Moi aussi je la trouve bien cette fin: malgré une "perversion" de sa nature par son père, le petit prince part à la recherche de son humanité avec le sage, c'est plein d'espoir et ça dit que l'humain n'est rien et qu'il est tout à la fois.
Pour avoir allaité mes deux premières en fumant je me suis posé la question bien que j’étais une petite fumeuse (5/10 par jour grand max ), ma sage femme m’a dit que mon lait été meilleur tout de même et qu’il fallait que j’évite de donner la tétée après la cigarette . Alors je fumais après les tétées .c'est surement suggéré dans le matraquage publicitaire pour le lait en poudre. "le lait le plus proche du lait maternel" devient facilement "meilleur" dans la tête d'une fumeuse par exemple. et comme absolument tout le monde a bien quelque chose a se reprocher .... bingo. encore cette vielle croyance de l'empoisonnement du lait maternel par la mère ressorti des placards.
J'ai une connaissance qui m'avait sorti un discours comme quoi le LA c'était mieux car hyper contrôlé alors qu'on mange des légumes pleins de pesticides et de la malbouffe...etc. Et elle faisait une thèse en biologie donc je pense que c'est le genre de croyances qui doit pas mal circuler quand même.c'est surement suggéré dans le matraquage publicitaire pour le lait en poudre. "le lait le plus proche du lait maternel" devient facilement "meilleur" dans la tête d'une fumeuse par exemple. et comme absolument tout le monde a bien quelque chose a se reprocher .... bingo. encore cette vielle croyance de l'empoisonnement du lait maternel par la mère ressorti des placards.
c'est surement vrai pour les pesticides etc, mais l'enfant en consommera de toute façon 6 mois après, alors ... cet argument est valable en surface. en revanche, controler l'alimentation des nourrissons en les eloignant de leur environnement, n'a pas montré de réels avantages il me semble.J'ai une connaissance qui m'avait sorti un discours comme quoi le LA c'était mieux car hyper contrôlé alors qu'on mange des légumes pleins de pesticides et de la malbouffe...etc. Et elle faisait une thèse en biologie donc je pense que c'est le genre de croyances qui doit pas mal circuler quand même.
Cest ce qu'on disait dans les années 60. Le lait artificiel est créé par des scientifiques, c'est une avancée, c'est le progrès. La mère n'est pas toujours bien nourrie, elle peut avoir des maladies. Le lait artificiel est sûr et contient tout pour que l'enfant grandisse en bonne santé.Il faudrait que je retrouve le document de la Haute Autorité de Santé qui concerne les recommandations en faveur de l'allaitement maternel. C'est même bizarre de penser que le lait artificiel est mieux.
Qu'il peut être donné à la place du lait maternel sans risque dans la plupart des cas, oui, mais dire que c'est mieux ou meilleur, je ne vois pas comment en arriver à cette conclusion quand l'argument n°1 des industriels c'est : "notre lait se rapproche au maximum possible du lait maternel". Ça veut bien dire que le lait maternel est le modèle à copier
Même dans un monde pollué, même en consommant de la "junk food" le lait maternel reste de meilleure qualité que les substituts.J'ai une connaissance qui m'avait sorti un discours comme quoi le LA c'était mieux car hyper contrôlé alors qu'on mange des légumes pleins de pesticides et de la malbouffe...etc. Et elle faisait une thèse en biologie donc je pense que c'est le genre de croyances qui doit pas mal circuler quand même.
Bah non après il consomme des petits pots industriels qui sont hyper contrôlés aussi, pardi.c'est surement vrai pour les pesticides etc, mais l'enfant en consommera de toute façon 6 mois après, alors ... cet argument est valable en surface.
La prévalence de l’allaitement maternel en France est une des
plus faibles des pays européens : 65 % des enfants nés en France
en 2010 étaient allaités au sortir de la maternité. L’allaitement
maternel exclusif permet une croissance normale au moins
jusqu’à l’âge de 6 mois, et peut être poursuivi jusqu’à l’âge de
2 ans ou plus, à condition d’être complété par la diversification
alimentaire à partir de 6 mois. Le lait de femme contient des
hormones, des facteurs de croissance, des cytokines, des cellules
immunocompétentes, etc., et possède de nombreuses propriétés
biologiques. Sa composition varie en fonction de l’âge de l’enfant,
de son terme, et du moment de la tétée. L’allaitement maternel est
associé à un bénéfice sur le plan cognitif, modeste, mais dont il
serait dommage de ne pas faire bénéficier l’enfant. Si sa durée est
supérieure à 3 mois, l’allaitement maternel diminue l’incidence et
la gravité des infections digestives, ORL et respiratoires. S’il est
prolongé au moins 4 mois, l’allaitement maternel exclusif permet
une réduction du risque allergique (asthme, eczéma) pendant les
2 à 3 premières années de la vie chez les nourrissons à risque
(père, mère, frère ou sœur allergique). Il participe également
à la prévention ultérieure de l’obésité pendant l’enfance et
l’adolescence.
Parvenus à l’âge adulte, les enfants allaités ont une tension artérielle
et une cholestérolémie inférieures à celles des enfants nourris au
lait artificiel. Aucun effet bénéfique sur la morbidité et la mortalité
cardio-vasculaire à l’âge adulte n’a cependant été mis en évidence.
L’infection maternelle par le virus de l’hépatite B ou de l’hépatite C
ne constitue pas une contre- indication de l’allaitement, à l’inverse
de l’infection maternelle par le VIH et de la galactosémie. Une
supplémentation en vitamine D et en vitamine K est nécessaire chez
le nourrisson au sein. Très peu de médicaments contre-indiquent de
façon formelle la poursuite de l’allaitement maternel. Le prématuré
peut être allaité par sa mère et/ou recevoir son lait, sous réserve
qu’il bénéfi cie d’une supplémentation en énergie, protéines et sels
minéraux. La perte de poids de la mère est plus rapide dans les
6 premiers mois du post-partum. L’allaitement maternel diminue
l’incidence des cancers du sein et de l’ovaire avant la ménopause,
et réduit l’augmentation du risque d’ostéoporose lié à la ménopause.