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Micha

Colostrum
Bonsoir,

On n'y est pas encore, mais on y pense depuis un moment... au prochain bébé. Étant donné que nous devons avoir recours à la fécondation in vitro, je me pose la question de savoir si je peux continuer à allaiter tout en faisant une F.I.V. (prise de Puregon et de béta hcg artificiel pendant la stimulation ovarienne) et aussi si l'allaitement peut mettre la F.I.V. en échec en empêchant la nidation du / des embryons.

Amicalement,
Micha
 

Myriam

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice à la retraite
Bonjour Micha,

Donc une réponse en plusieurs temps. Concernant le risque de fausse-couches induit (ou non) par l'allaitement, voici le résumé d'une étude récente :
L’allaitement peut-il induire des fausses couches ?
Does breastfeeding induce spontaneous abortion ? Ishii H. J Obstet Gynaecol Res 2009 ; 35(5) : 864-8. Mots-clés : grossesse, allaitement, fausse couche.

Les mères qui allaitent encore lorsqu’elles se retrouvent enceintes pourront s’entendre recommander de sevrer leur enfant car l’allaitement peut induire des fausses couches. Le but de cette étude était d’évaluer l’impact de l’allaitement sur le déroulement de la grossesse chez des femmes qui ont poursuivi l’allaitement pendant leur grossesse.
L’étude a suivi 110 femmes, qui avaient accouché à terme d’un bébé en bonne santé, n’avaient pas d’antécédents de fausse couche ou d’accouchement prématuré, et qui souhaitaient poursuivre l’allaitement pendant leur grossesse. Elles ont été comparées à un groupe témoin de 774 femmes qui avaient arrêté d’allaiter au moins 3 mois avant le début de la grossesse suivante. Le taux de fausse couche spontanée a été de 7,3% dans le groupe étudié, et de 8,4% dans le groupe témoin. Aucune différence entre les 2 groupes n’a pu être constatée sur le plan du déroulement de la grossesse.
Les mères peuvent poursuivre l’allaitement lorsqu’elles redeviennent enceintes. D’autres études seraient utiles pour mieux évaluer l’impact éventuel de l’allaitement sur le risque d’accouchement prématuré.
 

Myriam

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice à la retraite
Bonjour Micha,

Suite de la réponse :

- Puregon :
C'est un analogue hormonal, donc une grosse molécule, et il est improbable qu'elle puisse passer dans le lait, de plus, elle sera de toute façon digérée par le bébé (c'est utilisé uniquement en injections). Donc ce type de produit est compatible avec l'allaitement.

- hCG :
Même commentaire : c'est aussi une trés grosse molécule, il est donc improbable qu'elle puisse passer dans le lait et elle n'a pas de biodisponibilité orale. Donc c'est compatible avec l'allaitement.

Comme références, voir par exemple Medications and Mothers' Milk, Thomas W. Hale, (c) 2010 Hale Publishing. p. 444 (Follicle stimulating hormones) et p. 218 (Chorionic Gonadotropin)
 

Micha

Colostrum
Bonjour Micha,

Suite de la réponse :

- Puregon :
C'est un analogue hormonal, donc une grosse molécule, et il est improbable qu'elle puisse passer dans le lait, de plus, elle sera de toute façon digérée par le bébé (c'est utilisé uniquement en injections). Donc ce type de produit est compatible avec l'allaitement.

- hCG :
Même commentaire : c'est aussi une trés grosse molécule, il est donc improbable qu'elle puisse passer dans le lait et elle n'a pas de biodisponibilité orale. Donc c'est compatible avec l'allaitement.

Comme références, voir par exemple Medications and Mothers' Milk, Thomas W. Hale, (c) 2010 Hale Publishing. p. 444 (Follicle stimulating hormones) et p. 218 (Chorionic Gonadotropin)

Un grand merci pour tes réponses !! Ça rassure et je ressens moins l'urgence d'arrêter l'allaitement avant le prochain F.I.V. Il y a des jours, j'ai envie de m'y mettre demain et il y a des jours, j'ai envie d'attendre au moins encore une année :rolleyes:
 

