@anicetlaviolette, je suis d'accord avec les avis des autres. Il est urgent que ton bébé boive plus et tu n'as pas l'air d'avoir la motivation (l'énergie?) pour entreprendre quoi que ce soit tout en écartant les solutions qu'on te propose et en refusant catégoriquement le LA.
Moi j'en ai donné à ma fille parce que je ne tirais pas assez pour subvenir à ses besoins. Ca ne m'a jamais plu parce que j'aurais voulu pouvoir lui fournir assez. Mais je me suis tout de suite fait une raison. Et finalement, même si je n'allaite pas au sein, et que j'ai complété pendant un an avec du LA, et bien je tire une certaine satisfaction de la situation. Et pourtant, avant la naissance, si tu m'avais demandé, je n'étais pas très chaude pour donner du LA.
On est assez nombreuses sur le forum à y avoir recours par nécessité, et je pense que c'est infiniment préférable au fait d'avoir un bébé sous alimenté. Comme l'ont dit les autres avant moi, les LA sont globalement très sûrs et bien formulés pour répondre aux besoins des bébés, et on n'a pas comme dans d'autres pays de problème d'accès à l'eau potable.
Bref, j'imagine qu'avec le stress, la fatigue des premiers mois plus un enfant plus grand, ça doit être difficile d'avoir le recul et la lucidité nécessaires. Les premiers mois, avec un seul enfant, j'étais une loque. J'avançais dans le brouillard. Je sais que c'est éprouvant psychologiquement de se rendre compte qu'on n'a pas réussi à mener l'allaitement qu'on souhaitait mener. Et que c'est dur de réaliser qu'on ne parvient pas à nourrir son bébé sans apport extérieur.
Je comprends que tu aies des principes, que tu sois contre le bib et contre le LA, mais il faut quand même mesurer les priorités. Et puis si ton médecin a eu des propos durs à ton encontre, c'est probablement parce qu'il s'inquiète beaucoup (tu as dit dans un message qu'il t'alerte depuis trois mois sur la question du poids, alors je suppose qu'il n'a pas commencé par te dire que ton bébé devait être hospitalisé). C'est dommage qu'il n'aie pas trouvé la manière de te convaincre. Mais j'espère que nos différents messages te feront vois les choses différemment.
Comme l'ont dit les autres, tu as tout mon soutien et je compatis vraiment à ta situation. J'espère que mon message n'est pas trop dur et que je ne t'ai pas blessée en te disant tout cela.
Bises
Moi j'en ai donné à ma fille parce que je ne tirais pas assez pour subvenir à ses besoins. Ca ne m'a jamais plu parce que j'aurais voulu pouvoir lui fournir assez. Mais je me suis tout de suite fait une raison. Et finalement, même si je n'allaite pas au sein, et que j'ai complété pendant un an avec du LA, et bien je tire une certaine satisfaction de la situation. Et pourtant, avant la naissance, si tu m'avais demandé, je n'étais pas très chaude pour donner du LA.
On est assez nombreuses sur le forum à y avoir recours par nécessité, et je pense que c'est infiniment préférable au fait d'avoir un bébé sous alimenté. Comme l'ont dit les autres avant moi, les LA sont globalement très sûrs et bien formulés pour répondre aux besoins des bébés, et on n'a pas comme dans d'autres pays de problème d'accès à l'eau potable.
Bref, j'imagine qu'avec le stress, la fatigue des premiers mois plus un enfant plus grand, ça doit être difficile d'avoir le recul et la lucidité nécessaires. Les premiers mois, avec un seul enfant, j'étais une loque. J'avançais dans le brouillard. Je sais que c'est éprouvant psychologiquement de se rendre compte qu'on n'a pas réussi à mener l'allaitement qu'on souhaitait mener. Et que c'est dur de réaliser qu'on ne parvient pas à nourrir son bébé sans apport extérieur.
Je comprends que tu aies des principes, que tu sois contre le bib et contre le LA, mais il faut quand même mesurer les priorités. Et puis si ton médecin a eu des propos durs à ton encontre, c'est probablement parce qu'il s'inquiète beaucoup (tu as dit dans un message qu'il t'alerte depuis trois mois sur la question du poids, alors je suppose qu'il n'a pas commencé par te dire que ton bébé devait être hospitalisé). C'est dommage qu'il n'aie pas trouvé la manière de te convaincre. Mais j'espère que nos différents messages te feront vois les choses différemment.
Comme l'ont dit les autres, tu as tout mon soutien et je compatis vraiment à ta situation. J'espère que mon message n'est pas trop dur et que je ne t'ai pas blessée en te disant tout cela.
Bises