• ENCOURAGEZ-NOUS !

    Les animatrices donnent bénévolement de leur temps et de leurs compétences pour répondre aux questions que se posent les mamans qui allaitent et accompagner celles qui le souhaitent tout au long de leur allaitement : en réunion, par courriel et au téléphone... et sur le forum !
    Si vous appréciez notre travail, nous vous invitons à nous le faire savoir par quelques mots d'encouragement à notre intention, et/ou par un don ou une cotisation - si ce n'est déjà fait - qui nous permettront de continuer à nous former pour toujours mieux répondre aux besoins des mamans qui choisissent d'allaiter.
    Rendez-vous sur le site LLL et choisissez le groupe 00-Forum pour soutenir l'équipe du forum LLL.

On parle d'allaitement dans les médias

Tatian@

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice LLL

Tatian@

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice LLL

Cactus2002

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
L'allaitement intéresse si peu les instances de santé qu'il n'y a pas de données plus récentes :mad:
Oui car en effet 2017 date quand même de 8 ans. J'ai commencé à allaité en 2017 ma fille aînée. 8 ans après, pour mon deuxième allaitement, je vois des changements, moins de gens qui se cachent pour allaiter dans des salles d'allaitement, et plus d'enfants allaités en public. Mais j'y suis peut être aussi plus sensible.
 

sophie.p

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
Mais il y a Epifane en 2020 ou 2022, j'avais en tête env. 75% à la naissance et 20% à 6 mois... J'ai déjà partagé le .pdf plusieurs fois sur le forum, mais là je n'arrive pas à remettre la main dessus...

 

sophie.p

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
Voilà ce que j'y lis pour 2021, c'est même plus que ce dont je me souvenais :

  • Le taux d’enfants allaités à la naissance dépasse désormais l’objectif de 75% fixé par le 4ème Programme national nutrition santé.
  • La durée médiane de l’allaitement (exclusif + mixte) a progressé de 15 à 20 semaines sur 2012-2021.
  • A 6 mois, plus du tiers des enfants étaient encore allaités en 2021 (vs moins d’un quart en 2012).

Je ne sais pas en tant que mère ou femme si je voudrais d'un pays où il n'y a que de l'allaitement. Je n'arrive pas bien à le formuler... J'adore parler allaitement avec des amies ou des inconnues, voir de jeunes mamans prendre confiance, voir le super travail de soutien de la lll ou de l'association de soutien à l'allaitement de mon département, mais je ne sais pas si on peut parler de "mauvais" ou "bons" chiffres...
 
Dernière édition:

sophie.p

Lactarium
Adhérent(e) LLLF

Tatian@

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice LLL
Oui, l'étude Epifane est intéressante, mais elle ne peut être comparée qu'à elle même ;)
Dans le cadre du système national de surveillance de l’alimentation des enfants pendant leur
première année de vie, la deuxième édition de l’étude Épifane s’est déroulée en 2021-2022,
auprès de 3 534 mères, sélectionnées parmi celles ayant participé au recueil à deux mois de
l’accouchement, de l’Enquête nationale périnatale (ENP-2021), en France hexagonale.

En plus des données ENP recueillies à la maternité et à deux mois, les femmes participant à
Épifane ont été enquêtées à deux mois lors d’un entretien téléphonique complémentaire.
Elles ont ensuite été recontactées à six mois et douze mois, pour répondre à un entretien
téléphonique et à un auto-questionnaire en ligne.

Les chiffres de la DREES sont issus des certificats de santé des 8 jours, 9 mois et 2 ans (sur le certif des deux ans la durée totale d'allaitement en semaine ne dispose que de deux cases, or pour moi 52 semaines x2 ça fait 104, il manque une case, comme si le concepteur du formulaire n'avait même pas songé qu'un bambin de 2 ans soit encore allaité).
La force de ces certificats de santé c'est qu'ils sont remplis partout, dans tous les départements, y compris outre mer et qu'ils permettent de mettre en évidence les disparités géographiques.
Sauf que ces chiffres ne sont pas compilés régulièrement et c'est bien dommage...

C'est chouette que les chiffres d'épifane progressent et cette étude a le mérite de fournir des données qualitatives et pas seulement quantitatives. A mon sens, les deux données sont complémentaires pour faire une méta-analyse de l'allaitement en France.

mais je ne sais pas si on peut parler de "mauvais" ou "bon" chiffres...
La meilleure raison de ne pas allaiter c'est de ne pas en avoir envie. Mais combien de femmes n'allaitent pas pour la seule raison que leur cœur leur dicte ?
De très nombreuses mères aimeraient allaiter et rencontrent des difficultés sans recevoir de soutien (voire sont parfois découragées par l'entourage ou les pros). Tant que le delta entre les femmes qui souhaitent allaiter et celles qui allaitent effectivement sera aussi élevé qu'actuellement, je pense qu'on peut parler de "mauvais" chiffres (ce n'est que mon analyse biaisée de bénévole qui côtoie presque quotidiennement des mères qui n'ont pas reçu l'information et le soutien qu'elles auraient du avoir).
 
Haut