tititia

Colostrum
BOnjour,
Je me joins à la discussion. Je n'ai pas besoin de fiv mais juste d'une stimulation ovarienne pour tomber enceinte. J'ai vu mon gynéco mardi et (je lui ai bien dit que j'allaite toujours) il m'a prescrit le traitement pour faire bébé 2.
J'avais lu dans "allaiter aujourd'hui" un témoignage de maman pour qui ça n'avait pas posé de problème et devant l'accord du gynéco, je ne me suis pas posée plus de questions.
Mais après avoir annoncé à ma mère et ma marraine que je reprenais le traitement (elles ne sont pas vraiment en faveur de l'allaitement long (ma fille a 22 mois) elles ont émis des réserves en disant que parfois les médecins pensent qu'il n'y a pas de soucis et que les soucis se révélent par la suite.
Elles ont réussi à me faire douter (ça faisait longtemps que ça n'était pas arrivé) donc je cherchais une confirmation de plus que ce que j'ai trouvé sur le crat ou e lactancia.
Je prends actuellement du duphaston puis par la suite puregon et ovitrelle (les 2 en injections et c'est ceux qui m'inquiètent le moins vu qu'ils sont semblent-ils digérés dans l'estomac) Mais qu'en est-il du duphaston que je prends par voix orale? (la molécule est dydrogesterone)
Merci d'avance car j'en viens à penser interrompre le traitement :(
 

Myriam

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice à la retraite
Le Duphaston®, est un progestatif (une hormone): pas de contre-indication sauf baisse éventuelle de lactation. Voir par exemple le site du CRAT :

Dydrogestérone

Mise à jour : 31 décembre 2009


Duphaston®, Climaston®

La dydrogestérone est un isomère de la progestérone
Elle est utilisée par voie orale notamment dans les troubles liés à une insuffisance lutéale et l’endométriose.
La dydrogestérone n’a pas d’activité androgénique.

ETAT DES CONNAISSANCES

Les données publiées chez les femmes exposées à la dydrogestérone en cours de grossesse sont peu nombreuses mais aucun élément inquiétant n’est retenu à ce jour.
Les données cliniques sont très nombreuses et rassurantes pour la progestérone.
EN PRATIQUE

Découverte d’une grossesse
Arrêter la dydrogestérone.
Rassurer quant au risque malformatif de la dydrogestérone.
Allaitement
Il n’y a pas de donnée sur le passage de la dydrogestérone dans le lait, mais aucun événement particulier n’est signalé chez des enfants allaités de mères sous dydrogestérone ou progestérone.
Au vu de ces éléments, l’utilisation de la dydrogestérone est possible au cours de l’allaitement.
Seuls quelques noms de spécialités sont mentionnés dans ce site. Cette liste est indicative et n’est pas exhaustive.

CRAT - Centre de Référence sur les Agents Tératogènes
Hôpital Armand Trousseau, 26 avenue du Docteur Arnold Netter, 75012 PARIS
Tel/fax : ++33 (0)143412622 - www.lecrat.org
 

samchou

Colostrum
Bonsoir,

Je suis surprise (et heureuse) des conseils donnés sur ce post.
Je commence le mois prochain le traitement pour une IAC pour avoir bébé 3 (avec Puregon et Ovitrelle).
Pour ma précédente IAC (à savoir bébé 2), mon gygy m'avait demandé d'arrêter l'allaitement alors que ma fille ainée avait 21 mois, prétextant que mon ovulation serait moins bonne (pourtant mon taux de prolactine était bas). J'ai regretté ce sevrage forcé. Donc cette fois, je n'ai pas dit à mon gygy adoré que j'allaitais ma deuxième fille qui à 17 mois (Je sais, c'est pas bien de mentir !!!) et donc, je n'ai pu lui demander s'il y avait incompatibilité entre allaitement et traitement de stimulation ovarienne.
Donc, d'après ce que vous dites, on peut allaiter durant toute la durée du traitement ? A la base, je pensais ne pas lui donner mon lait pendant le traitement et attendre un certain laps de temps avant de lui redonner mon lait.

Bonne soirée.
 

steph25

Montée de lait
FIV et sevrage?

Bonsoir,
Je viens de lire le message de Micha et je m'y retrouve un peu. En raison de mon grand âge (hihihi!), de celui de mon mari et de ma fertilité très très basse, nous allons bientôt engager à nouveau le processus FIV... Notre premier bébé viens d'avoir 8 mois et après des débuts très difficiles nous venons de passer 5 mois d'allaitement vraiment très chouettes. Seulement, je comprends que l'allaitement n'est pas très compatibles avec une FIV ou qu'en tout cas, si celle-ci ne fonctionnne pas, on pourra m'accabler de m'être obstinée à allaiter. Il faut donc arrêter. Et je ne m'y fait pas. Pas du tout.
Je me demande où tu en es, Micha, de ta décision et de ton parcours?
 

Chloyo

Montée de lait
Des nouvelles de vous toutes ?

