C’est moi qui ai parlé de grossesse délurée pardon. @Joie parlait juste d allaitement .
Pour l'allaitement vu les quantités très faibles d'alcool ça ne me poserait pas de souci.
C’est moi qui ai parlé de grossesse délurée pardon. @Joie parlait juste d allaitement .
Je suis admirative de ce super pouvoir! J’en connais qui détectent le vinaigre ou encore certaines épices en quantité infimeC'est exactement ça le problème. Le constraste bloque le dialogue, on a l'impression qu'il n'y a pas de continuité, et comme pour beaucoup de problèmes, ça a tendance à créer un tabou : boire en allaitant (ou enceinte d'ailleurs) ça devient un truc dont on a super honte et dont on ne parle pas et donc ça bloque l'accompagnement médical à ce sujet (ne serait-ce que, pour une équipe médicale en maternité, de savoir que la mère a des soucis avec l'alcool peut permettre d'anticiper certains soucis à la naissance, mieux vaut le savoir à l'avance quoi).
Je mets la grossesse et l'allaitement dans le même panier alors que je sais parfaitement qu'il y a un ordre de grandeur d'écart en terme de risques, mais dans la tête de beaucoup de gens c'est la même chose (et c'est bien le problème).
Dans tous les cas le problème n'est pas la reco, mais la façon dont elle est mise sous forme d'injonction culpabilisante, incitant à se cacher pour le faire, tout en n'ayant rien du tout pour l'alcoolisme "global" dans la société. Le "clash" entre les deux pose beaucoup de problèmes...
Je confirme. Je n'aime pas l'alcool et ça a l'air de trouver ça bizarre. Je profite de l'excuse "ah oui mais j'allaite" mais j'aime pas parce que ça sous-entend qu'on ne peut pas boire du tout en allaitant...
Je n'aime ni l'alcool, ni le fromage ^^. Je vous laisse imaginer les yeux ronds des gens à l'étrangers quand je leur dis que je suis française...
Je n'aime que les fromages avec très peu de goût, type fromage frais, tout ce qui a un goût un minimum marqué me donne un haut le coeur (même l'emmental c'est limite, je peux en manger mais je préfère si il n'y en a pas).
Pour l'alcool, c'est vraiment le goût de l'alcool qui me gène, que je peux "sentir" peu importe ce qu'il y a par dessus. Je suis de celles qui détectent un kéfir qui a trop fermenté, un jus de pomme qui a tourné légèrement, ou de reste d'alcool dans un gâteau cuit, ou dans une sauce où c'est pas 100% évaporé. Ça ne va pas me dégoûter pour une très faible quantité, mais bon, je suis pas fan (un jus de pomme très légèrement alcoolisé pourquoi pas, mais s'il n'est pas alcoolisé je préfère tant qu'à faire).
Aujourd’hui, je ne pense plus que ça se fait. Ou alors seulement dans les milieux familiaux mais pas dans les structures scolaires.on donne bien du bourguignon ou du lapin au cidre aux enfants
J'ai l'impression que ça choque bcp plus de monde mtnt qu'avant.Ça ne donne pas une alcoolémie détectable, on donne bien du bourguignon ou du lapin au cidre aux enfants !
Sauf si c'est pour raison religieuse ? Des élèves m'ont déjà parlé de ce problème (lycée)J'ai vu passer un article de la PQR sur la croisade d'un père de famille contre une cantine scolaire qui met un peu de vin blanc dans la sauce... j'avoue que ça m'a laissée perplexe.
Dernièrement j'ai senti l'alcool dans un "chinois" industriel. C'était le dernier ingrédients (dans les arômes)Je suis admirative de ce super pouvoir! J’en connais qui détectent le vinaigre ou encore certaines épices en quantité infime
Moi c'est avec le céleri que j'ai déjà eu ce genre de souci. (Ça me brûle pas mais je sens le goût - et je déteste ça - même s'il n'y en a qu'1% parmi plein d'autres ingrédients.)Dernièrement j'ai senti l'alcool dans un "chinois" industriel. C'était le dernier ingrédients (dans les arômes)
En le mangeant je me disais, tiens il y a un goût bizarre, ça me brûle légèrement, comme s'il y avait de l'alcool dedans et en vérifiant il y en avait bien
ça dépend si le rhum est ajouté avant ou après cuisson...
normalement c’est cuit
Donc zéro soucis !
