En y repensant, j'ai toujours perdu du poids à la reprise du travail, y compris pour mes grands, alors que la première était sevrée et le deuxième en cours de sevrage...Le rythme du quotidien y est pour beaucoup, et au travail si j'ai un petit creux je passe outre, alors qu'à la maison je serais tentée de grignoter.... Le poids de l'allaitement, je l'ai ressenti sur des épisodes de fringales passagères assez inhabituelles pour moi, qui me portaient sur des aliments riches (viande, poisson), et des sensations de "vide" physique.
J'ai régulièrement des remarques sur le sujet de la part de mes patients (plutôt des patientes, d'ailleurs), j'ai l'habitude de répondre que les enfants sont de petits vampires qui me pompent toute mon énergie, mais y a aussi un peu de stress et fatigue du boulot. ça reste néanmoins plus acceptable pour moi que l'espèce de langueur / épuisement psychique de fin de congé mater, où j'ai à la fois l'impression de n'avancer à rien et d'en faire trop... Mais c'est sûr que le tire lait c'est un fil à la patte physique, mental et logistique qui ne me manque pas du tout.
J'ai régulièrement des remarques sur le sujet de la part de mes patients (plutôt des patientes, d'ailleurs), j'ai l'habitude de répondre que les enfants sont de petits vampires qui me pompent toute mon énergie, mais y a aussi un peu de stress et fatigue du boulot. ça reste néanmoins plus acceptable pour moi que l'espèce de langueur / épuisement psychique de fin de congé mater, où j'ai à la fois l'impression de n'avancer à rien et d'en faire trop... Mais c'est sûr que le tire lait c'est un fil à la patte physique, mental et logistique qui ne me manque pas du tout.