Poulet en sucre
Hyperlactation
@MmeMarguerite je comprends que tu aies eu envie de ne rien cacher de ton projet d'AAD. Moi c'était pareil, je voulais être transparente, honnête, jusqu'à ce que je me fasse refouler de la première maternité. J'ai vécu ça comme un refus de me soumettre, finalement de devoir rester presque infantilisée (oui j'y vais fort) et que si je persistais là bas, je n'aurais pas été respectée.
Sinon ici j'ai emmené le papa lors de la première grossesse à une prépa accouchement à la maternité. Rien qu'en rentrant dans la pièce en voyant les autres parents il a déguerpi. Il a eu son téléphone qui sonnait au même moment donc c'était la bonne excuse pour ne pas rester. Ça m'avait énervée car j'avais l'impression qu'il s'en fichait. Il ne venait pas aux consultations (sauf échos), mais il touchait mon ventre, plaisantait sur le prénom... Et je l'avais prévenu que je ne souhaitais pas de péridurale et que je ne savais pas dans quelle position j'allais accoucher, bref qu'il oublie la position gynécologique classique. J'ai du le bouger pour aller à la maternité le jour J car je gérais si bien mon travail qu' il n'a pas réalisé que c'était pour tout de suite. Il était tout fier quand il a vu la tête du bébé sortir le jour de l'accouchement et tout fier de couper le cordon, d'être là tout simplement.
Pour cette 2ème grossesse j'ai davantage lâché prise par rapport à la place qu'il prend pendant la grossesse parce que je sais que ça ne l'empêche pas d'être un père impliqué. C'est sans doute plus difficile pour eux qui ne portent pas l'enfant de se sentir père. En plus cette année il a eu plus de travail donc la tête un peu plus polluée je dirais. Et cet enfant est arrivé par surprise, on avait chacun nos peurs qui nous empêchaient de nous impliquer comme pour la première grossesse : à 3 comment on va faire, lui se pensait déjà trop vieux pour être à nouveau père, etc. Je lui ai dit que je voulais qu'il me fiche la paix pendant le travail mais il sait que j'aurai quand même besoin de lui
. Il est content et me suit à 100 % dans l'AAD. J'ai réussi à l'ouvrir sur une autre façon de donner naissance par rapport à ses représentations du début. Il a déjà eu un fils avant moi, né un peu plus "classiquement", ça l'a donc un peu bousculé, mais il m'a toujours fait confiance.
Sinon ici j'ai emmené le papa lors de la première grossesse à une prépa accouchement à la maternité. Rien qu'en rentrant dans la pièce en voyant les autres parents il a déguerpi. Il a eu son téléphone qui sonnait au même moment donc c'était la bonne excuse pour ne pas rester. Ça m'avait énervée car j'avais l'impression qu'il s'en fichait. Il ne venait pas aux consultations (sauf échos), mais il touchait mon ventre, plaisantait sur le prénom... Et je l'avais prévenu que je ne souhaitais pas de péridurale et que je ne savais pas dans quelle position j'allais accoucher, bref qu'il oublie la position gynécologique classique. J'ai du le bouger pour aller à la maternité le jour J car je gérais si bien mon travail qu' il n'a pas réalisé que c'était pour tout de suite. Il était tout fier quand il a vu la tête du bébé sortir le jour de l'accouchement et tout fier de couper le cordon, d'être là tout simplement.
Pour cette 2ème grossesse j'ai davantage lâché prise par rapport à la place qu'il prend pendant la grossesse parce que je sais que ça ne l'empêche pas d'être un père impliqué. C'est sans doute plus difficile pour eux qui ne portent pas l'enfant de se sentir père. En plus cette année il a eu plus de travail donc la tête un peu plus polluée je dirais. Et cet enfant est arrivé par surprise, on avait chacun nos peurs qui nous empêchaient de nous impliquer comme pour la première grossesse : à 3 comment on va faire, lui se pensait déjà trop vieux pour être à nouveau père, etc. Je lui ai dit que je voulais qu'il me fiche la paix pendant le travail mais il sait que j'aurai quand même besoin de lui
