Bonnes vacances @Célestine et joyeux six mois à ton petit !
De mon côté j'ai toujours du mal à concilier tous les pans de mon activité professionnelle avec ma vie de famille. Je sens la loutre se raidir dès que j'ose dire : "ah, je dois faire ça pour mon travail...". Faut dire que je n'ai plus la possibilité de rattraper un petit retard en allant au travail plus tôt (je fais téter le lionceau avant de partir), fini le midi aussi (avec le repas et la tétée -calin etc., Je n'ai pas une minute à moi sur ma pause déjeuner !), ni même en fin d'après midi car le lionceau me réclame fort vers 16h30-17h. Résultat : j'ai une pile de petites taches non faites qui s'accumulent que je tente de réduire le soir en cachette avant de me coucher quand les enfants dorment. Je ne peux pas travailler longtemps le soir non plus, les nuits ne sont pas toujours très reposantes. Bref, c'est un peu rude, mon travail est quand même dégradé même si je suis assez fière du résultat global. Je m'autorise quelques auto applaudissements car c'est vrai dans mon métier comme dans beaucoup d'autres : le contexte n'est pas aidant. Nous manquons de personnels et de moyens. Et je m'interdis de me porter responsable des disfonctionnements que cela implique et qu'ils empiètent sur mon équilibre personnel... Pour le moment, je tiens le cap !
Le lionceau va toujours bien. J'ai un peu peur quand même que ça recommence sans qu'on comprenne pourquoi. Les gens de mon village sont adorables : ils ont tous entendu parler de la maladie du petit lion et me demandent des nouvelles quand ils me croisent ! Il est bien intégré ce petit déjà, on pense à lui et ça me fait vraiment plaisir de le constater.
De mon côté j'ai toujours du mal à concilier tous les pans de mon activité professionnelle avec ma vie de famille. Je sens la loutre se raidir dès que j'ose dire : "ah, je dois faire ça pour mon travail...". Faut dire que je n'ai plus la possibilité de rattraper un petit retard en allant au travail plus tôt (je fais téter le lionceau avant de partir), fini le midi aussi (avec le repas et la tétée -calin etc., Je n'ai pas une minute à moi sur ma pause déjeuner !), ni même en fin d'après midi car le lionceau me réclame fort vers 16h30-17h. Résultat : j'ai une pile de petites taches non faites qui s'accumulent que je tente de réduire le soir en cachette avant de me coucher quand les enfants dorment. Je ne peux pas travailler longtemps le soir non plus, les nuits ne sont pas toujours très reposantes. Bref, c'est un peu rude, mon travail est quand même dégradé même si je suis assez fière du résultat global. Je m'autorise quelques auto applaudissements car c'est vrai dans mon métier comme dans beaucoup d'autres : le contexte n'est pas aidant. Nous manquons de personnels et de moyens. Et je m'interdis de me porter responsable des disfonctionnements que cela implique et qu'ils empiètent sur mon équilibre personnel... Pour le moment, je tiens le cap !
Le lionceau va toujours bien. J'ai un peu peur quand même que ça recommence sans qu'on comprenne pourquoi. Les gens de mon village sont adorables : ils ont tous entendu parler de la maladie du petit lion et me demandent des nouvelles quand ils me croisent ! Il est bien intégré ce petit déjà, on pense à lui et ça me fait vraiment plaisir de le constater.