Ici j'aurais besoin d'une stim simple (Clomid, HCG , duphason) et évidemment pour ma PMA hors de question de faire quoi que ce soit tant que j'allaite, ça me fend le coeur car je pense qu'il a y d'autre solutions...
Certaine on fait de la PMA en allaitant comment cela c'est passé ? et les autres quels choix avez vous fait ? Merci...
 

biscotte48

Montée de lait
Fiv et allaitement suite

Bonjour,
Je suis maman d'un petit garçon de 16 mois né à la suite d'un fiv et j'envisage une nouvelle tentative pour essayer d'avoir un deuxième enfant. J'allaite moi aussi toujours mon fils et j'aimerais savoir la compatibilité ou l'incompatibilité des produits qui vont probablement m'être prescrits avec l'allaitement :
Décapeptyl et Pergoveris. Sur la notice de ces produits, il est bien évidemment écrit que c'est incompatible.
Merci d'avance pour votre réponse
 

Myriam

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice à la retraite
Voici des extraits du Coin du prescripteur consacré à la Procréation médicalement assistée (Les Dossiers de l’Allaitement n°97, Octobre – Novembre – Décembre 2013).
La triptoréline (Décapeptyl®) est également un décapeptide de synthèse. Elle est également disponible sous une forme à libération prolongée. Elle est administrée en SC ou en IM. Sa demi-vie est nettement plus longue, en particulier pour les formes à libération lente, qui sont administrées toutes les 4 semaines. Un impact sur la production lactée est possible (une étude portant sur des hommes a constaté une augmentation du taux de prolactine suite au traitement). Un passage lacté significatif est peu probable, et sa biodisponibilité orale est nulle.

Gonadotrophines
Les gonadotrophines extractives sont des hormones humaines hautement purifiées à partir de gonadotrophine ménopausique humaine (hMG) :
• Gonadotrophine chorionique humaine : Gonadotrophine chorionique endo®
• FSH-LH : Ménotropine (Menopur®)
• FSH : Urofollitropine (Fostimon®)
Les gonadotrophines recombinantes sont produites par des techniques de génie génétique faisant appel à l’ADN recombinant.
Leur composition primaire en acides aminés est identique à celle des hormones naturelles, mais il existe de petites différences structurelles :
• Choriongonadotropine alfa (Ovitrelle®)
• Follitropine (FSH) : follitropine alfa (Gonal-F®) ou follitropine bêta (Puregon®)
• LH : Lutropine alpha (Luveris®)
• FSH-LH : Follitropine alfa + Lutropine alfa (Pergoveris®)
Tous ces produits sont administrés en injections. Il n’existe aucune donnée sur leur éventuelle excrétion lactée. Ce sont de grosses molécules, et un passage lacté significatif est hautement improbable. De plus, leur biodisponibilité orale est nulle. Ils peuvent être utilisés pendant l’allaitement. Surveiller la production lactée (baisse éventuelle) si l’enfant est encore un nourrisson.

Pour ces deux médicaments, le passage lacté est peu ou très peu probable et la biodisponibilité orale nulle (c'est pour cela que le médicament est administré par injection). L'allaitement est considéré comme compatible.
 

biscotte48

Montée de lait
Super, merci pour votre réponse. Juste une précision : que signifie exactement "sa biodisponibilité orale est nulle" ?
Et du coup, pourquoi les notices de ces produits indiquent-ils qu'ils ne doivent pas être utilisés en cas d'allaitement ? Par principe de précaution ?
Merci d'avance.



Voici des extraits du Coin du prescripteur consacré à la Procréation médicalement assistée (Les Dossiers de l’Allaitement n°97, Octobre – Novembre – Décembre 2013).




Pour ces deux médicaments, le passage lacté est peu ou très peu probable et la biodisponibilité orale nulle (c'est pour cela que le médicament est administré par injection). L'allaitement est considéré comme compatible.
 

Myriam

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice à la retraite
Super, merci pour votre réponse. Juste une précision : que signifie exactement "sa biodisponibilité orale est nulle" ?
Et du coup, pourquoi les notices de ces produits indiquent-ils qu'ils ne doivent pas être utilisés en cas d'allaitement ? Par principe de précaution ?
Merci d'avance.
La biodisponibilité, c’est la quantité, exprimée en pourcentage, de la substance ingérée qui atteindra la circulation générale. (...) Un produit excrété dans le lait mais dont la biodisponibilité orale est faible (par exemple utilisé uniquement en injectable), même s’il passe dans le lait, a peu de risque d’atteindre le compartiment sanguin du bébé ; il sera détruit dans le tube digestif de l’enfant, ou au niveau de son foie (...). définition donnée dans Le coin du prescripteur consacré à Médicaments et allaitement (Les Dossiers de l’Allaitement n°62, Janvier – Février – Mars 2005)

pourquoi les notices de ces produits indiquent-ils qu'ils ne doivent pas être utilisés en cas d'allaitement ?
Pour pouvoir affirmer une compatibilité, les fabricants de médicaments doivent pouvoir faire des études et lire la littérature internationale sur le sujet. Faute de moyens, cette partie est bien souvent mise de côté et donc par précaution, l'allaitement est déconseillé.

