• ENCOURAGEZ-NOUS !

    Les animatrices donnent bénévolement de leur temps et de leurs compétences pour répondre aux questions que se posent les mamans qui allaitent et accompagner celles qui le souhaitent tout au long de leur allaitement : en réunion, par courriel et au téléphone... et sur le forum !
    Si vous appréciez notre travail, nous vous invitons à nous le faire savoir par quelques mots d'encouragement à notre intention, et/ou par un don ou une cotisation - si ce n'est déjà fait - qui nous permettront de continuer à nous former pour toujours mieux répondre aux besoins des mamans qui choisissent d'allaiter.
    Rendez-vous sur le site LLL et choisissez le groupe 00-Forum pour soutenir l'équipe du forum LLL.

Grossesses en cours

Joie

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
J'étais mentalement préparée au fait que la salle soit occupée. J'essaie de me convaincre que cette fois-ci, ce sera comme si elle était occupée. Le truc qui m'ennuie c'est qu'il n'y a pas de douche dans les autres chambres.
Dans les chambres de maternité il y à toujours des douches… Jai été transféré dans une salle de naissance quand c’était le moment. Pour compenser le fait du non accès à la salle nature (baignoire) on m’a permis d’avoir la douche mais le lit et tout le reste des accessoires d’une salle nature j’ai rien eu et pourtant j’ai fait plus de 45 minutes pour cette maternité alors que j’en avais une niveau 3 à 15 minutes.
 

Pauline C

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
J'ai été déclenchée en salle de naissance à 9h, on l'a quittée à 22h le soir. Il n'y avait pas de sanitaires dans la pièce, je l'ai trouvée super stylée parce que j'avais une fenêtre et un ballon, et surtout le droit de me balader dans l'hôpital tant que la péri n'était pas posée (souvenir d'accouchement covid...) Ça a été présenté plutôt comme un avantage que la salle soit libre, les chambres de pré travail sont aveugles et exigues. Je ne suis passée dans aucune mater publique avec plus d'une baignoire, (y a toujours l'option "accoucher dans la sienne" pour être certaine d'éviter la concurrence... ), je pense que c'est un "plus" mais difficile de compter dessus à coup sûr.
 

rebeccapneu

Hyperlactation
Adhérent(e) LLLF
Dans les chambres de maternité il y à toujours des douches… Jai été transféré dans une salle de naissance quand c’était le moment. Pour compenser le fait du non accès à la salle nature (baignoire) on m’a permis d’avoir la douche mais le lit et tout le reste des accessoires d’une salle nature j’ai rien eu et pourtant j’ai fait plus de 45 minutes pour cette maternité alors que j’en avais une niveau 3 à 15 minutes.
D'après ce que j'ai compris, mon transfert en salle de naissance serait rapide car la politique régionale (=dans toutes les mater du coin) c'est monito en continu dès la phase active.
Il y a quelques chambres de pré-travail avec des douches. Et une SF m'a dit qu'elle ne voyait pas pourquoi je ne pourrai pas être en salle physio pour le pré-travail, mais elle ne fait que des consultations donc je ne sais pas si l'info est fiable.

En fait, la mater dans laquelle je suis inscrite a une équipe qui a à cœur de respecter les femmes mais est aussi une structure qui a ses propres contraintes et une patientèle très diverse : grossesses à moyen risque, toutes origines culturelles, 80% de demande de péri d'emblée dès les consultations... on peut comprendre que naviguer avec tout ça n'est pas facile. Je ne sais plus si c'est ici ou sur le hors-sujet dans la conversation des moches familles casse-pied, mais une maman disait qu'elle avait demandé un clampage tardif et que, pour l'équipe de sa mater, ça voulait dire attendre 1 minute :fou:.

