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Ocytocine : montee de lait / fausse couche.

Isabelle

Fontaine de lait
J'ai une amie qui n'allaite plus depuis environ 1 an.

Elle a une montée de lait et du colostrum.

D'après le test, il semble qu'elle soit enceinte, le test urinaire est positif.

Elle soupçonne une fausse couche.

J'ai lu le lien entre les contractions mammaires et les contractions utérines ( ocytocine ).

Qu'en pensez-vous ?

Est-il possible qu'on ait une montée de lait et du colostrum, et que ce soit signe précurseur d'une fausse couche ?

Symptômes :

nausées
colostrum ( fuites de lait, jaune )
fatigue
glaires marrons
 
Dernière édition:

imanAlexandra

Hyperlactation
je t'aiderai pas mais apres une grossesse a risque je sais qu'en cas des contractions il faut pas stimuler les seins pour eviter l'accouchement premature mais c'est vraiment dans le cas tres precis et special et II trimestre je crois(a verifier) et quand le medecin le decidera(comme pour arret des rapports sexuels)

il me semble que c'est pas une signe d'une fausse couche,il me semble que c'est dur de prevoir une fausse couche.
elle peut faire un test de grossesse sanguin tous les jours,tous les deux jours pour verifier si ca augmente et comme ca elle sera sure/rassuree.

apres avoir vecu une FC j'ai refait mon test de grossesse plusieurs fois pour etre sure que bebe est toujours la:)
 

Isabelle

Fontaine de lait
Merci, elle aussi elle a déjà fait une fausse couche, tu as raison, des tests sanguins seront plus fiables, si ça évolue c'est que ça va.

Bises
 

Isabelle

Fontaine de lait
Oui, le test est positif, mais la maman a déjà vécu une fausse couche et elle trouve que ça fait pareil, donc elle s'inquiète et elle ne voit pas le lien entre début de grossesse et montée de lait et fuites de lait, donc j'ai pensé à l'ocytocine, comme elle, et au lien entre les contractions mammaires et utérines lors de l'accouchement.
 

imanAlexandra

Hyperlactation
une sage femme que j'ai vu pendant la preparation a l'accouchement a dit qu'il y avait des femmes qui ont des ecoulements tres importantes pendant la grossesse mais je crois qu'il s'agissait du colostrum,desolee je me rappelle pas tres bien

en tout cas en etant moi-meme tres touchee par premiere fausse couche j'ai cherchais aussi des signes annonciateurs une fausse couche et d'apres ce que je me rappelle au debut de grossesse impossible d'avoir un signe que c'est fini sauf si grossesse extra uterine..
et l'ocytocine,enfin stimuler les tetons,seins peuvent etre dangereux que pour un cas special d'une grossesse a risque et au deuxieme ou troisieme trimestre
sinon el mieux se de cosulter un medecin qui pourra revoir tout avec elle. meme en urgences dans une maternite elle sera surement bien prise,surtout si elle mentionne sa fausse couche avant.

si j'ecris tout ca et je me repete un peu c'est pour relativiser et essayer de remonter le moral a la maman en question,quoi qu'il arrive rien a faire il faut patienter et esperer que bebe s'accrochera

comme dit Isabelle Steffan pourquoi pas des signes de grossesse plutot?:)

elle a refait des testes mais sanguins? peut-etre une echo de datation? ca peut etre rassurant aussi. en tout cas pour moi c'a ete tres important de le voir,son petit coeur avant les12semaines...
beaucoup de courage pour la maman et s elle est tres angoisse il vaut mieux aller aux urgences d'une maternite
 

shah

Montée de lait
theroriquement, c'ets possible, mais j'ai jamais vu cela.

en fait ce qui debute la montée de lait c'est la chute soudaine du tot de progesterone apres l'expulsion du placenta (pas vraiment l'oxytocine)! C,ets aussi ce qu'on fait en lactation induite pour els femmes qui adoptent: on leur donennent de la progesterone, puis arret soudain et debut de tire-lait/domperidone.

donc pour ton amie, la grossesse a amené de staux elevés de progesterine, et si elle pense que son embryon n,ets plus vivant, le taux de progesterone a baissé soudainement (tot dans la grossesse il n'y a pas de placenta encore) et comme elle adeja allaité, ses seins sont remplis de recepteurs hormonaux....donc montée d elait.
 

