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Mamans déprimées on se soutient ?

cerise

Modératrice
Adhérent(e) LLLF
@Liliju tes mots sont exactement ce que je ressens.
(Et pourtant... ma famille n'est pas touchée et mes enfants supportent pas trop mal le masque...)

J'ai peur aussi que cette situation ne finisse pas. Ce virus il sera là à vie, alors je me demande quand les gouvernements vont accepter de laisser tomber. Pour l'instant ils suivent la voie exactement inverse : tant que les mesures ne mettent pas fin à l'épidémie ils continuent avec des mesures de plus en plus drastiques, déshumanisantes, hygiénistes. Mais rien ne mettra fin à l'épidémie à part de l'accepter et de la laisser passer. Plus il y a de mesures, plus ça fait durer l'épidémie longtemps. Et il y aura sûrement des épidémies de covid régulièrement comme la grippe, alors je me demande à quel moment ils vont se dire : "bon on arrête les frais, on ne peut rien faire, tant pis", vu que pour l'instant ils sont dans l'esprit exactement inverse : qu'importe le coût (économique mais aussi humain), ils se refusent à admettre qu'ils ne peuvent rien faire.
 

Cactus2002

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
On est tous impacté par ce qui se passe, et on réagi avec nos mécanismes de défense, certains luttent, certains agissent, d'autres acquiescent, d'autres regardent en spectateurs ou se replient dans leur grotte, etc...

On fait comme on peut, mais là ça fait vraiment beaucoup, la pauvreté, les inégalités, les guerres, maintenant la distanciation, les lois qui nous privent de nos libertés, la maladie.

Comment continuer à vivre avec cela ? Transformer la boue en lotus ?
Garder la tête sur les épaules ?

Surtout gardons de la douceur pour nous même quelque soit notre réaction et aussi entre nous.

Je suis de tout coeur avec vous les filles, moi aussi je suis très triste pour les enfants masqués et aussi pour les personnes qui se retrouvent sans travail.

Cet été j'ai une amie qui m'a fait la bise et qui m'a prise dans ses bras, j'ai pleuré, j'avais oublié à quel point ça me fait du bien, à quel point j'en ai besoin et à quel point cela nous manque.
j'aime bien ton état d'esprit aujourd'hui🥰
J'ai essayé de téléphoner au numéro vert du gouvernement, qui m'a redirigée vers une aide psychologique.
Mais ça n'a fait que me rendre encore plus mal. Déjà au début sur le numéro du gouvernement, avant d'avoir quelqu'un, il y avait des messages de... j'ai envie de dire propagande mais ça va faire polémique 🤭 Enfin des messages rappelant les consignes du gouvernement et pourquoi le gouvernement les juge indispensables, bref c'est justement les trucs qui me dépriment donc déjà ça partait mal. Et puis ensuite bah le monsieur il m'a écoutée mais bon il pouvait pas faire grand chose, et du coup le fait que ça ait servi à rien ça m'a rendue encore plus mal parce que déjà le fait de décrocher mon téléphone était un effort surhumain pour moi. (J'ai horreur du téléphone.)

Bon c'était pas un numéro spécialisé. (Mais je ne sais pas quel numéro spécialisé je pourrais appeler... Il y a un numéro pour "trop empathique" ?)
La faculté de psychologie de mon université a mis en ligne un numéro de soutien psychologique pour les étudiants et le personnel de l'université. Ils en profitent également pour former des psychologues de cette manière et ils sont supervisés par des cliniciens. Peut-être qu'il y a quelque chose comme cela autour de toi? Sinon je te donne volontiers le numéro mais tu vas avoir des frais de roaming vu que c'est en Suisse
 

Gna

Modératrice
Adhérent(e) LLLF
J'ai essayé de téléphoner au numéro vert du gouvernement, qui m'a redirigée vers une aide psychologique.
Mais ça n'a fait que me rendre encore plus mal. Déjà au début sur le numéro du gouvernement, avant d'avoir quelqu'un, il y avait des messages de... j'ai envie de dire propagande mais ça va faire polémique 🤭 Enfin des messages rappelant les consignes du gouvernement et pourquoi le gouvernement les juge indispensables, bref c'est justement les trucs qui me dépriment donc déjà ça partait mal. Et puis ensuite bah le monsieur il m'a écoutée mais bon il pouvait pas faire grand chose, et du coup le fait que ça ait servi à rien ça m'a rendue encore plus mal parce que déjà le fait de décrocher mon téléphone était un effort surhumain pour moi. (J'ai horreur du téléphone.)

