Et j’ai envie d’ajouter un truc.
J’ai connu, il y a 20 ans, les joies de la lecture des magazines pour futurs et jeunes parents. Aujourd’hui, pour peu que tu aies Instagram, tu t’abonnes à des pages de maman.
En gros, on y lit principalement qu’avoir un enfant c’est merveilleux, que la maman déborde d’amour pour son bébé et qu’il existe tout un tas de jeux pour bébé pour le stimuler pour qu’il soit premier de la classe plus tard.
En plus, il faudrait partir en thalasso pour se remettre de l’accouchement, se faire chouchouter par le coiffeur et l’esthéticienne, en gros, être toujours au top.
La réalité est tout autre. Petite liste à la Prévert, pour en avoir parlé avec des copines au cours de ces 20 dernières années.
On est fatiguée. On est déjà contente d’arriver à prendre une douche. On en arrive à avoir envie de balancer bébé par la fenêtre quand il hurle et qu’on ne comprend pas ce qu’il a. On est tellement dans le guidon que le soir, on a le papa qui dit « déjà je bosse, en plus de dois ranger et faire à manger, t’as fait quoi aujourd’hui ? » « bah rien, je me suis prélassée. »
Mais surtout, avec ce bébé on est désemparée, au début. On ne ressent pas forcément cet amour inconditionnel qu’on nous a vendu.
L’allaitement aide, merci les hormones, mais ne fait pas tout.
La maternité, ce ne s’apprend pas dans les livres. On a chacune notre vécu, notre caractère.
Donc à un moment, il faut arrêter de se mettre la pression et faire les choses petit à petit.
Un jour on lui parle, un autre on chante. Un autre encore, on agite une peluche en faisant la grosse voix du nounours.
De toute façon, notre bébé, il n’a pas besoin d’une maman parfaite. Il a juste besoin de la sienne, comme elle est, elle est sa maman parfaite. Parce que Wonder Woman, il ne sait pas encore qui c’est.
J’ai connu, il y a 20 ans, les joies de la lecture des magazines pour futurs et jeunes parents. Aujourd’hui, pour peu que tu aies Instagram, tu t’abonnes à des pages de maman.
En gros, on y lit principalement qu’avoir un enfant c’est merveilleux, que la maman déborde d’amour pour son bébé et qu’il existe tout un tas de jeux pour bébé pour le stimuler pour qu’il soit premier de la classe plus tard.
En plus, il faudrait partir en thalasso pour se remettre de l’accouchement, se faire chouchouter par le coiffeur et l’esthéticienne, en gros, être toujours au top.
La réalité est tout autre. Petite liste à la Prévert, pour en avoir parlé avec des copines au cours de ces 20 dernières années.
On est fatiguée. On est déjà contente d’arriver à prendre une douche. On en arrive à avoir envie de balancer bébé par la fenêtre quand il hurle et qu’on ne comprend pas ce qu’il a. On est tellement dans le guidon que le soir, on a le papa qui dit « déjà je bosse, en plus de dois ranger et faire à manger, t’as fait quoi aujourd’hui ? » « bah rien, je me suis prélassée. »
Mais surtout, avec ce bébé on est désemparée, au début. On ne ressent pas forcément cet amour inconditionnel qu’on nous a vendu.
L’allaitement aide, merci les hormones, mais ne fait pas tout.
La maternité, ce ne s’apprend pas dans les livres. On a chacune notre vécu, notre caractère.
Donc à un moment, il faut arrêter de se mettre la pression et faire les choses petit à petit.
Un jour on lui parle, un autre on chante. Un autre encore, on agite une peluche en faisant la grosse voix du nounours.
De toute façon, notre bébé, il n’a pas besoin d’une maman parfaite. Il a juste besoin de la sienne, comme elle est, elle est sa maman parfaite. Parce que Wonder Woman, il ne sait pas encore qui c’est.