Jeu de mot totalement pourri, mais je viens de passer une nuit blanche.
Blanche dans le sens où je n'ai pas dormi, mais aussi dans celui où je n'ai fait que donner mon sein toutes les heures.
Aaron a réclamé de façon fréquente et bruyante, je suis épuisée.
Un peu comme pendant sa nuit de java, il nous avait déjà fait le coup le soir de la rentrée de la maternité. Il est agité, pleure souvent, tète tout ce qu'il peut (morceau de peau, ses doigts, etc.), tourne sa tête et la frotte sur mon torse dans tous les sens et il s'agrippe en griffant.
J'ai essayé toutes les postures que je connaissais, pour éviter les douleurs, mais rien n'a fonctionné (sauf allongée sur le côté et lui donner le sein gauche, mais là douleur est pire quand je tente de lui donner à droite).
Alors dans ces moments là je ne sais plus quoi faire. Mon mari s'est forcé à aller promener le chien beaucoup plus tôt pour le prendre avec lui au rez de chaussée, me laissant dormir.
Comme expliqué dans un autre poste, j'ai l'impression d'être en sur-production de lait : mes seins débordent toute la journée, et le tire lait est quasi inefficace car, en remplissant mes téterelles, je n'arrive même plus à les vider.
Alors c'est sans doute cette montée qui l'attire, et lui demande de téter.
Mais honnêtement je n'en peux plus. Il nous a fait la même nuit mercredi et maintenant de ve dredi a samedi... s'il fait ça une nuit sur deux, je tiendrais pas le coup. Je suis épuisée, démoralisée car je n'arrive pas à calmer mon bébé et je me dis que je dois faire quelque chose de mal sinon il ne pleurerait pas comme ça.
Voilà la pensée du jour, ou du soir honnêtement je ne sais plus. Tout ce que je sais c'est que je suis sensée me reposer mais j'entends mon fils pleurer au rez de chaussée pour réclamer sa 15e tétée depuis hier 7h du matin.
Les tétées groupées c'est en gros de 22h a 6h non-stop, avec une demande de tétée toutes les 45mn et franchement je suis épuisée.
Blanche dans le sens où je n'ai pas dormi, mais aussi dans celui où je n'ai fait que donner mon sein toutes les heures.
Aaron a réclamé de façon fréquente et bruyante, je suis épuisée.
Un peu comme pendant sa nuit de java, il nous avait déjà fait le coup le soir de la rentrée de la maternité. Il est agité, pleure souvent, tète tout ce qu'il peut (morceau de peau, ses doigts, etc.), tourne sa tête et la frotte sur mon torse dans tous les sens et il s'agrippe en griffant.
J'ai essayé toutes les postures que je connaissais, pour éviter les douleurs, mais rien n'a fonctionné (sauf allongée sur le côté et lui donner le sein gauche, mais là douleur est pire quand je tente de lui donner à droite).
Alors dans ces moments là je ne sais plus quoi faire. Mon mari s'est forcé à aller promener le chien beaucoup plus tôt pour le prendre avec lui au rez de chaussée, me laissant dormir.
Comme expliqué dans un autre poste, j'ai l'impression d'être en sur-production de lait : mes seins débordent toute la journée, et le tire lait est quasi inefficace car, en remplissant mes téterelles, je n'arrive même plus à les vider.
Alors c'est sans doute cette montée qui l'attire, et lui demande de téter.
Mais honnêtement je n'en peux plus. Il nous a fait la même nuit mercredi et maintenant de ve dredi a samedi... s'il fait ça une nuit sur deux, je tiendrais pas le coup. Je suis épuisée, démoralisée car je n'arrive pas à calmer mon bébé et je me dis que je dois faire quelque chose de mal sinon il ne pleurerait pas comme ça.
Voilà la pensée du jour, ou du soir honnêtement je ne sais plus. Tout ce que je sais c'est que je suis sensée me reposer mais j'entends mon fils pleurer au rez de chaussée pour réclamer sa 15e tétée depuis hier 7h du matin.
Les tétées groupées c'est en gros de 22h a 6h non-stop, avec une demande de tétée toutes les 45mn et franchement je suis épuisée.
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je suis consciente que je ne t'aide pas beaucoup mais ton bébé a une semaine. Quand on dit "au début" ils n'ont pas de rythme en fait on parle des premières semaines voir des premiers mois. Au fil du temps ça va s'améliorer mais il y a souvent des retours en arrière, des nuits pourries et le pourquoi... Bin... On sait jamais trop.