Bon c'était pas un numéro spécialisé. (Mais je ne sais pas quel numéro spécialisé je pourrais appeler... Il y a un numéro pour "trop empathique" ?)

il existe une association qui s’appelle la porte ouverte.
 

Mamenrond

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
dans les yeux et dans la voix. Dans les attitudes.
C'est exactement ce que je pensais, les sourires se perçoivent aussi avec le masque !

Les mesures sont dures, j'en conviens, je le comprends. Cela étant, à mon sens elles sont aussi nécessaires.
Oui, contenir l'épidémie la fera durer plus longtemps, ils le savent très bien : plus les cas graves sont étalés dans le temps et mieux on sera en mesure de les soigner, c'est le but recherché.
Si on laissait exploser l'épidémie, il n'y aurait pas assez de lits et de soignants pour tous les malades.
Il y aurait des médecins dévastés de devoir choisir entre deux patients.
Il y aurait des patients dévastés de ne pas être choisis et de mourir bientôt.
Il y aurait des patients dévastés d'avoir été choisis au détriment d'une autre vie.
Quand je mets mon masque, je pense à ces gens là, je le fais pour eux, et pour moi aussi, pour mes proches et les gens que j'aime, que je protège à mon niveau.

Alors bien sûr le confinement c'est difficile, le masque c'est désagréable, mais on en verra le bout et on se retrouvera tous, grandis peut être, plus forts peut être, mais surtout plus conscients de la chance qu'on a d'être en bonne santé et de pouvoir être soignés !
 

CFD

Hyperlactation
Adhérent(e) LLLF
@Liliju comme je te comprends.... j'en suis à culpabiliser d'avoir fait des enfants dans ce monde. Je sais que c'est violent à dire mais si je ne peux pas le dire là, je ne vois pas où je peux dire ça.
Je suis en mode robot depuis la rentrée et c'est triste de vivre sa vie comme ça. Ma fille fêtera 9 ans sans famille, sans amis..certes je ne vis pas en Syrie mais c'est dur.

Mes élèves m'ont fait un cadeau sans le savoir. Je fais atelier théâtre avec masque et sans se toucher.... et bien ils trouvent des parades, forcent leur geste, leur voix, leur mime, ils se lâchent davantage et ça, ça m'a fait du bien. C'est pas grand chose mais c'est toujours ça
 

cerise

Modératrice
Adhérent(e) LLLF
Bien sûr que laisser faire l'épidémie aurait donné lieu à des situations très dures. Mais ne pas la laisser faire donne aussi lieu à des situations très dures.
Qui se voient moins. Et donc plus "acceptables".
Mais le bilan sera, je le pense sincèrement, pire au final.

C'est ça qui me déprime.

Je n'arrive pas à positiver et à me dire qu'on en verra le bout, parce que je ne suis pas sûre qu'on en verra le bout justement. Je ne suis pas sûre qu'il y ait d'autres alternatives que "laisser faire le virus (et accepter qu'il fasse des victimes)" et "vivre comme ça pour toujours (masques, distanciation)". Il paraît clair que nos dirigeants refusent absolument la première solution, et donc je ne vois pas comment on pourrait éviter la deuxième.

En vrai je nuance. Il existe deux autres alternatives possibles : que cette maladie soit immunisante, et dans ce cas on aura bien un jour une immunité globale. Mais les médecins semblent peu optimistes à ce sujet. Ou alors qu'on trouve un vaccin efficace. Là les médecins sont plus optimistes mais pour l'instant on y est pas, et il faudra sans doute des années avant d'en produire un assez sûr et de pouvoir le diffuser assez largement.

Mais le souci de ces deux alternatives c'est que... Ça vaut pour la covid 19, pas pour les autres épidémies qui viendront.
Au final, le temps d'avoir un vaccin assez sûr et assez de gens vaccinés, la prochaine épidémie sera là, et il n'y a pas de raisons qu'elle soit traitée différemment : la société évolue toujours vers plus d'hygiénisme et de sécurité, jamais dans l'autre sens.
Donc on portera des masques à vie et on se méfiera des autres à vie. On fera des confinements régulièrement. Pour toujours. D'épidémie en épidémie.

Désolée, je n'arrive pas du tout à être plus optimiste.
 

cerise

Modératrice
Adhérent(e) LLLF
Les consultations psy en présentiel sont toujours possibles...
Oui mais il y a des mois d'attente. Remarque je pourrais toujours anticiper pour le prochain confinement...

Mais en fait, je me fais pas trop d'illusion non plus... J'ai déjà consulté des psys. Ça n'a jamais marché pour moi : les choses qui me font souffrir sont extérieures à moi. J'ai trop d'empathie sans doute mais je ne peux pas m'en débarrasser, ça fait partie de ma personnalité.
 

