Oh, je pense que mon mari fait réellement tout son possible pour que ça se passe bien. Par moments il se sent dépassé par les attentes de sa fille et dit lui-même qu'il a moins de patience que moi, que la bienveillance ne lui vient pas naturellement. Sa fermeté, c'est sa manière d'être, il est tout malheureux quand il se rend compte que ça ne se passe pas aussi bien qu'il voudrait... Mais nous avons tous des schémas dans la tête qu'il est difficile de déprogrammer.
Quand on en reparle, il est tout à fait d'accord pour dire que revenir sur un non est une excellente chose. Cependant, sur le coup de l'émotion, parfois, c'est compliqué pour lui.
Pour exemple, hier, la luciole s'endort à 20 h (très très cuite) et se réveille à 22h30. Je reviens sur la terrasse après l'avoir rendormie... au sein. Il me dit "Alors, tu l'as rendormie ?" "Oui..." "Elle a tété ?" "Ben oui !" Et là il se marre, il m'a assuré que je faisais bien, qu'il fallait être souple et qu'il ne jugeait absolument pas ce que je faisais négativement mais que c'était tout bien comme je le sentais.
Je crois que quand elle ne s'apaise pas avec lui, il le ressent comme un rejet et qu'il le vit mal.
Quand on en reparle, il est tout à fait d'accord pour dire que revenir sur un non est une excellente chose. Cependant, sur le coup de l'émotion, parfois, c'est compliqué pour lui.
Pour exemple, hier, la luciole s'endort à 20 h (très très cuite) et se réveille à 22h30. Je reviens sur la terrasse après l'avoir rendormie... au sein. Il me dit "Alors, tu l'as rendormie ?" "Oui..." "Elle a tété ?" "Ben oui !" Et là il se marre, il m'a assuré que je faisais bien, qu'il fallait être souple et qu'il ne jugeait absolument pas ce que je faisais négativement mais que c'était tout bien comme je le sentais.
Je crois que quand elle ne s'apaise pas avec lui, il le ressent comme un rejet et qu'il le vit mal.