Oui c'est pratique mais un peu casse-pieds aussi. Parce que du coup je n'aime pas des trucs pour des mini doses (que je considère moi-même comme insignifiantes, certes il reste de l'alcool quand c'est cuit dans certains plats mais la quantité à la base je la considère suffisamment faible pour ne pas poser de danger enceinte).Je suis admirative de ce super pouvoir! J’en connais qui détectent le vinaigre ou encore certaines épices en quantité infime
Je comprends. Je suis galère aussi pour la nourriture ("quoi tu n'aimes pas les fruits ?! Comment c'est possible ?! ")Oui c'est pratique mais un peu casse-pieds aussi. Parce que du coup je n'aime pas des trucs pour des mini doses (que je considère moi-même comme insignifiantes, certes il reste de l'alcool quand c'est cuit dans certains plats mais la quantité à la base je la considère suffisamment faible pour ne pas poser de danger enceinte).
Déjà que je suis la casse-pieds de la bouffe, quand je me retrouve à ne pas aimer un gâteau parce qu'il y a une ganache avec un poil d'alcool... c'est bête quoi.
Cool ! Je n'aurai pas pensé à l'utiliser comme ça (en même temps mes collègues n'avaient pas de problèmes avec l'alcool même si plusieurs n'en boivent pas)Par contre pour les potes qui n'en veulent absolument pas la moindre trace, c'est pratique, je suis le détecteur. J'avais un co-thésard comme ça, et quand on était en conf à l'étranger où on ne savait pas trop ce qu'on mangeait, il me faisait confiance pour ces trucs-là .
Beaucoup de membres du forum ont fait une thèse, c'est assez peu représentatif de la société en générale par iciVu que je vois le mot "co-thésard", on peut discuter sur le métier de la recherche et avoir un bébé ? (peut-être en MP pour éviter de faire trop hors-sujet à la discussion)
Oh ! Vu que j'ai fini ma thèse en mai dernier et commencé un post-doc dans la foulée avec un bébé en route, qui est né en octobre. Je vais reprendre le travail fin janvier et j'ai pas mal de questions/besoin de conseils sur le rythme de boulot, le réseau, le début de carrière en recherche, etc avec un petit bébé (pour lequel je culpabilise de devoir le laisser aussi souvent en crèche...)Beaucoup de membres du forum ont fait une thèse, c'est assez peu représentatif de la société en générale par ici
Je dirais que pourquoi pas. Tu n'es pas la seule, et il peut y avoir plusieurs mamans dans des situations pas tout à fait pareilles mais similaires au niveau des rythmes.(Je ne sais pas si je peux ouvrir une discussion là dessus car c'est assez spécifique, le milieu de la recherche, et ne concernant pas que l'allaitement)
Ça, c'est hélas commun à beaucoup de boulot...(pour lequel je culpabilise de devoir le laisser aussi souvent en crèche...)
Ok, je lancerai la discussion.Je dirais que pourquoi pas. Tu n'es pas la seule, et il peut y avoir plusieurs mamans dans des situations pas tout à fait pareilles mais similaires au niveau des rythmes.
J'en ai eu un avant (il y a 14ans) et un maintenant (début grossesse en fin de thèse).Moi j'ai fait une thèse mais avant d'avoir des enfants, et je ne suis plus dans la recherche. Tu es dans quel domaine de recherche ?
Oui... Mais il est plus facile dans certains domaines que d'autres d'avoir un congé parental/s'arrêter et de reprendre ensuite...Ça, c'est hélas commun à beaucoup de boulot...
Whoa, quel parcours !J'en ai eu un avant (il y a 14ans) et un maintenant (début grossesse en fin de thèse).
Copine !Je suis en informatique.
C'est vrai. Dans la recherche c'est clair que c'est difficile de s'arrêter, sauf une fois qu'on a un poste fixe, ce qui est dur à avoir... j'espère que tu ne vas pas trop galérer pour çaOui... Mais il est plus facile dans certains domaines que d'autres d'avoir un congé parental/s'arrêter et de reprendre ensuite...