Isabelle

Fontaine de lait
Merci pour vos réponses, mon amie pense que l'embryon est parti, elle a perdu plus de sang, le fait d'en parler l'aide à le laisser partir, et de faire le deuil de cette grossesse interrompue.

Elle doit patienter et attendre que la vie revienne, j'ai beaucoup de chance de ne pas connaître cette expérience douloureuse.

Elle sait que ce topic est pour elle, elle vous lit et je vous remercie de sa part pour votre soutien.

La vie est précieuse, chaque vies, même celles que la nature ne nous confie pas le soin d'élever.

Embrassez fort vos enfants, ils sont le trésor du monde.

Je t'embrasse bien fort ma chère amie, dommage que tu habites si loin.

Prends soin de toi, pleure cette vie qui est partie, et garde espoir, si un bébé doit agrandir votre famille, il trouvera son chemin.
 

imanAlexandra

Hyperlactation
je suis triste pour ton amie. encore plus que cela arrive avec ce genre de symptomes... quand meme j'irais voir un medecin,meme en urgences. mais ce qui m'aide moi n'aidera peut-etre pas quelqu'un d'autre.
dans tout les cas il vaut mieux en parler avec un medecin parce que peut-etre il y a un leger soucis hormonal ou autre(pour moi c'etait hypothyroidie d'hashimoto)

bon courage,j'espere que tu as du soutien qu'il te faut.
 

coralie

Hyperlactation
Pour avoir vécu 2 fausses couches ( à 14 semaines avec curetage et à 2 semaines naturellement) avant d'avoir ma puce, tout ce que je peux dire c'est que les fausses couches ne se ressemblent pas et qu'elles sont trés douloureuses physiquement puis psychologiquement!!!!
Si ton amie en avait déjà vécu 1 et qu'elle avait à nouveau ce sentiment c'est que malheureusement c'était ça...
Il ne faut pas perdre espoir et mettre toutes les chances de son côté (ne pas se prendre la tête, ne pas y penser, se reposer et laisser la nature agir...)
Bon courage, bon rétablissement...
 

Isabelle

Fontaine de lait
Donc mon amie enchaîne avec ce qui ressemble à une mastite.

Donc elle a fait une fausse couche, et ça lui a déclenché une montée de lait.

Elle a maintenant très mal, les symptômes d'une mastite, alors comment on fait ?

Je lui ai conseillé d'essayer d'évacuer l'infection en faisant téter le petit ( qui est sevré ) ou son mari, après avoir détendu les canaux sous la douche ou dans un bol d'eau chaude, mais rien ne sort.

Elle va voir son médecin.

Je pense qu'elle pourrait soigner l'infection avec antibiotiques et couper la lactation avec feuilles de choux.

Si vous avez des idées, on prend !

Elle est de nouveau enceinte, mais sans montée de lait cette fois, ce qui semble être une grossesse normale pour le moment.

Juste ce souci de mastite du aux restes de lait qu'elle a produit lors de la fausse couche.

Se qui m'intéresse, c'est le développement mammaire pendant la grossesse.

Savoir si par exemple la grossesse ( moment où les glandes mammaires se développent ) fait apparaître cette mastite ?

Savoir si la mastite serait apparue même sans 2e grossesse ?

Ou savoir si c'est une montée de lait encore qui s'aggrave avec une mastite ?

Suspicion d'une 2e fausse couche donc 2e montée de lait mais avec canal bouché ?

Bref, comprendre ce que c'est, si une maman a eut ça, et surtout comment elle l'a soigné.

Merci pour votre soutien, on attend vos idées !

Bises
 
Dernière édition:

Isabelle

Fontaine de lait
J'ai déjà parlé de couper la lactation avec les feuilles de choux, voilà le témoignage sur lequel je me base :

"MONOSEIN SUFFIT
http://www.mothering.com/articles/new_baby/breastfeeding/one-breast-enough.html
J'ai été béni dans ma vie parce que j’ai eu le plaisir de donner « le sein » à mes cinq enfants. Cette limite singulière, « le sein », est très précise. Quatre de mes enfants ont tiré bénéfice du fait que je les ai nourri au mieux de mes capacités et que je le ferai aussi longtemps que je pourrai.

