Un collègue de mon homme a essayé, apparemment.Je suis sûre qu'il doit pouvoir. T'as vu passé ça où @Pangolin ?
Un collègue de mon homme a essayé, apparemment.Je suis sûre qu'il doit pouvoir. T'as vu passé ça où @Pangolin ?
Merci.Je lui demande ce soir !
J'imagine. Ça doit se tenter...Si tu lui dit écrit une phrase en 12 syllabes en rapport avec l'allaitement.
Et si ensuite tu corrige en lui disant le dernier mot doit terminé par é. Tu dois pouvoir écrire petit à petit
Toutes les mamans lll que j'ai rencontrées sont adorables. Je suis sûre que les autres aussi, il est tellement pluriel ce forum
C'est sûr ça fait un moment maintenant qu'on se côtoit quotidiennementJ'en doute pas ça se voit à nos écrits.
Toi aussi @Astraz j'ai envie de te rencontrer, ça commence à faire que je suis sur ce forum.
Merci!Résultat de l'expérience :
Pouvez-vous écrire des textes à partir d'une consigne ?
> Oui, je peux écrire des textes à partir d'une consigne. Veuillez fournir plus de détails sur la consigne.
*elle ajoute le titre de notre discussion "Write From Instruction"*
Il s'agit d'un poème en alexandrins. Le thème est : complainte d'une mère éplorée dont l'enfant refuse de manger. Il devrait se terminer par "Soulagée elle se dit que vive la tétée".
> Voici un poème qui correspond à la consigne :
Ma fille a le ventre vide et je m'inquiète,
Refuse tous les aliments, c'est là que je pleure.
Je lui offre tout ce qu'elle aime, mais rien n'y fait,
Son refus me déchire, je suis éplorée.
Je lui prépare des soupes, des légumes frais,
Des fruits, du poulet, tout ce qu'elle préfère.
Je prie pour qu'elle mange, je suis désespérée,
Mais elle tourne la tête, ne veut rien avaler.
Je me sens impuissante, je ne sais plus quoi faire,
Mon enfant est ma vie, je veux la protéger.
Je l'observe sans cesse, je m'inquiète sans cesse,
Et je pleure en silence, sans pouvoir la secourir.
Mais soudain elle sourit, et me tend les bras,
Je la prends contre moi, je la nourris de lait.
Soulagée, elle se dit que vive la tétée,
Et moi, je respire enfin, mon cœur apaisé.
L'IA a compris la phrase de fin d'une autre manière que moi. Je pensais que ce serait la mère qui serait soulagée par la tétée !
Franchement, je suis coi.
C'était dans les consignes, la mère devait être éplorée. C'est de la faute d'apicobi.Un peu un poème de jeune mère angoissée mais très sympas et si tu lui demande d'un faire un texte avec plus de malice d'espoir ?
C'est ce qui m'a bloquée aussi...Je voulais faire joujou avec mais il faut donner son tel.
Je me suis fait la même réflexionMerci!
Ce ne sont pas des alexandrins, mais j'ai l'impression d'être rabat joie en le faisant remarquer...
Je lui fais remarquer pour l'absence d'alexandrins (l'IA s'excuse. Elle a fait une erreur sur les pokemons avec ma fille, elle s'excuse à chaque fois, c'est mignon ^^) Elle a pris en compte la remarque de Tautau sur le ton.Merci!
Ce ne sont pas des alexandrins, mais j'ai l'impression d'être rabat joie en le faisant remarquer...
Errera humanum est… euh… Computatrum est.C'est ce qui m'a bloquée aussi...
Je me suis fait la même réflexion
Je l'ai vu dire des c*nneries plus d'une fois. Je suis mitigée.
Toujours pas des alexandrins...Je lui fais remarquer pour l'absence d'alexandrins (l'IA s'excuse. Elle a fait une erreur sur les pokemons avec ma fille, elle s'excuse à chaque fois, c'est mignon ^^) Elle a pris en compte la remarque de Tautau sur le ton.
Désolé, veuillez trouver ci-dessous une version en alexandrins :
Ma fille aux lèvres closes et moi je souris en vain,
Refusant ce qu'on lui donne, c'est là que je ris.
Je lui fais des histoires, des mimes absurdes sans fin,
Et je vois son regard, qui peu à peu s'éclaire.
Je lui mets des aliments en forme de jouets,
Des sculptures amusantes, tout ce qu'elle peut aimer.
Je la chatouille en la nourrissant, je suis déterminée,
Et je la vois sourire, enfin, je respire.
Je suis créative, je trouverai bien une parade,
Mon enfant est ma joie, je veux la voir grandir.
Je l'embrasse sur le front, je lui parle doucement,
Et je souris en silence, sans la quitter des yeux.
Et tout à coup, elle sourit, me tendant sa cuillère,
Je la vois manger, je vois ses yeux briller.
Soulagée, elle se dit qu'elle aime les bons plats,
Et moi, je respire enfin, mon cœur rempli d'espoir.