Bon ben voilà. Cela fait 6 semaines que je suis enceinte et 6 semaines que les tétées sont douloureuses. C'est de pire en pire, au point d'avoir envie de hurler.
Je me retrouve donc à initier un sevrage forcé alors que n'y suis pas prête. J'étais à 10000 lieux d'imaginer ce scénario. Je pensais pouvoir étaler le sevrage tranquillement sur plusieurs mois voir aller jusqu'au co-allaitement si petit loup était accro. En tout cas, laisser faire et prendre le temps. Mais voilà mon corps en a décidé autrement (ou la manière de teter de petit loup vu qu'à chaque fin de tétée j'ai ses dents du haut en impression 3D sur l'aréole).
Nous avons été beaucoup séparés ces dernières semaines. Et petit loup ayant été opéré la semaine dernière, je me suis astreinte à tirer mon lait malgré la sensibilité des mamelons pour qu'il ait encore un peu de lait pour se rassurer pendant cette phase difficile (6 jours consécutifs sans tetee, + les hormones je pense que la machine ne serait pas repartie, sans parler de la tension des seins pas très agréable).
Vu qu'il ne peux pas aller à la crèche cette semaine apres l'opération, il est chez ses grands parents jusque jeudi. Et la je ne sais plus quoi faire.
Ce WE on est arrivé à limiter à 2 ou 3 tetee, un seul sein par tetee. Il etait à minimum 5 tetee à 2 seins début août (vacances donc 100% avec maman et grand demandeur malgré ses 26 mois)
J'ai l'impression qu'il n'ose plus demander "l'aut" et ce matin pour la première fois il m'a dit "y a pu".
Il demande encore du "mamou" mais n'insiste pas énormément. Je lui propose encore pour les endormissements car je ne sais pas faire autrement et alors là son regard s'illumine de joie et il me dit " maman mal, doucement" en attrapant goulûment le sein pendant que je souffle un grand coup pour ne pas hurler.
J'ai tellement peur de faire une fausse couche et d'avoir dû faire une sevrage pour " rien" que je n'arrive pas à me projeter dans cette nouvelle grossesse.
On a pas encore parlé à petit loup du bébé dans le ventre de maman. Déjà parce qu il parle beaucoup et que l'on ne souhaite pas l'annoncer tout de suite, et ensuite je ne sais pas comment faire pour qu'il n'associe pas bébé et la fin des mamous.
J'ai 3 soirées devant moi pour trier mes idées et faire le point et j'ai envie de pleurer.
Je me retrouve donc à initier un sevrage forcé alors que n'y suis pas prête. J'étais à 10000 lieux d'imaginer ce scénario. Je pensais pouvoir étaler le sevrage tranquillement sur plusieurs mois voir aller jusqu'au co-allaitement si petit loup était accro. En tout cas, laisser faire et prendre le temps. Mais voilà mon corps en a décidé autrement (ou la manière de teter de petit loup vu qu'à chaque fin de tétée j'ai ses dents du haut en impression 3D sur l'aréole).
Nous avons été beaucoup séparés ces dernières semaines. Et petit loup ayant été opéré la semaine dernière, je me suis astreinte à tirer mon lait malgré la sensibilité des mamelons pour qu'il ait encore un peu de lait pour se rassurer pendant cette phase difficile (6 jours consécutifs sans tetee, + les hormones je pense que la machine ne serait pas repartie, sans parler de la tension des seins pas très agréable).
Vu qu'il ne peux pas aller à la crèche cette semaine apres l'opération, il est chez ses grands parents jusque jeudi. Et la je ne sais plus quoi faire.
Ce WE on est arrivé à limiter à 2 ou 3 tetee, un seul sein par tetee. Il etait à minimum 5 tetee à 2 seins début août (vacances donc 100% avec maman et grand demandeur malgré ses 26 mois)
J'ai l'impression qu'il n'ose plus demander "l'aut" et ce matin pour la première fois il m'a dit "y a pu".
Il demande encore du "mamou" mais n'insiste pas énormément. Je lui propose encore pour les endormissements car je ne sais pas faire autrement et alors là son regard s'illumine de joie et il me dit " maman mal, doucement" en attrapant goulûment le sein pendant que je souffle un grand coup pour ne pas hurler.
J'ai tellement peur de faire une fausse couche et d'avoir dû faire une sevrage pour " rien" que je n'arrive pas à me projeter dans cette nouvelle grossesse.
On a pas encore parlé à petit loup du bébé dans le ventre de maman. Déjà parce qu il parle beaucoup et que l'on ne souhaite pas l'annoncer tout de suite, et ensuite je ne sais pas comment faire pour qu'il n'associe pas bébé et la fin des mamous.
J'ai 3 soirées devant moi pour trier mes idées et faire le point et j'ai envie de pleurer.