Mon histoire sur l’allaitement est assez remarquable comparée à ceux d'autres mères allaitantes qui ont essayé et avec la difficulté et le manque de la connaissance ont par la suite réussi à nourrir entièrement leurs bébés à leurs seins.

Ma situation est différente
-Je suis une mère qui allaite de façon unilatérale. Mon histoire a commencé il y a 33 ans, un frais matin de novembre.

J'avais six ans et venais de laisser sortir le chat dehors. J'ai vu que le fourneau était allumé et j’ai tourné autour. Pendant que j'essayais d'arrêter le fourneau, mon pyjama a pris feu. J'ai été brûlée au 3ème degré. Des brûlures recouvraient 30 % de mon corps, y compris la moitié de l'avant de mon torse et ont effacé mon mamelon droit.

Quand j’ai eu 25 ans, j'ai commencé à m’informer sur ce que je devrais faire pour pouvoir allaiter. Mon chirurgien esthétique m'a dit que je pourrais mais que j'aurais de grandes douleurs et pression d’engorgement dans mon sein droit brûlé et qu'il n'avait entendu parler d'aucun procédé par lequel les conduits du lait de ce sein pourraient être ouverts pour soulager cette pression.

Quelques années après, j'ai vu un autre chirurgien. Il m'a dit que les conduits, pourraient être chirurgicalement ouverts, (aucun petit exploit !) quand j'ai commencé la lactation. Je devrais alors continuer à exprimer le lait pour maintenir les conduits ouverts jusqu'à ce que le guerison ait été complet. Je supporterais une certaine douleur, mais j'étais exalté pour avoir trouvé quelqu'un qui irait la distance supplémentaire et essayerait au moins.

J'ai continué mes enquêtes mais n'ai rien trouvé au sujet de ma situation particulière dans les textes médicaux et de soins que j'ai lus au fil des années. Même pendant ma formation initiale en tant qu'infirmière diplômée, l'éducation dans le domaine de la lactation manquait considérablement.

J'étais sous l'impression que les seins d'une femme fonctionnaient ensemble. Parmi mes amies, une seule était mère et quand elle allaitait, un sein fuiait en utilisant l'autre.

Dans mon cas, il n'y avait aucun endroit pour que cette fuite aille.

Mais je voulait allaiter très fort, et j’ai décidé d'étudier plus loin la chirurgie de lait-conduit.

Le bébé que j’allais pourtant concevoir en a valu la peine. Avant même que je puisse prendre un rendez-vous avec le chirurgien esthétique, je suis tombée enceinte de mon premier enfant et j’ai été dirigé vers la consultante en lactation qui a travaillé avec le groupe médical de mon médecin de famille.

Linda était supèrbe, dés le départ,elle m’a expliqué qu'il ne devrait y avoir aucun problème envers ma capacité d'allaiter ; que c'était seulement une question de désir et de motivation. Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. J'ai été informé sur tous les changements qui interviendraient sur mes seins et comment ils fonctionneraient indépendamment les uns des autres. Elle a alors parlé de comment les feuilles fraîches de chou pourraient supprimer la lactation dans mon sein droit invalide tandis que j'allaiterais avec ma gauche. A ce moment la, je n’ai pas pu savoir à quel point l’aide de celles ci allaient m’être. J'ai quitté ce rendez-vous me sentant confiante dans le fait que je pourrais allaiter mon enfant.

J'ai donné naissance dans l'hôpital, sans médicalisation, à un bébé, un garçon de 3.700 kilos. J'ai reçu peu de soutien pour allaiter de la part des infirmières dans l’hôpital, où mon fils nouveau-né, Paul, et moi étions suivis. Nous avons décidé de rentrer à la maison le jour même où j’ai donné naissance.

Le troisième jour de post-partum, je me suis réveillée avec toute la joie d'avoir une paire d’obus d'un rouge ardent reposant sur mon buste. Je me suis senti glorifié.
J’allais bien. Linda et une autre consultant en lactation, le Dr. Janette Hurley m'ont aidé grâce à leurs connaissances et leurs encouragements, pendant ma première visite de post-partum.

Le septième jour, je sentais moins d'engorgement dans mon sein droit. Puisque je n'utilisais pas le sein et appliquais des feuilles de chou, la production de lait de ce sein était supprimée et le bébé se nourrissait avec bonheur au sein gauche. Lors d’un après-midi ardent, je me suis endormie avec quelques feuilles froides de chou sur mon sein droit et me suis réveillée avec la sensation d’avoir entièrement cuit le chou. Berk.