Tout ça pour dire qu'on a des cadres de référence complètement différent. Moi je veux bien entendre qu'un anesthésiste qui a eu à gérer des hémorragies de la délivrance catastrophique soit marqué et insiste un peu pour poser des KT à tout le monde ^^ et je veux bien entendre aussi que c'est la plaie pour la maman qui est à faible risque, qui sait que pour les mêmes éléments médicaux, elle n'aurait pas de KT au Québec ou dans la maison de naissance d'à côté, et ne veut pas qu'on lui impose un truc dans le bras. Ma question du moment, c'est : comment fait-on pour faire se rencontrer tous ces points de vue sans aller au conflit ? Quelles sont les limites de chaque parti et pourquoi ne puis-je pas prendre la responsabilité de la naissance ?

Pour autant et pour le moment, mon projet AVAC physio est ok pour l'équipe et ne pose pas de problème, mais le moindre petit caillou sur la route me fait peur. Et si on me mettait une étiquette de bébé macrosome ? Je fais un test HGPO demain. Et si il était positif ? Et comment je serai le jour J et arriverai-je à rester assertive ? Et comment je compose avec ce **grmblblrm** de corps si il y a un pépin. Si j'avais pu, j'aurai menti sur mes antécédents de césarienne mais il y a une cicatrice évidente.

Je crois que je n'arrive pas à avoir 100% confiance car j'ai toujours peur du revirement de situation. Je ne sais pas si ça a un rapport avec l'histoire du premier accouchement ou si c'est simplement humain de rester sur ses gardes quand on n'estime pas avoir eu assez d'informations.

En tout cas je prie fort fort fort tous les jours pour que ça ne me laisse pas ce goût amer de la dernière fois, cette colère mélangée au déni, à la déception et la tristesse, un beau gloubiboulga de mocheté. Et je suis très contente de connaître ce forum car vos réponses, réflexions et partages d'expériences sont précieux.
 

Pauline C

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
Mais est ce qu'on ne se projette pas "enormement" justement, sur cette expérience de l'accouchement ? Il y a vraiment beaucoup de choses qui ne dependent pas de la parturiente, de sa.preparation.
On ne m'a jamais parlé de projet de naissance, mais si j'avais du en écrire un c'aurait été "bébé vivant avec un cerveau intact, pas trop de sang partout, périnée pas trop en vrac". Je ne sais pas comment j'aurais pris une césarienne en urgence, ça m'aurait sûrement fait suer à cause des suites opératoires, mes accouchements se sont bien passés mais ont été des expériences assez passives, j'ai poussé quand on m'a dit, je me fiais au partogramme plus qu'a mon ressenti car je ne sentais rien (ça m'allait bien) et j'ai devine qu'on m'a fait une épisio quand j'ai entendu les ciseaux. Je ne dis pas que c'est une "bonne' attitude, probablement ni bonne ni mauvaise et qui ne convient pas à tout le monde, mais en y allant sans attente particulière et en ayant conscience que c'était sûrement le jour le plus dangereux de ma petite vie tranquille (plutôt que le plus beau jour), j'ai vraiment profité de la.chance d'avoir mes bébés vivants.et en bonne.sante.contre.moi, rien.de.plus, rien de moins.
Quel est le bon degré d'information, aucune idée, je sais que mon approche est totalement biaisée car j'ai été confrontée à des situations de mort fœtale ou maternelle des mes 18 ans et mon premier stage infirmier.
Doit bien y avoir un juste milieu entre mon impression que ça peut virer à la catastrophe à tout moment, et un projet de naissance de 13 pages totalement déconnecté...
 

rebeccapneu

Hyperlactation
Adhérent(e) LLLF
Oui on projette, mais c'est normal, on n'a probablement pas le prisme "ça peut mal tourner" - quoique j'ai plus d'inquiétude sur une hémorragie que mes copines, car j'en vois régulièrement qui vident le stock de sang.

J'avais pas envie d'écrire un projet de naissance car je ne voyais pas comment le tourner sans en faire une liste au père Noël. Alors j'ai juste écrit quelques grandes lignes genre je veux physio et demander moi-même la péri (proposez rien), j'ai peur de devoir être séparée de mon bébé et d'avoir une césarienne et voilà. Et ça a été lu et entendu.

