bonjour,
je reprends le travail après mon congé mat auprès de bb3 qui a 6 mois et demi ; il a commencé la diversification il y a 15 jours, et était allaité exclusivement jusque-là (les conseils et encouragements de la LLL y étant pour beaucoup car j'ai eu des inquiétudes au début sur ma lactation)... Et j'ai la chance que comme ses deux aînés il fasse ses nuits (globalement) depuis l'âge de 2 mois, donc tout était au beau fixe mais je suis très stressée depuis la reprise auj et ai connu une grosse insomnie hier. Je pensais continuer les tétées à volonté lorsque je suis avec lui, la nounou lui donnant du LA (sous forme de yaourt et en petite quantité car il n'est pas tenté par le bib apparemment). Je précise que pour ma 1ère, l'allaitement s'était poursuivi après la reprise du travail pendant 4 mois, à volonté quand j'étais avec elle, mais sans que je tire du lait (et mon travail me stressait mais ça avait fonctionné comme ça...). Pour le 2è, j'avais voulu tirer du lait pour qu'il n'ait que du LA, mais je me suis retrouvé très stressée par le travail, avec des insomnies, tirant du lait à tout heure tout en travaillant mes dossiers jusque tard, bref très mal et au final en arrêt maladie avec un passage sous AD et un arrêt un peu forcé de l'allaitement (c'est la transition reprise du travail que je gère mal... et je ne voulais pas prendre ce type de médicaments en continuant à allaiter, sans compter que de toute façon le médecin de l'époque était contre tout médicament pour la femme allaitante). D'autant que c'est la 3è fois que je combine changement de poste et retour de congé mat. Bref... je vais essayer d'abréger... Compte tenu de mes problèmes de sommeil qui semblent revenir, au moins pour un temps, je m'interdisais tout médicament mais j'ai peur que ça ne me conduise à un craquage et à nouveau un arrêt brutal de l'allaitement. J'ai vu que certains anxiolitiques étaient compatibles et je me demande si je pourrais prendre par exemple du seresta (qui m'avait été prescrit "au cas où" pdt la grossesse mais que je n'ai as pris) puis le lendemain tirer mon lait pour le jeter tout en donnant un yaourt pour bébé à mon poussin... pour récupérer un peu ? Pour bb 2 au début de mon "craquage", une pédiatre (partie à la retraite depuis) m'avait dit que je pouvais prendre du lexomil (j'en prenais hors grossesse ponctuellement, en cas d'insomnies répétées) et jeter mon lait le lendemain, et que le soir je pouvais redonner la tt... Mais j'hésite à le faire à présent... D'un autre côté cela me permettait peut-être de continuer à allaiter en sachant qu'en cas de vrai besoin je peux m'autoriser une prise sans préjudice pour bébé ? bref je suis prise entre l'idée d'un sevrage pour pouvoir prendre des médicaments en cas d'insomnie / continuer à allaiter sans rien prendre au risque d'être à côté de mes chaussures voire très mal / prendre ponctuellement qqch et jeter mon lait et je n'ai pas de médecin sérieux actuellement (ma généraliste réouvre un cab en octobre et je n'ai plus de bon pédiatre, mon ancien généraliste ne m'inspire pas, je vois un analyste mais il ne connait pas trop la question et m'avait dit pour bb2 qu'un peu de benzo ce n'était pas dangereux à faible dose)
Désolée pour le roman, je n'arrive pas à résumer, si quelqu'un a une suggestion, merci...
je reprends le travail après mon congé mat auprès de bb3 qui a 6 mois et demi ; il a commencé la diversification il y a 15 jours, et était allaité exclusivement jusque-là (les conseils et encouragements de la LLL y étant pour beaucoup car j'ai eu des inquiétudes au début sur ma lactation)... Et j'ai la chance que comme ses deux aînés il fasse ses nuits (globalement) depuis l'âge de 2 mois, donc tout était au beau fixe mais je suis très stressée depuis la reprise auj et ai connu une grosse insomnie hier. Je pensais continuer les tétées à volonté lorsque je suis avec lui, la nounou lui donnant du LA (sous forme de yaourt et en petite quantité car il n'est pas tenté par le bib apparemment). Je précise que pour ma 1ère, l'allaitement s'était poursuivi après la reprise du travail pendant 4 mois, à volonté quand j'étais avec elle, mais sans que je tire du lait (et mon travail me stressait mais ça avait fonctionné comme ça...). Pour le 2è, j'avais voulu tirer du lait pour qu'il n'ait que du LA, mais je me suis retrouvé très stressée par le travail, avec des insomnies, tirant du lait à tout heure tout en travaillant mes dossiers jusque tard, bref très mal et au final en arrêt maladie avec un passage sous AD et un arrêt un peu forcé de l'allaitement (c'est la transition reprise du travail que je gère mal... et je ne voulais pas prendre ce type de médicaments en continuant à allaiter, sans compter que de toute façon le médecin de l'époque était contre tout médicament pour la femme allaitante). D'autant que c'est la 3è fois que je combine changement de poste et retour de congé mat. Bref... je vais essayer d'abréger... Compte tenu de mes problèmes de sommeil qui semblent revenir, au moins pour un temps, je m'interdisais tout médicament mais j'ai peur que ça ne me conduise à un craquage et à nouveau un arrêt brutal de l'allaitement. J'ai vu que certains anxiolitiques étaient compatibles et je me demande si je pourrais prendre par exemple du seresta (qui m'avait été prescrit "au cas où" pdt la grossesse mais que je n'ai as pris) puis le lendemain tirer mon lait pour le jeter tout en donnant un yaourt pour bébé à mon poussin... pour récupérer un peu ? Pour bb 2 au début de mon "craquage", une pédiatre (partie à la retraite depuis) m'avait dit que je pouvais prendre du lexomil (j'en prenais hors grossesse ponctuellement, en cas d'insomnies répétées) et jeter mon lait le lendemain, et que le soir je pouvais redonner la tt... Mais j'hésite à le faire à présent... D'un autre côté cela me permettait peut-être de continuer à allaiter en sachant qu'en cas de vrai besoin je peux m'autoriser une prise sans préjudice pour bébé ? bref je suis prise entre l'idée d'un sevrage pour pouvoir prendre des médicaments en cas d'insomnie / continuer à allaiter sans rien prendre au risque d'être à côté de mes chaussures voire très mal / prendre ponctuellement qqch et jeter mon lait et je n'ai pas de médecin sérieux actuellement (ma généraliste réouvre un cab en octobre et je n'ai plus de bon pédiatre, mon ancien généraliste ne m'inspire pas, je vois un analyste mais il ne connait pas trop la question et m'avait dit pour bb2 qu'un peu de benzo ce n'était pas dangereux à faible dose)
Désolée pour le roman, je n'arrive pas à résumer, si quelqu'un a une suggestion, merci...