@Liliju&Co bonsoir, je viens de tomber sur ton post... Je te partage ma petite expérience perso. Mon fils a été opéré pour la même chose, testicule non descendu. Il avait 22 mois. Les premiers rdv (chir urologue "classique", pas un urologue pédiatrique, puis écho testiculaire, re-chir puis anesthésiste) et l'intervention en elle même se sont étalées sur... 5/6 mois.
Je passe sur la consultation anesthésiste ("il est allergique aux médicaments ?" Comment te dire, il n'a pas 2 ans donc il n'en a pas croisé beaucoup des médocs...

). C'est le chir qui lui a tout bien expliqué, l'endormissement, l'intervention (avec des mots que mon fils pouvait comprendre). On a eu une petite plaquette sur l'anesthésie qu'on lui a bien lue plusieurs fois avant.
Intervention en ambulatoire. Je suis descendue jusqu'au bloc avec Loulou dans les bras (les brancardier poussait le lit vide

). En salle d'attente gros câlin. L'anesthésiste (pas celui de la consultation, ouf!) et le chir sont venus nous voir, ont plaisanté avec moi et fait rire Loulou. Puis l'ont emmené dans son petit lit... Je me suis sentie seule au monde à ce moment

. Je suis remontée dans la chambre pour l'attendre. Il me l'ont ramené genre 4h après je pense. Oui c'est ça, on est descendus au bloc vers 8:15/30 et il est revenu vers 13h. Le brancardier l'avait pris à bras. On est restés jusque 17h, on a revu 2 fois le chir (début et fin d'aprem), tout allait bien, donc retour maison.
Suites de l'intervention simples, soins infirmiers 1f/j jusqu'à ce que les fils soient tombés. Rdv de contrôle chir 1 mois après.
Bref, tout ça pour dire que la question de la confiance dans le chirurgien est essentielle pour moi. C'est ce qui nous a aidé, mon fils sentait que j'avais confiance en l'équipe et donc il était serein aussi. Parler avec lui et jouer à "on fait ton intervention sur la peluche/le doudou/papa (oui il a servi de répétition

) a permis de dédramatiser.
Aujourd'hui on revoit le chir 1f/an. D'ailleurs j'ai rdv pour mon deuxième en décembre pour la même chose...
Pour l'anecdote, mon médecin traitant en qui j'ai toute confiance m'avait conseillé un autre chir. Mais je ne le "sentais" pas, du coup j'ai rencontré son collègue avec qui ça a matché de suite...
Voilà voilà, si besoin n'hésite pas !
Et courage, parce qu'aujourd'hui je raconte ça sereinement, mais à l'époque (il y a deux ans), c'était pas rigolo rigolo...