J'y suis partie sans savoir, impossible de visualiser quoi que ce soit sans y être, impossible de me représenter.

Par contre quand ça a commencé j'avais la banane, je me disais que ça allait être incroyable comme expérience. Et même si je râle beaucoup ici, ce le fut ! Je n'ai pas eu peur une seule seconde.
 

rebeccapneu

Hyperlactation
Adhérent(e) LLLF
Quand on était en plein COVID les copains de la réa voulaient confiner plus durement et plus longtemps que tout le monde car ils en avaient marre de voir des gens mourir. Je le comprends. Mais d'un autre côté, mes cousins qui commençaient leur vie étudiante étaient en pleine déprime et ça commençait à peser lourd sur leur moral. Je ne suis même pas sûre qu'il y ait un juste milieu. D'où mes questions existentielles du moment.

À ceci près qu'en situation de maternité, on n'a pas d'impact sur une population entière mais quelques personnes.
 

MmeMarguerite

Fontaine de lait
@rebeccapneu est-ce que tu arrives à faire comprendre à ton homme que c’est important pour toi qu’il se batte pour toi le jour J ?
C’est ce qui m’avait aidée à me libérer un peu la tête finalement : je l’avais briefé sur les débuts de l’allaitement si je n’étais pas en état (scénario catastrophe), sur ce que demanderaient probablement les sf à mon arrivée et que je ne voulais pas (la péri, et qu’on me fasse des TV sans arrêt, le cathéter ne me faisait pas peur et j’étais ok pour qu’on me le pose)… C’était devenu son job et je savais que je pouvais lui faire confiance et m’occuper de faire le mien.
 

Joie

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
Pour Licorne, j’avais pas de projet de naissance. J’avais comme @Pauline C envie juste que mon enfant soit vivant moi aussi etc. J’ai fait entièrement confiance en l’équipe et j’ai amèrement regretté. Car je suis arrivée pour une fissure de la poche des eaux le travail n’arrivait pas. Personne ne m’a conseillé quoi faire. Je suis arrivée en pleine nuit j’ai énormément souffert et absolument pas pu dormir ce n’est que le lendemain qu’on ma proposé des antidouleurs…. Et je suis allée à l’encontre du protocole hospitalier en sortant de la maternité pour marcher dans un parc et essayer de déclencher le travail. Au final on a du m’injecter à deux fois j’en pouvais plus après plus de 24h de douleur on m’a posé la péri j’ai rien senti j’ai poussé dans le vide on a utilisé une ventouse et j’ai eu une épisio…
C’est cette expérience qui m’a poussée à demander le tout naturel et à refuser la péri. Et j’ai énormément lu je me suis préparée comme pour un marathon j’ai fait de l’hypnose …. J’ai mieux vécu ma deuxième expérience mais encore là je n’ai pas échappé à la ventouse et c’était une énorme frustration car j’ai géré toute seule le travail qui a duré de 13h à 22h heureusement l’équipe était sympa et m’a permis de rester de 13 à 18h en ville pas loin de la maternité pour me changer les idées à marcher… de 18 à 22h j’étais sous la douche…
 

Joie

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
@rebeccapneu j’ai écrit un projet de naissance pour mon deuxième bébé et la maternité m’a dit que tout était ok car je ne demandais pas la lune. Mais j’ai écrit exactement ce que je ne voulais pas voir se passer au vu de ma première expérience. J’ai pas aimé ne pas ressentir être un robot à qui on dit quoi faire (et pourtant la péri était à pompe et je n’ai jamais pressé!). Je voulais avoir un contact avec de l’eau durant le travail c’est rassurant pour moi (j’ai eu la douche pas la baignoire) j’ai même écrit clampage tardif (et lors de mon accouchement le gynécologue voulait couper directement je suis intervenue …) et j’ai aussi mis le scenario catastrophe en cas de césarienne… Le truc est que le gynécologue m’a fait miroiter la césarienne si la ventouse ne fonctionnait pas ça m’a pas mal stressé et mon conjoint s’est énervé en lui disant que c’etait pas sympa de me mettre la pression alors que je faisais tout mon possible.
En gros si ma première expérience avait été positive avec la peri et la pompe ressentir assez pour pousser mais pas trop non plus je pense que j’aurais meme pas pensé faire un projet de naissance. Au final je me dis que mon travail est super long même naturellement … je ne suis pas en accord avec les stats…
 