J'ai allaité Paul pendant quatre mois et demi. Mais j'étais toujours soucieuse qu’il n’obtenais pas assez de lait. Pendant l’allaitement j’ai donné du lait tiré de mon sein en supplément et du lait artificile en supplément. Il s’est alors sevré de mon sein pour la méthode plus facile d'alimentation, la biberon.

J'ai été bouleversée et je n'ai pas su le récupérer sur le sein. Mon docteur ne m’a pas aidé et ne m’a pas demandé si je voulais continuer d'allaiter ni expliqué comment reprendre l’allaitement. Elle ne m’a même pas demandé si je voulais parler avec les consultants en lactation. Elle a simplement supposé que je ne voulais plus allaiter. Pourtant, j'aurais sauté sur le fait de pouvoir parler avec une consultant en lactation et de pouvoir reprendre l’allaitement. J’ai eu l’impression d’un échec complet et j'ai ressenti une énorme culpabilité. J'ai continué à allaiter au biberon avec le lait artificiel et six semaines plus tard, j’étais à nouveau enceinte.

Cette deuxième grossesse a comblé le vide et a rallumé mon désir d'allaiter. La naissance de mon deuxième enfant, Matthew, fut complètement différente. Elle eu lieu à la maison, avec des sages-femmes, et cette fois là, j'ai eu beaucoup d'appui.

Après avoir demandé une sage-femme spécialisée dans l’accouchement à la maison, j'ai reçu une aide conforme dans les premières heures pour assurer l’arrivée de ce bébé et j’ai pris un bon départ. L'expérience fait beaucoup. J'avais même trouvé un livre qui parlait de l'alimentation unilatérale exclusive : « The nursing mother’s companion », par Kathleen Huggins (editions Harvard Press, 1999). Tout allait bien jusqu'à ce que je me réveille d’une première petite sieste postnatale tandis que je m’étais endormie tout en nourrissant Matthew ! J’avais à présent deux petites boursouflures sur le bout de mon mamelon. A ce propos, j'ai connu une nouvelle définition de douleur. Mon lait est arrivé deux jours plus tard et j'ai alors subi un engorgement massif. Entre celui-ci et les boursouflures, je ne souffrais pas trop bien que la mise au sein était momentanéemet douleureus. Environ sept jours plus tard, j'ai commencé à avoir une douleur de plus en plus régulière au sein, pendant que la mastite s’est installé dans mon sein d'allaitement. Pour les deux ou trois jours suivants, jusqu'à ce que l'infection se calme, j'ai nourri avec la grande douleur avec beaucoup d’anticipation qui m’a fait pleuré. Mais pendant ce temps, Matthew s’est nourri de manière satisfaisante et s’est endormi à mon sein énorme, chaud et gonflé. Mon mari m'a donné tout l'appui nécessaire et a pris un congé de travail afin que je puisse me reposer.

Je n’ai jamais donné le moindre de considération à l’idée de le compléter avec la formule, sachant que mon fils pourra se nourrir très bien d’un seul sein et que cette mastite n’était pas une raison suffisante pour cesser de le nourrir au sein. Tout s'est amélioré en une semaine, et avant que Matthew n’ait été âgé d’un mois, nous "dansions" et sautions ensemble comme le vieux partenaires pour la pure joie. Il n'a jamais eu une biberon.

J'ai nourri Matthew pendant ses cinq premières années, y compris durant son troisieme année lors que j’étais en ceinte avec son petit frère.
A la stupéfaction de chacun, j'ai alors nourri mon nouveau-né aussi bien que son frère et ai continué de les nourrir tous les deux pendant une année et demi. Tout les deux ont démarré tardivement l’alimentation solide. Matthew a été exclusivement nourri à mon sein jusqu'à ce qu'il soit âgé d’un an. Ma fille s’est intéressée uniquement au sein jusqu'à ses huit mois.

Je suis encore stupéfaite par la capacité de mon sein unique de fournir de telles quantités massives de lait pendant tout ce temps. Je ne peux pas me rappeler quand j’ai mis Matthew au sein pour la dernière fois ; il s'est sevré tellement graduellement. Tout ce dont je me rappelle c’est qu'il s’est passé plus qu'une semaine depuis la dernière fois qu'il est venu au sein. Pas une grande affaire pour lui, mais c’était un moment un peu mélancolique pour la maman.

