@Lilicoptere je comprends tout à fait ton regret des grasses mat. J'avais le même blocage mais en fait il faut quand même voir que dans mon cas, ce n'était pas tout à fait des grasses mat, c'était principalement une longue tétée de fin de nuit, il tétait beaucoup à partir de 5h du mat. J'avais très peur de ça aussi mais au final il ne se réveille pas si tôt que ça, entre 7h et 8h, en général vers 7h30, et on doit même le réveiller pour l'école. Et j'avais aussi super peur des nuits pourries vu qu'il se réveillait beaucoup, et ben je n'y croyais pas mais il ne se réveille plus depuis le sevrage et quand ça arrive se rendort beaucoup plus facilement puisque ne se réveille pas à nouveau des que je lui enlève le sein... Bon après il dort toujours avec moi donc ça aide sans doute.
Je comprends aussi que comme tu es seule ça te paraît plus difficile, et j'avais en effet lu beaucoup de témoignage où c'est le père qui prend le relai pour aider au sevrage. Sauf que nous ça n'a jamais marché, mon fils ne voulait que moi et donc c'était d'autant plus difficile. Ce qui m'a donné l'impulsion finale c'est mon déplacement qui m'a montré que c'était possible autrement. Donc quand je suis revenue j'ai essayé de dormir dans une autre chambre et de laisser mon fils dormir avec son père pour qu'il ne soit pas tenté. Mais il m'a quand même réclamé au milieu de la nuit, et a dormi avec moi sans réclamer la tétée. Et d'un côté je trouve ça bien, il a été capable de se rendre compte qu'il avait besoin de moi mais qu'il pouvait ne pas téter, que ça pouvait prendre une autre forme. Finalement ça s'est fait assez naturellement quand il a dissocié la fatigue/endormissement de la tétée.
Et aussi vers la fin j'avais remarqué que plus je cédais pour la tétée, plus il demandait.
En tout cas je rejoins @Doobida, quand tu lis mon histoire tu vois bien que ça a été très long, ça s'est étalé sur plusieurs mois et j'ai bien eu le temps d'en profiter. Il y a eu des régressions aussi, en juin j'avais quasi réussi le sevrage nocturne et finalement on est reparti en grosses tétées après. Cet été je n'ai pas eu envie de me prendre la tête, je voulais profiter des vacances mais ensuite j'étais sûre de moi et ça a avancé très vite.
Concernant le milk blues je te rassure ça va déjà mieux, j'apprécie déjà de passer plus de moments avec ma fille ainée. Mais aussi je suis très occupée la journée ayant un boulot qui m'occupe bien. C'était le soir que c'était un peu plus dur pour moi. J'ai fait quelque chose qui m'aide bien dans ces moments-là, j'ai écrit tous mes petits souvenirs de tétée, les petites phrases de mon fils et les moments qui m'ont marquée, parce que j'ai toujours peur d'oublier. Pour l'instant c'est tout en vrac mais je pensais me faire un joli carnet avec des photos et des petits textes. Ce qui me rend le plus triste c'est de me dire que lui va oublier, mais c'est la vie on n'élève pas des enfants pour nous mais pour qu'ils prennent leur envol et autonomie. Et puis voilà je sais qu'on aura toujours un lien très fort, il passe son temps à me dire qu'il m'aime
Je comprends aussi que comme tu es seule ça te paraît plus difficile, et j'avais en effet lu beaucoup de témoignage où c'est le père qui prend le relai pour aider au sevrage. Sauf que nous ça n'a jamais marché, mon fils ne voulait que moi et donc c'était d'autant plus difficile. Ce qui m'a donné l'impulsion finale c'est mon déplacement qui m'a montré que c'était possible autrement. Donc quand je suis revenue j'ai essayé de dormir dans une autre chambre et de laisser mon fils dormir avec son père pour qu'il ne soit pas tenté. Mais il m'a quand même réclamé au milieu de la nuit, et a dormi avec moi sans réclamer la tétée. Et d'un côté je trouve ça bien, il a été capable de se rendre compte qu'il avait besoin de moi mais qu'il pouvait ne pas téter, que ça pouvait prendre une autre forme. Finalement ça s'est fait assez naturellement quand il a dissocié la fatigue/endormissement de la tétée.
Et aussi vers la fin j'avais remarqué que plus je cédais pour la tétée, plus il demandait.
En tout cas je rejoins @Doobida, quand tu lis mon histoire tu vois bien que ça a été très long, ça s'est étalé sur plusieurs mois et j'ai bien eu le temps d'en profiter. Il y a eu des régressions aussi, en juin j'avais quasi réussi le sevrage nocturne et finalement on est reparti en grosses tétées après. Cet été je n'ai pas eu envie de me prendre la tête, je voulais profiter des vacances mais ensuite j'étais sûre de moi et ça a avancé très vite.
Concernant le milk blues je te rassure ça va déjà mieux, j'apprécie déjà de passer plus de moments avec ma fille ainée. Mais aussi je suis très occupée la journée ayant un boulot qui m'occupe bien. C'était le soir que c'était un peu plus dur pour moi. J'ai fait quelque chose qui m'aide bien dans ces moments-là, j'ai écrit tous mes petits souvenirs de tétée, les petites phrases de mon fils et les moments qui m'ont marquée, parce que j'ai toujours peur d'oublier. Pour l'instant c'est tout en vrac mais je pensais me faire un joli carnet avec des photos et des petits textes. Ce qui me rend le plus triste c'est de me dire que lui va oublier, mais c'est la vie on n'élève pas des enfants pour nous mais pour qu'ils prennent leur envol et autonomie. Et puis voilà je sais qu'on aura toujours un lien très fort, il passe son temps à me dire qu'il m'aime