Joie

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
@rebeccapneu est-ce que tu arrives à faire comprendre à ton homme que c’est important pour toi qu’il se batte pour toi le jour J ?
C’est ce qui m’avait aidée à me libérer un peu la tête finalement : je l’avais briefé sur les débuts de l’allaitement si je n’étais pas en état (scénario catastrophe), sur ce que demanderaient probablement les sf à mon arrivée et que je ne voulais pas (la péri, et qu’on me fasse des TV sans arrêt, le cathéter ne me faisait pas peur et j’étais ok pour qu’on me le pose)… C’était devenu son job et je savais que je pouvais lui faire confiance et m’occuper de faire le mien.
Ici mon homme était complètement detache de mon projet de naissance. C’est la sage femme de mes cours de preparation qui lui a donné des pistes le massage etc mais il avait déjà oublié j’ai moi même préparé le sac avec les sucettes au miel, l’huile de massage, les snacks, le vaporisateur et je lui ai expliqué quand me donner quoi. Sinon sur les sujets type clampage tardif et tout le reste il s’en foutait…
 

bloom

Lactarium
je me pose mille questions sur comment réussir à dire non (on est si vulnérable quand on accouche),

la botte secrète c est le papa. C est lui qui gère TOUT , les papiers, tes demandes, le dialogue avec l équipe médicale, qui t observe et sent si tu es à l aise et s il faut faire barrage. Premier accouchement j ai déclaré que je ne voulais plus parler à la gyneco. Deuxième accouchement la sf demandait les choses au papa qui me relayait les infos. Je l ai super briefé et lui ai même fait des fiches 🙈.
on avait un classeur de maternité avec toutes les infos dedans et on a fait un check régulier pour être sûrs qu il sache tout retrouver le jour j.
sur comment embarquer la SF dans le projet en quelques minutes mais sans la braquer, sur comment me préparer..
Ah mon avis là aussi le papa peut sentir le jour j et essayer de virer ou limiter les contacts avec ceux qui te stressent et pousser pour avoir la présence de ceux qui te font du bien.

un truc bête que j ai mis dans mon projet de naissance, que seules les personnes indispensables pour les soins soient autorisees à rentrer dans la pièce. 🤷‍♀️


Il y a vraiment beaucoup de choses qui ne dependent pas de la parturiente, de sa.preparation.
Et aussi beaucoup de choses qui dépendent de l accompagnement de la parturiente et du respect de sa personne. Est ce que connais michel odent ? Ce qu il écrit est passionnant.
Quel est le bon degré d'information,
Comme d habitude tu touches à l essentiel. 🥰

perso je ne comprends pas qu on puisse accoucher sans se poser de questions. Premier rdv gyneco de ma première grossesse , 1/4h , une echo et un rdv pour un nouveau rdv un mois après . J avais mille questions qu on a évidemment pas abordées. Le suivi qu on a entrepris ensuite avec une sf qui nous a gardés plus d une heure à chacun des rdv qu on a fait a été extraordinaire. Et elle nous a clairement dit que pour elle, c était beaucoup plus intéressant d accompagner des couples qui étaient acteurs et moteurs de la naissance que l inverse.
mais c est une question de tempérament je pense. Pour le mariage, je réfléchis déjà et j explore ce que c est. Dans un podcast, j entendais que dans le code civil, on demande aux mariés d être fidèles, mais à aucun moment on ne leur demande de s aimer. Bref c est génial , j ai plein de questions dans la tête. je suis ce type de personne à qui les gens disent « ah oui quand même tu te prends beaucoup la tête », alors que pour moi c est une évidence de réfléchir à des choses aussi essentielles. Je ne comprends pas qu on puisse fonctionner autrement (Bon en le disant je commence à projeter pour imaginer que si on puisse, mais je dois faire des efforts). Si je sais que je vasi accoucher dans neuf mois et que j habite dans un pays où les violences obstétricales sont courantes je ne vais pas prendre le risque de dire que super je vais faire confiance et on verra bien comment ça se passe, je vais pas non plus passer à côté de l exploration de ce que je vis à un instant t , surtout quand c est aussi extraordinaire…
 