J’ai nourri ma fille jusqu'à ce qu'elle soit âgée de trois ans et demi au point que j’allais devoir l'encourager à se sevrer. En effet, une autre circonstance était survenue qui fit que je devais de nouveau rendre visite au consultant en lactation et au chirurgien plastique. Juste avant Noël 2002, j’étais encore enceinte alors même que ma fille continuait de se nourrir à mon sein aussi satisfaite que jamais. Quand ma grossesse en fut à 13 semaines, nous avons découvert à notre surprise que je portais deux bébés. J'ai continué à nourrir ma fille, parce que je n'ai vu aucune raison de la sevrer. Cependant, j’ai commencé à me poser les questions concernant les soins aux jumeaux. J'ai alors de nouveau consulté Linda, le consultant en lactation, ainsi que mon nouveau généraliste, concernant la possibilité de chirurgie des conduits lactifères pour mon sein droit. Bien que j'aie été disposé à explorer cette possibilité, j'ai été complètement rassuré par les premiers mots de Linda à mon sujet : "bien, nous savons tout les deux que vous n'aurez aucun problème pour alimenter ces deux bébés avec un seul sein." Nous avions vu toutes les deux que j'avais une offre de lait abondante, et que si un seul sein suffisait plus qu'assez pour un bébé, il conviendrait et suffirait tout à fait pour deux. Mon généraliste a rit doucement à mes circonstances. Depuis la naissance de mon premier enfant (à la laquelle elle avait assistée entant que médecin de garde), j'étais sur la voie de la réhabilitation en tant que mère et principalement, en tant que femme.

Elle avait observé avec moi les lignes et points sensibles tout au long de cette aventure et m’apportait au fur et à mesure des conseils que je n'avais pas toujours compris. Quand au fait d’allaiter, j'ai toujours su cependant, que peu m’importait le défi que je pouvais rencontrer, je le surmonterais. La perspective d’avoir des jumeaux, cependant, m'a incité à réfléchir deux fois.

J'ai alors consulté le chirurgien, et les nouvelles n'étaient pas bonnes.
Il y avait une chance de - 10 % pour que les canaux lactifères puissent être ouverts et puissent devenir fonctionnels. La même situation a été exposée et mise en avant : Je devrais subir immédiatement après le post-partum de chirurgie. Après quoi j'aurais une blessure ouverte que je devrais maintenir ouverte, en allaitant. Si la blessure se fermait, le tissu guérirait et se refermerait vers le haut encore. Mais aussi longtemps que la blessure serait ouverte, je ferais face à la probabilité d’infections multiples au sein.

Sur le champ, j’ai laissé tombé l’idée.

J’avais voulu étudier cette possibilité et maintenant, après l’avoir fait, je pouvais clôturer un chapitre dans ma vie en lui donnant tout son sens.

En attendant, j’ai continué à nourrir ma fille. Maintenant j'étais enceinte de 34 semaines et ses tétées commençaient à déclencher des contractions fortes.

Je n'ai pas voulu donné naissance aux jumeaux prématurement alors le sevrage de ma fille a dû être. Je n'étais pas si malheureuse de le faire car les tétées n'étaient pas aussi calmant por moi qu’ils étaient pour à ma fille. Ainsi à l'âge de trois et demi, avec mon encouragement, nousavons entamé le processus de severage, très doucement, se donnant aux caresses et calins au sein. Nous sommes heureux depuis.

Les jumeaux sont nés, à la maison, à 39 bonnes semaines et dans un temps record, après 40 minutes de travail actif. Ils pesaient 3.200 kg et 3.340 kg et elles avaient une faim très intense.

