+1Pour ma part, c'est tout le contraire
J’ai du me justifier pour mes 2 enfants vis à vis de mon choix de continuer à allaiter:
Prof de santé, collègues de travail, famille…
Vraiment triste.
+1Pour ma part, c'est tout le contraire
je suis entièrement d'accord. C'est pas une question d'allaitement amha. La normativité sur les RS, l'agressivité des échanges, la polarisation systématique, etc.Pour moi, le véritable problème c'est les réseaux sociaux, mais là, on part sur un autre débat
je peux t'assurer qu'avec l'allaitement, un des deux parents ne se levait pas chez moiqu'avec le biberon un des deux parents ne se lève pas
Oui, mais du coup c'était toujours le mêmeje peux t'assurer qu'avec l'allaitement, un des deux parents ne se levait pas chez moi
Oui c'est vrai, mais du coup il est davantage reposé pour prendre tout le reste en charge. Au lieu de dormir une nuit sur deux.Oui, mais du coup c'était toujours le même
C'est ce que j'appelle un vrai choix. Tant mieux pour elles c'est très bien d'être au claire avec soi même.J'ai quelques potes qui n'allaiteront pas, n'allaitent pas parce que ça les rebute, voire les dégoûte. Ça ne va pas avec l'image qu'elles ont de leur corps et de leur relation avec le bébé. Elles n'en ont pas envie. Peu importe, on en discute tandis que moi j'allaite devant elles, elles donnent un biberon, tout va bien. Elles sont au courant des vertus de l'allaitement, elles ont pesé Le pour et Le contre par rapport aux contraintes organisationnelles dans leur famille,et fait leur choix.
Cet "argument" du rebut m'interpelle toujours. Elles ont été rebutees par la grossesse aussi ? L'accouchement ? Ce nouveau né qu'on croit connaître et qui nous semble parfois bien étranger soudainement , qui pleure (hurle aussi ) ?J'ai quelques potes qui n'allaiteront pas, n'allaitent pas parce que ça les rebute, voire les dégoûte. Ça ne va pas avec l'image qu'elles ont de leur corps et de leur relation avec le bébé. Elles n'en ont pas envie. Peu importe, on en discute tandis que moi j'allaite devant elles, elles donnent un biberon, tout va bien. Elles sont au courant des vertus de l'allaitement, elles ont pesé Le pour et Le contre par rapport aux contraintes organisationnelles dans leur famille,et fait leur choix.
Tout à fait, parce que le sujet au fond ça reste "Je veux vivre la maternité que je veux, je veux décider de l'impact que ça aura sur mon corps, mon mental et ma vie, et je veux pouvoir à côté continuer à avoir une vie personnelle et une carrière et ne pas être la seule à en porter l'impact"En France, il y a une lecture féministe de l'allaitement ET du biberon, les deux discours cohabitent.
C'est vrai que moi j'étais toujours dans l'incompréhension totale quand les gens me demandaient si je voulais une péridurale, parce que je ne voyais pas, mais absolument pas pourquoi je m'imposerais à moi-même cette douleur alors que la technologie me permettait de l'éviter. J'ai clairement posé la question à l'anesthésiste, tout ce qu'elle m'a dit c'est "Certaines ont envie de se donner un challenge" (c'est dommage, elle était manifestement passé à côté de toute une façon d'aborder l'accouchement et la réalité physique qui va avec).Idem pour la péridurale par exemple, pour moi c'est la victoire ultime sur la malédiction biblique et le "tu enfanteras dans la douleur", j'enfanterai comme je veux et PAS dans la douleur parce que pas envie, merci bien, pour d'autres, c'est le symbole de l'emprise de la technique sur le corps des femmes et le vrai "empowerment" c'est de tout ressentir de A à Z sans une once d'anesthésiant. Peu importe du moment que chacune peut assumer ses choix devant les autres et respecter celui de la voisine.
C'est malin de sa part. Le mien m'avait dit qu'il aimerait bien que notre enfant soit allaité mais que je faisais comme je voulais.Heureusement, mon homme m'a dit : essaie c'est le meilleur moyen de te faire TON idée, il sait me manipuler ce mec
VoilàOn ne peut pas la stopper, juste continuer à diffuser des informations objectives et dépassionnées...
En discuter simplement aussi si on est à l'aise.Voilà
Et aussi, individuellement, soutenir les parents dans leurs choix à eux !
Il faut dire aussi que le "avec la péridurale vous n'aurez pas mal madame" je ne sais pas vous mais moi j'ai trouvé ça une vaste blague.Idem pour la péridurale par exemple, pour moi c'est la victoire ultime sur la malédiction biblique et le "tu enfanteras dans la douleur", j'enfanterai comme je veux et PAS dans la douleur parce que pas envie, merci bien,
Évidemment !Bref péri ou pas péri, c'est un faux problème, ce qu'il faudrait c'est que les équipes aient le temps et la place pour accueillir tout le monde correctement, et pour cela il faudrait qu'on mette plus de moyens dans les maternités.