette (normal, elle a envie que maman soit là), elle a besoin de lui. Ce n'est pas simple, ce n'est pas valorisant, mais c'est un rôle incroyablement important.
oui mais j'ai peu d'espoir sur le fait qu'il le comprenne un jour...
Mais tu as totalement raison sur les pleurs etc...
mon mari préfère voir le négatif. Hier quand il est rentré, j'étais chez une copine à lui qui m'avait prêté sa douche. Du coup il nous a rejoints et ma fille lui a sauté dans les bras, fait un énorme câlin etc...
Et quand hier il s'est couché près d'elle et qu'elle lui a dit "va t'en, je veux pas que tu te couches là, c'est la place de maman, va t'en" il a dit "ok je pars tu m'aimes pas c'est bon"...J'ai tenté de lui rappeler comment elle avait réagi à son retour mais non il refuse de l'entendre...(moi quand je suis revenue de paris mardi, ils les avait collés devant Dora, ben aucun des deux ne m'a calculée;-)
Mais tu as totalement raison sur les pleurs etc...
mon mari préfère voir le négatif. Hier quand il est rentré, j'étais chez une copine à lui qui m'avait prêté sa douche. Du coup il nous a rejoints et ma fille lui a sauté dans les bras, fait un énorme câlin etc...
Et quand hier il s'est couché près d'elle et qu'elle lui a dit "va t'en, je veux pas que tu te couches là, c'est la place de maman, va t'en" il a dit "ok je pars tu m'aimes pas c'est bon"...J'ai tenté de lui rappeler comment elle avait réagi à son retour mais non il refuse de l'entendre...(moi quand je suis revenue de paris mardi, ils les avait collés devant Dora, ben aucun des deux ne m'a calculée;-)
On en parlait, la place des Papas, c'est quelque chose de très compliqué... Nos enfants ne sont pas toujours bien tendres quand ils veulent à tout prix la présence de Maman, et ils en ramassent tant, ces Papas...
Et non, ce n'est pas que sa fille "ne l'aime pas" mais qu'elle le voit comme un obstacle à la présence de sa Maman. Ce qu'il n'est pourtant pas... Mais quand on est soi-même blessé, c'est dur de ne pas se sentir rejeté par la souffrance de l'autre. Peut-être s'il arrivait à exprimer sa propre tristesse et pas son sentiment d'être rejeté, ils trouveraient un canal pour être tous les deux dans une émotion similaire.
Enfin, voilà un beau verbiage qui ne solutionne rien, tu semble un peu démunie devant les émotions des uns et des autres, n'est-ce pas ?
Et non, ce n'est pas que sa fille "ne l'aime pas" mais qu'elle le voit comme un obstacle à la présence de sa Maman. Ce qu'il n'est pourtant pas... Mais quand on est soi-même blessé, c'est dur de ne pas se sentir rejeté par la souffrance de l'autre. Peut-être s'il arrivait à exprimer sa propre tristesse et pas son sentiment d'être rejeté, ils trouveraient un canal pour être tous les deux dans une émotion similaire.
Enfin, voilà un beau verbiage qui ne solutionne rien, tu semble un peu démunie devant les émotions des uns et des autres, n'est-ce pas ?
A Paris c'était compliqué aussi car tu avais ces escaliers dangereux et une configuration de maison pas idéale avec les petits!
Lorsqu'il faut être vigilant en permanence déjà le niveau de stress grimpe là aux escaliers s'ajoutent les outils.
Inévitablement avec un peu plus de confort vous irez tous mieux ton mari y compris. Même si il semble imperméable aux émotions des autres je crois justement qu'il l'est davantage qu'on ne le croit. Lorsque tu en parles j'ai l'image de quelqu'un de super émotif gèrant mal ses émotions comme le petit garçon qui l'a été qui n'a pu exprimer grand chose avec sa mère. Qu'en penses tu?
Je souhaite que rapidement vous ayez au moins une pièce secure pour y laisser jouer les enfants.
Lorsqu'il faut être vigilant en permanence déjà le niveau de stress grimpe là aux escaliers s'ajoutent les outils.
Inévitablement avec un peu plus de confort vous irez tous mieux ton mari y compris. Même si il semble imperméable aux émotions des autres je crois justement qu'il l'est davantage qu'on ne le croit. Lorsque tu en parles j'ai l'image de quelqu'un de super émotif gèrant mal ses émotions comme le petit garçon qui l'a été qui n'a pu exprimer grand chose avec sa mère. Qu'en penses tu?
Je souhaite que rapidement vous ayez au moins une pièce secure pour y laisser jouer les enfants.
On a une pièce ultra secure: le grenier...
En fait cerise mon mari va être absent 5 jours par semaine du coup c'est impossile. C'est pour cela que je tenais tant à faire tout cela pendant les vacances...et mon mari ne sera pas là plusieurs jours d'affilée avant janvier minimum...
Peut être Lou... Mais c'est vraiment un mur
En fait cerise mon mari va être absent 5 jours par semaine du coup c'est impossile. C'est pour cela que je tenais tant à faire tout cela pendant les vacances...et mon mari ne sera pas là plusieurs jours d'affilée avant janvier minimum...
Peut être Lou... Mais c'est vraiment un mur
Oh oui Steph, c'est vrai, je n'y pensais plus... Peut-être essayer de préparer doucement le terrain pour ton fils, en lui expliquant que c'est pour que sa sœur ne le réveille pas ? Pour le préparer un peu de temps avant qu'il ne soit effectivement seul dans sa chambre...
oui ça avance...
comme mon mari n'avance pas sur la salle de jeux (en même ,temps je préfèrerais qu'il avance sur la salle de bains!!!) j'ai imposé qu'on ne mette pas de table dans la salle à manger et qu'on laisse la piuèce vide et que ça devienne la salle de jeux en attendant...et cette pièce là est FINIE
après c'est des murs qui ne sont pas faits pour jouer etc mais tant pis!
pour le préparer je voulais qu'il participe au montage de lit etc...bien sûr mon mari ne veut pas...
les peintres partent vendredi. du coup il n"y aura plus qiue les outils de mon mari et que ça lui aille ou non ils seront mis hors de portée des enfants (oui parce que mon mari une perceuse sur la table et branchée ça lui pose pas de pb, "de toute façon on surveille les enfants) (oui oui le même mari qui dit que laisser éplucher des légumles à des enfants c'est inconscient!!!)
comme mon mari n'avance pas sur la salle de jeux (en même ,temps je préfèrerais qu'il avance sur la salle de bains!!!) j'ai imposé qu'on ne mette pas de table dans la salle à manger et qu'on laisse la piuèce vide et que ça devienne la salle de jeux en attendant...et cette pièce là est FINIE
après c'est des murs qui ne sont pas faits pour jouer etc mais tant pis!
pour le préparer je voulais qu'il participe au montage de lit etc...bien sûr mon mari ne veut pas...
les peintres partent vendredi. du coup il n"y aura plus qiue les outils de mon mari et que ça lui aille ou non ils seront mis hors de portée des enfants (oui parce que mon mari une perceuse sur la table et branchée ça lui pose pas de pb, "de toute façon on surveille les enfants) (oui oui le même mari qui dit que laisser éplucher des légumles à des enfants c'est inconscient!!!)