D'une façon générale, vous pouvez informer vos médecins sur les différents moyens de connaître la compatibilité de médicament(s) avec l'allaitement :
 

biscotte48

Montée de lait
Merci beaucoup !


La biodisponibilité, c’est la quantité, exprimée en pourcentage, de la substance ingérée qui atteindra la circulation générale. (...) Un produit excrété dans le lait mais dont la biodisponibilité orale est faible (par exemple utilisé uniquement en injectable), même s’il passe dans le lait, a peu de risque d’atteindre le compartiment sanguin du bébé ; il sera détruit dans le tube digestif de l’enfant, ou au niveau de son foie (...). définition donnée dans Le coin du prescripteur consacré à Médicaments et allaitement (Les Dossiers de l’Allaitement n°62, Janvier – Février – Mars 2005)


Pour pouvoir affirmer une compatibilité, les fabricants de médicaments doivent pouvoir faire des études et lire la littérature internationale sur le sujet. Faute de moyens, cette partie est bien souvent mise de côté et donc par précaution, l'allaitement est déconseillé.

D'une façon générale, vous pouvez informer vos médecins sur les différents moyens de connaître la compatibilité de médicament(s) avec l'allaitement :
 

biscotte48

Montée de lait
Allaitement et fiv suite

Merci beaucoup !

Rebonjour,

Je reviens vers vous car j'ai obtenu la liste totale des produits qui vont m'être prescrits pour la prochaine tentative de fiv. J'aimerais avoir votre avis toujours rapport à l'allaitement quant aux autres produits, notamment le traitement antibiotique prescrit à la suite de l'intervention de ponction ovarienne :
- Acide folique ccd 0,4mg
- Fongarex
- Aspegic 100 mg
- Utrogestan 200 mg
- Vivelledot 100
- Ciflox 250 mg
- Salbumol
Merci beaucoup pour votre aide,
Florence
 

Barpat

Montée de lait
Bonjour,
Merci à toutes celles qui ont déjà posé des questions et répondu sur ce sujet.
Mon conjoint et moi souffrons de troubles assez sévères de la fertilité, et nous avons eu recours à une FIV ICSI pour notre fille (11,5 mois). Nous pensons recommencer prochainement pour un.e deuxième enfant, mais des échanges avec ma pédiatre (qui est super et très pro-allaitement) m'ont fait craindre que la baisse de lactation liée aux injections de produits hormonaux puisse détourner ma fille du sein parce qu'il y aurait moins de lait qu'avant (sachant qu lors d'une FIV, les doses d'hormones sont plus fortes que pour une insémination). Ceci me préoccupe d'autant plus que lors de notre première FIV, les médecins m'avaient fait prendre les traitements plus longtemps que d'habitude (plus de 3 semaines au lieu des 10 jours habituels) car ils.elles avaient changé de traintement en cours de route. Cela ne devrait pas nécessairement se reproduire, mais ça m'inquiète car cela fait potentiellement une longue période à "tenir".
Merci d'avance pour vos retours sur ce point si vous avez déjà croisé cette situation !
 

Trefle

Fontaine de lait
Adhérent(e) LLLF
Bonjour!
De ce que l'on peut lire sur le forum la lactation lors d'une grossesse est très variable d'une femme à l'autre. Certaines vont avoir moins de lait très vite, d'autres vont avoir les seins tellement sensibles que les tetees seront très pénibles, d'autres Y aura pas de souci , certains bambins sentent un changement de goût...
Je pense que c'est prudent de réfléchir à comment on peut faire face à une baisse de lactation/ détournement du sein/ sevrage induit parceque c'est trop douloureux / non seulement pendant le traitement fiv mais aussi lors de la grossesse, pour pouvoir se relancer plus sereinement.

Je n'ai pas encore vu de témoignage de gynéco acceptant de faire faire un parcours pma à une maman qui allaite. Mais on est pas obligé de dire qu'on allaite, et la question ne sera pas forcément posée.
 

Chocob

Hyperlactation
Adhérent(e) LLLF
Je rejoins en tout point @Trefle.
J'ai eu les mêmes questionnements que toi @Barpat, mais avec un bébé un peu plus grand car 19 mois. J'ai finalement sauté le pas et suis en cours de transfert d'embryon mais sans stimulation. En cas d'échec ce sera fiv. Je serai très peinée en cas de sevrage induit mais je suis au clair avec moi même en me disant qu'une grossesse naturelle aurait le même effet. De mon côté le centre de pma ne m'a jamais demandé si j'allaitais et j'ai volontairement fait le choix de ne pas leur dire. Pas recommandable bien sur mais j'avais trop peur de ne pas être prise.
 
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