LaVosgienne

Fontaine de lait
Oui mais il y a des mois d'attente. Remarque je pourrais toujours anticiper pour le prochain confinement...

Mais en fait, je me fais pas trop d'illusion non plus... J'ai déjà consulté des psys. Ça n'a jamais marché pour moi : les choses qui me font souffrir sont extérieures à moi. J'ai trop d'empathie sans doute mais je ne peux pas m'en débarrasser, ça fait partie de ma personnalité.
L'excès d'empathie ça se travaille. Avec un psy par exemple (enfin c'est ce que me dit ma psy, j'attends de voir)
 

Mamenrond

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
Wow cette vision est effectivement tellement pessimiste.. Je ne pense pas qu'on soit si loin que ça d'un potentiel vaccin, et sûrement aussi de traitements plus efficaces. Déjà aujourd'hui pour cette seconde vague, les médecins se sont adaptés, prennent en charge les patients différemment et plus efficacement.
On y arrivera !!

Quant aux autres épidémies qui pourraient arriver, il faudrait surtout qu'on fiche la paix aux animaux (surtout sauvages mais pas que), et qu'on arrête de foutre en l'air leur habitat.. Mais alors là on rejoint un point sur lequel je suis moi même pessimiste : le devenir de notre planète, la déforestation, le réchauffement climatique..... c'est plutôt ça qui me déprime perso 🙄
 

Nienna

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
Mais en fait, je me fais pas trop d'illusion non plus... J'ai déjà consulté des psys. Ça n'a jamais marché pour moi : les choses qui me font souffrir sont extérieures à moi. J'ai trop d'empathie sans doute mais je ne peux pas m'en débarrasser, ça fait partie de ma personnalité.
Je ne veux pas polémiquer sur le Covid et la situation géopolitique actuelle, mais je voulais réagir par rapport à ça.
J'ai fait un peu de thérapie et clairement on peut travailler sur la souffrance. Les causes de souffrance sont certes externes (deuil, séparation, contexte) mais la souffrance elle est bien, toujours, intérieure. C'est bien toi qui souffres d'une situation, qui est pourtant la même pour d'autres qui eux n'en souffrent pas (autant/pareil). Je ne sais pas quel type de psy tu as déjà vus (pour ma part j'ai fait de la Gestalt si cela t'intéresse je peux développer un peu), et si tu estimes avoir fait le tour, je ne vais pas t'assurer du contraire car je ne te connais pas assez. Mais j'espère que tu trouveras dans tous les cas les ressources, en toi ou ailleurs, pour surmonter cela. :calin: :calin:
 
Dernière édition:

SEmilie

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
Mes élèves m'ont fait un cadeau sans le savoir. Je fais atelier théâtre avec masque et sans se toucher.... et bien ils trouvent des parades, forcent leur geste, leur voix, leur mime, ils se lâchent davantage et ça, ça m'a fait du bien. C'est pas grand chose mais c'est toujours ça
Tu as raison, il faut trouver des petits bonheurs de partout. C'est vital quand on se sent déprimé par la situation. :calin:
 

SEmilie

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
Bien sûr que laisser faire l'épidémie aurait donné lieu à des situations très dures. Mais ne pas la laisser faire donne aussi lieu à des situations très dures.
Qui se voient moins. Et donc plus "acceptables".
Mais le bilan sera, je le pense sincèrement, pire au final.

C'est ça qui me déprime.

Je n'arrive pas à positiver et à me dire qu'on en verra le bout, parce que je ne suis pas sûre qu'on en verra le bout justement. Je ne suis pas sûre qu'il y ait d'autres alternatives que "laisser faire le virus (et accepter qu'il fasse des victimes)" et "vivre comme ça pour toujours (masques, distanciation)". Il paraît clair que nos dirigeants refusent absolument la première solution, et donc je ne vois pas comment on pourrait éviter la deuxième.

En vrai je nuance. Il existe deux autres alternatives possibles : que cette maladie soit immunisante, et dans ce cas on aura bien un jour une immunité globale. Mais les médecins semblent peu optimistes à ce sujet. Ou alors qu'on trouve un vaccin efficace. Là les médecins sont plus optimistes mais pour l'instant on y est pas, et il faudra sans doute des années avant d'en produire un assez sûr et de pouvoir le diffuser assez largement.