Jusqu'ici, j'ai cru en ma capacité de produire assez de lait pour elles. J'ai eu une visite de post-partum avec ma consultante en lactation dix jours plus tard. Chaque fille avait gagné 280 grammes de plus que son poids de naissance. Nous avons corrigé ensemble quelques mauvaises habitudes que j'avais développé en allaitant des enfants plus âgés pendant trois années et avons discuté un peu au sujet de l'allaitement des jumeaux. Linda s'est assurée que j'avais bien compris que je ne devais pas être défaitiste. J'ai voulu savoir tout de suite j’aurais suffisamment de lait et si je devrais compléter. Mais elle m'a dit de croiser ce pont quand j’y suis venu et de croire en mon destin. A présent, je devrais juste les alimenter et être simplement heureuse en tant que telle. C’est aussi simple que cela.
Je n’ai pas eu besoin de donner des biberons ou autres forme de supplémentation parce que j’ai été approvisionné par mon corps qui a exigé que mon unique sein produise des quantités copieuses de lait. Les filles se nourrissaient l’une après l'autre et je pouvais même encore tirer plus de lait du sein à l’aide d’une tire lait éléctrique.

Ma confiance dans les capacités de mon corps a fait des merveilles pour moi. Nous pratiquons le codo-do et quand je m’endors avec les filles chacune de nous trois dort incroyablement bien.

Si vous demandez combien de fois par jour je nourris mes filles, je ne pourrais pas vous le dire. Si vous demandez qui a été nourrie pour la dernière fois, je pourrais probablement vous répondre. Elles tétent souvent. Mon réflexe d’éjection fort du lait (REF) pourrait noyer mes bébés au moment de leur mises au sein. Assez étonnamment, ce même réflexe m'a permis de nourrir les jumeaux avec une grande efficacité. Chaque bébé peut être entièrement s’alimenté en moins de dix minutes. Après une rot rapide, j'offre le sein encore. De nombreuses fois j’allaite l’un de mes bébés tandis que l’autre attend son tour. J’allaite le premier bébé jusqu'à ce qu'elle soit assouvie, je m'occupe alors du deuxième bébé. Habituellement je m'assieds les jambes croisées, un bébé calé entre mes jambes et l’autre au sein. Je continue à les alterner jusqu'à ce que les deux filles soient entièrement répu et elles commencent à sombrer dans le sommeil. Je continue de penser combien j’aurais plus de temps pour moi si j'avais mes deux seins pour les nourrir. Je suis ravi avec mes filles. Elles me rendent très heureuse. Ainsi que le monde autour. J'aime l'attention que je les autres les accordent et la manière dont ma famille évolue.
Allaiter deux bébés unilatéralement n'est pas compliqué. Suivre mon instinct et leurs signes de besoin de moi rendent la vie facile. Le temps passé avec un bébé au sein prend une bonne partie de ma journée, mais ce qui rends ce rythme facile et le fait de suivre un modèle de parentalité de proximité. En d'autres termes, il n'y a aucun programme à suivre, les filles suivent leur propre chemin. Parfois leurs ventres sont affamés en même temps, mais jamais jusqu’au point que les douces caresses ne les apaisera pas pendant que l'une d’elles attend son tour.
Il n'y a aucune magie en allaitant deux bébés avec un sein. Je suis confiante en ma capacité de m'assurer que ces bébés se développent bien. Je n'ai jamais suivi aucun programme d’allaitement et ne vois aucune raison de commencer. J'observe ce qu’elles font dans leur couche-culotte et si elles prennent du poids. Deux taches faciles.
Mes filles pleurent rarement ; si elles le font, c’est pour une raison à laquelle je peux facilement remédier. Ni l'une ni l'autre n'a eu la colique, c’est quelque chose que nous avons évité grâce à l’éducation parentale que nous pratiquons et en fournissant exclusivement le lait de mon sein. Le plus grand défi à avoir des jumeaux est celui de trouver le soutien nécessaire et en quantité suffisante, particulièrement lors des premières semaines de la vie des filles. Sans le soutien de mon mari, de mamans semblables, de mes consultantes en lactation et de la communauté de « naissance à la maison » je suis sûre que je ‘aurais du faire face au plus grands défis que ça. Je suis heureuse de pouvoir fournir à mes bébés le meilleur, sachant que mon corps a été conçu pour cela et en prouvant ainsi au monde qu’en lui donnant sa chance, mon corps peut fonctionner à merveille.

Patricia G. Blomme vit avec sa famille dans les collines des montagnes Rocheuses Canadiennes.




http://www.mothering.com/articles/new_baby/breastfeeding/one-breast-enough.html
One Breast is Enough

Able to nurse from only one side, this mother still produced ample milk for five children.