Joie

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
la botte secrète c est le papa. C est lui qui gère TOUT , les papiers, tes demandes, le dialogue avec l équipe médicale, qui t observe et sent si tu es à l aise et s il faut faire barrage. Premier accouchement j ai déclaré que je ne voulais plus parler à la gyneco. Deuxième accouchement la sf demandait les choses au papa qui me relayait les infos. Je l ai super briefé et lui ai même fait des fiches 🙈.
on avait un classeur de maternité avec toutes les infos dedans et on a fait un check régulier pour être sûrs qu il sache tout retrouver le jour j.
Oui s’il souhaite s’investir… De mon expérience, le papa ne faisait pas grand chose car il na jamais pris le temps de lire sur le sujet. Heureusement la sage femme du cours préparatoire l’a un peu briefé mais il était sur son téléphone la plupart du temps… Je trouve ça chouette d’avoir des papas investis je ne savais pas que ça pouvait exister
 

Joie

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
perso je ne comprends pas qu on puisse accoucher sans se poser de questions.
Pour Licorne c’est ce que j’ai fait car j’ai considéré que l’on accouchait avant sans vraiment de préparation… et aussi il faut dire que j’ai pris des cours de preparation à la maternité qui étaient archi nuls mais je ne le savais pas…. J’ai aussi tres peu lu sur l’allaitement sur la vie des bébés etc je me suis informée au fur et à mesure…
 

bloom

Lactarium
Pour Licorne c’est ce que j’ai fait car j’ai considéré que l’on accouchait avant sans vraiment de préparation…
J ai aussi l impression que c est un peu dans ce sens que poussent certains professionnels.
deja , de base, attention @Pauline C c est une spéciale dédicace, quand on arrive en rdv médical avec des questions , on passe pour un relou, et encore plus quand on a fait des petites recherches dessus (et pas dix ans de médecine , on est d accord).

donc pour les rdv de suivi de grossesse dans un circuit classique, c est pas exactement pareil, mais pas loin.
On ira jamais dire à une femme de réfléchir à ce qu elle souhaite, de se renseigner sur ce qui est possible etc, c est pas le job des médecins.
 

Joie

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
Ici le papa était content d avoir un rôle - et pas des moindres. On a grandi tous les deux entre notre aîné et notre deuze. Et ça a beaucoup aidé de faire la prepa. Il lit moins que moi donc j ai sélectionné des passages et on a parlé.
C’est cool moi si je lui dis de lire il me repond jai pas le temps pour des lectures pour mon boulot je n’ai pas le temps pour cela…
 

Pangolin

Lactarium
Adhérent(e) LLLF
bébé vivant avec un cerveau intact, pas trop de sang partout, périnée pas trop en vrac
Ce qui me frappe, c'est que j'ai l'impression qu'on (et l'équipe médicale surtout) a tellement en tête les risques "physiques", pour la mère et l'enfant, que le fait qu'il puisse aussi y avoir des séquelles psy (syndrôme du stress post traumatique, tout ça tout ça) n'est pas du tout pris en compte.

Alors, oui, bébé vivant avec un cerveau intact c'est le plus important, mais si bébé et maman peuvent AUSSI s'en sortir sans trop de séquelles physiques ou psychologiques c'est mieux.
 
Haut