Bonjour Nab. Je connais les mêmes frustrations que toi et je trouve la situation très injuste. Mon compagnon y est plus sensible aujourd'hui qu'il ne l'a été avec mon aîné, heureusement. Malgré tout, c'est difficile pour moi de lui laisser mon petit Lion car, même en dehors des tétées qui arrivent toutes les deux heures environ, je crois qu'il n'assume pas complétement les besoins d'un tout petit.Coucou les filles.. je déverse un peu de frustration ici.
Est-ce que vous avez déjà expérimenté l'ambivalence du maternage proximal. Je m'explique.. j'adore ma fille et passé du temps avec elle. Mais aujourd'hui mon mec me "demande" s'il peut sortir ce soir et j'ai fondu en larmes. Pas parce qu'il sortait mais parce que moi je m'en empêche et que du coup plus personne ne me le propose.
En fait j'aimerais qu'il aspire et est les mêmes envies de rester avec notre poupette.. mais lui "peux" sortir sans ce prendre la tête de si les besoins de sa fille seront pris en compte. En soit il me pousse à faire de même mais je n'y arrive pas. C'est pas facile cette ambivalence.. je voulais juste vider mon sac de maman..
Oui tout pareil.. je l'emmène partout. Mais je crois que parfois j'ai bien envi de ne pas être la maman de la petite puce.. mais juste moi. Après c'est ma première..et avant de l'avoir j'avais bien sûr le discours "bébé ne va pas me changer.. je continuerai à faire les mêmes choses qu'avant " aujourd'hui je rigole de cette naïveté !Bonjour Nab. Je connais les mêmes frustrations que toi et je trouve la situation très injuste. Mon compagnon y est plus sensible aujourd'hui qu'il ne l'a été avec mon aîné, heureusement. Malgré tout, c'est difficile pour moi de lui laisser mon petit Lion car, même en dehors des tétées qui arrivent toutes les deux heures environ, je crois qu'il n'assume pas complétement les besoins d'un tout petit.
La solution que j'ai trouvé et qui me convient, c'est d'emmener mon fils partout avec moi. Je sors librement, quelque soit l'heure, avec lui. Collé à moi dans l'écharpe, il s'en sort très bien.
Et petit à petit, je le laisse de plus en plus à mon compagnon pour qu'il prenne ses marques avec lui et prenne son rôle de père avec plus d'assurance.
Oh @NabCoucou les filles.. je déverse un peu de frustration ici.
Est-ce que vous avez déjà expérimenté l'ambivalence du maternage proximal. Je m'explique.. j'adore ma fille et passé du temps avec elle. Mais aujourd'hui mon mec me "demande" s'il peut sortir ce soir et j'ai fondu en larmes. Pas parce qu'il sortait mais parce que moi je m'en empêche et que du coup plus personne ne me le propose.
En fait j'aimerais qu'il aspire et est les mêmes envies de rester avec notre poupette.. mais lui "peux" sortir sans ce prendre la tête de si les besoins de sa fille seront pris en compte. En soit il me pousse à faire de même mais je n'y arrive pas. C'est pas facile cette ambivalence.. je voulais juste vider mon sac de maman..
C'est exactement ça... sauf que le papa à 28 ans de mon côté et moi 31..Oh @Nab
Comme je te comprends... mon compagnon ne sort pas beaucoup, c'est un casanier. Pour autant, nous sommes encore jeunes (37 pour lui et 31 pour moi) et les propositions de sorties et de repas entres amis affluent... MAIS difficile pour moi encore d'imaginer une sortie dans un bar, bébé s'endort au sein, comment gererait il un endormissement seul?
Alors je laisse mon compagnon faire sa petite vie... mais pareil, parfois je me sens un peu prisonnière de ces conditions. Surtout quand ta pote t'appelle ( qui elle est au bibi de LA) pour te demander si tu viens à la soirée parce que ça va être trop cool !
Donc moi, c'est pareil en gros, plus de proposition de sortie puisque de toute façon, elle allaite elle ne pourra pas...
Dans 3 mois, l'anniversaire surprise de ma meilleure amie! Je l'ai appris hier! Bon d'ici là, nos bébés auront encore grandis!C'est exactement ça... sauf que le papa à 28 ans de mon côté et moi 31..
En vrai il demande qu'à passer plus de temps avec elle mais j'ai toujours ma petite voix au fond de moi qui me dit " oui mais ça sera pas pareil qu'avec maman". Et j'ai surtout peur que ça se passe mal. Et a la fin du mois j'ai le mariage de ma meilleure amie.. j'appréhende total. On verra bien.. mais pour le coup je ne peux pas louper ça !
Je pense que c’est la différence homme /femme .Mais c'est exactement ça..
En fait (et je n'aime pas faire de generalité) ils sont tous fait du même moule fait croire. Je ne sais pas si c'est du fait de l'allaitement ou juste de la différence homme/femme dans la parentalité..
Je crois aussi que c'est parce que c'est un homme et pas uniquement du fait de l'allaitement. Pourtant le mien, il essaie de luter contre (son éducation de garçon) mais c'est vraiment plus fort que lui ! L'autre jour, alors qu'il était de mauvais poil, il m'a dit : "Je crois que si je suis de mauvaise humeur en ce moment, c'est parce que je ne peux plus grimper." Et s'il ne peut plus faire d'escalade, ce n'est pas parce qu'il a un jeune enfant (non non, il n'a pas du tout penser à ça !), C'est parce qu'il a une blessure ! Je n'ai rien dit, mais ça m'a un peu fait un pincement au cœur. Moi, à part la marche et parfois des étirements, je n'ai repris aucun sport. Pas parce que j'ai accouché (non non, ça c'est passé nickel), c'est parce que je prends soin de mon fils !!Mais c'est exactement ça..
En fait (et je n'aime pas faire de generalité) ils sont tous fait du même moule fait croire. Je ne sais pas si c'est du fait de l'allaitement ou juste de la différence homme/femme dans la parentalité..
@Celine2horsJe crois aussi que c'est parce que c'est un homme et pas uniquement du fait de l'allaitement. Pourtant le mien, il essaie de luter contre (son éducation de garçon) mais c'est vraiment plus fort que lui ! L'autre jour, alors qu'il était de mauvais poil, il m'a dit : "Je crois que si je suis de mauvaise humeur en ce moment, c'est parce que je ne peux plus grimper." Et s'il ne peut plus faire d'escalade, ce n'est pas parce qu'il a un jeune enfant (non non, il n'a pas du tout penser à ça !), C'est parce qu'il a une blessure ! Je n'ai rien dit, mais ça m'a un peu fait un pincement au cœur. Moi, à part la marche et parfois des étirements, je n'ai repris aucun sport. Pas parce que j'ai accouché (non non, ça c'est passé nickel), c'est parce que je prends soin de mon fils !!
Et puis un autre jour, je parlais à mon compagnon d'une amie que je sens fragilisée aussi par cette même injustice et de son compagnon qui travaille comme un fou depuis la naissance de leur enfant et j'ai dit : "surtout que ce n'est pas justifié, il suffirait qu'on lui apporte son petit pour qu'il téte, pof pof ça prend 15 minutes et ensuite le papa il pourrait câliner aussi bien son bébé pour laisser sa compagne faire son travail !" Et bien, mon compagnon a fait une drôle de tête. Comme si je lui apprenais une réalité gênante...
Tout ça ne me met heureusement plus en colère, ni trop malheureuse. Mais ce qui est certain, c'est que cette non égalité dans notre investissement personnel en terme de parentalité, nous a éloigné mon compagnon et moi.