Mais le souci de ces deux alternatives c'est que... Ça vaut pour la covid 19, pas pour les autres épidémies qui viendront.
Au final, le temps d'avoir un vaccin assez sûr et assez de gens vaccinés, la prochaine épidémie sera là, et il n'y a pas de raisons qu'elle soit traitée différemment : la société évolue toujours vers plus d'hygiénisme et de sécurité, jamais dans l'autre sens.
Donc on portera des masques à vie et on se méfiera des autres à vie. On fera des confinements régulièrement. Pour toujours. D'épidémie en épidémie.

Désolée, je n'arrive pas du tout à être plus optimiste.
:calin:
je ne sais pas comment t'aider.
Peut-être essayer de trouver 1 chose par jour qui t'a rendue heureuse, puis 2 puis 3... POur que la balance penche progressive du côté de la vie est belle.
 

Cactus2002

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
On peut aussi choisir de vivre dans un autre monde. Créer sa bulle. Sortir se promener, marcher, observer la nature et créer chez soi un lieu où les pensées noires ne peuvent pénétrer. Un monde où vivent les fées, les licornes et les poneys magiques, r2d2 et greemulax.
On peut réduire mes libertés, on peut m'imposer une société que je hais mais personne ne peut formater mon cerveau. En ce moment je pars en train dans la salle de jeu rencontrer un monstre qui a élu domicile sur le canapé du salon. Et cet après midi nous ferons une potion magique avec des yeux de crapauds et des souris mortes pour se transformer en papillon.
Et si quelqu'un fait des commentaires désagréables tu ne l'entends pas, de toute façon tu ne parles pas le troll.
 

cerise

Modératrice
Adhérent(e) LLLF
:calin:
je ne sais pas comment t'aider.
Peut-être essayer de trouver 1 chose par jour qui t'a rendue heureuse, puis 2 puis 3... POur que la balance penche progressive du côté de la vie est belle.
Il y a des tas de choses qui me rendent heureuse. J'ai pas besoin de faire d'efforts pour en chercher, je peux en citer plusieurs par jour.
Mais je n'arrive pas pour autant à faire abstraction de ce qui ne va pas...
J'y arrivais quand je ne suivais plus l'actualité. J'ignorais ce qui se passait (ou j'apprenais les trucs principaux au compte-goutte), mais là l'actualité est trop dans nos vies pour pouvoir en faire abstraction. Et je ne peux pas me permettre de ne pas la suivre puisque ce que j'ai le droit de faire peut changer d'un jour à l'autre.

Sortir se promener, aller où bon nous semble, sans se poser de question, c'est souvent efficace dans beaucoup de situations.
Mais aujourd'hui c'est interdit.
Si je veux le faire légalement, je dois surveiller ma montre, faire attention à l'endroit où je vais pour ne pas trop m'éloigner, penser à me munir d'une attestation, bref ça ajoute des tas de choses qui ne permettent pas de juste se déconnecter.
Et si je veux le faire comme d'habitude sans me prendre la tête, plane sur moi le spectre que ce que je fais est illégal.

Pour le reste... je ne vais pas détailler tout ce qui me met en colère, ça risquerait de faire polémique et c'est pas mon but.
 

SEmilie

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
Il y a des tas de choses qui me rendent heureuse. J'ai pas besoin de faire d'efforts pour en chercher, je peux en citer plusieurs par jour.
Mais je n'arrive pas pour autant à faire abstraction de ce qui ne va pas...
J'y arrivais quand je ne suivais plus l'actualité. J'ignorais ce qui se passait (ou j'apprenais les trucs principaux au compte-goutte), mais là l'actualité est trop dans nos vies pour pouvoir en faire abstraction. Et je ne peux pas me permettre de ne pas la suivre puisque ce que j'ai le droit de faire peut changer d'un jour à l'autre.

Sortir se promener, aller où bon nous semble, sans se poser de question, c'est souvent efficace dans beaucoup de situations.
Mais aujourd'hui c'est interdit.
Si je veux le faire légalement, je dois surveiller ma montre, faire attention à l'endroit où je vais pour ne pas trop m'éloigner, penser à me munir d'une attestation, bref ça ajoute des tas de choses qui ne permettent pas de juste se déconnecter.
Et si je veux le faire comme d'habitude sans me prendre la tête, plane sur moi le spectre que ce que je fais est illégal.

Pour le reste... je ne vais pas détailler tout ce qui me met en colère, ça risquerait de faire polémique et c'est pas mon but.
Je comprends.
J'ai moi aussi dû me couper des actualités il y a longtemps pour ne plus ressentir toute la souffrance du monde. Et j'arrive à faire avec juste les infos que je cible.

Pour moi tout est une histoire d'équilibre de neurotransmetteurs, de circuits neuronaux et d'aires cérébrales activés.
 
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