By Patricia G. Blomme
Issue 129 March/April 2005

I have been blessed in my lifetime—I have had the pleasure of placing five children to my breast. That singular term, breast, is very accurate. Four of my children have benefited from my having nursed them to the best of my abilities as long as I could.
My breastfeeding tale is fairly unremarkable compared to those of other breastfeeding mothers, who have tried and, with difficulty and lack of knowledge, eventually succeeded in fully nourishing their babies at their breasts. My situation is different—I am a unilateral nursing mother.
My story began 33 years ago, on a chilly November morning. I was six years old and had just finished letting the cat out. I turned around and saw that the stove was on. As I attempted to turn the stove off, my pajamas caught fire. I received third-degree burns that covered 30 percent of my body, including half of the front of my torso, and obliterated my right nipple.
When I was 25, I began looking into what I would have to do to be able to breastfeed. My plastic surgeon had told me that I could, but that I would have great pain and pressure in my right, burned breast, and that he had heard of no procedure by which that breast’s milk ducts could be opened to relieve the pressure.
A few years later, I saw another surgeon. She told me that the ducts could be surgically opened (no small feat!) when I began lactation. I would then have to keep expressing milk to keep the ducts open until the healing was complete. I would endure some pain, but I was elated to have found someone who would go the extra distance and at least try.
I continued my inquiries but found nothing about my particular situation in the medical and nursing texts I read over the years. Even during my initial training as a diploma nurse, education in lactation was greatly lacking. I was under the impression that a woman’s breasts worked together—the one friend I had who was a mother leaked from one breast when using the other. In my case, there was no place for this leak to go. But I badly wanted to nurse and decided to further investigate the milk-duct surgery. My baby, yet to be conceived, was worth it.
Before I could make an appointment with the plastic surgeon, I became pregnant with my first child and was directed to the lactation consultant who worked with my family physician’s medical group. Linda was great—right off the mark, she explained that there should be no problem with my ability to breastfeed; that it was only a matter of my desire to do so. I couldn’t believe my ears. I was told about all the changes my breasts would go through, and how they worked independently of each other. Then she talked about how fresh cabbage leaves could suppress lactation in my nonnursing right breast while I lactated with my left. Little did I know at that point how much help they would be. I left the appointment feeling confident that
I would be able to breastfeed my child.
I gave birth in the hospital, unmedicated, to a healthy 7-pound, 8-ounce baby boy. I received little support for breastfeeding from the nurses while in the hospital, but my new son, Paul, and I managed. We decided to go home the same day I gave birth. On my third day postpartum, I awoke to all the joys of having a pair of red-hot rockets sitting on my chest. I was glorified. Linda and another lactation consultant, Dr. Janette Hurley, helped me with their knowledge and encouragement during my first postpartum visit. By day seven, I was feeling less engorgement in my right breast. Because I was not using the breast and was applying cabbage leaves, that breast’s milk production was suppressed—and baby was happily nursing at the left one. One hot afternoon, I fell asleep with some nice cold cabbage leaves on my right breast, only to wake with the whole room smelling of cooked cabbage. Yuck.
I fed Paul for four and a half months. But I was always fearful of him not getting enough, and between breastfeeding, using expressed breastmilk, and infant-formula supplementation, he weaned from my breast to the easier method of feeding, the bottle. I was devastated and didn’t know how to get him back on the breast. Even going to my doctor didn’t help—she didn’t ask if I wanted to continue breastfeeding or tell me how to resume breastfeeding, nor did she ask if I wanted to talk with the lactation consultants. She simply assumed I didn’t want to breastfeed anymore. Little did she know that I would have jumped at the offer of speaking with the lactation consultant again and resuming breastfeeding. I felt like a complete failure, and I felt tremendous guilt. I continued to bottle-feed with formula and was pregnant again six weeks later. This second pregnancy filled a void and rekindled my desire to breastfeed.
The birth of my second child, Matthew, was completely different. It took place at home, with midwives, and this time I had a great deal of support. Having used a midwife for the homebirth, I had consistent help in the first hours to ensure that babe and I got off to a good start. And experience can be almost everything. I had even found a book that discussed exclusive unilateral feeding: The Nursing Mother’s Companion, by Kathleen Huggins (Harvard Common Press, 1999). Everything went well until I woke from my first postnatal nap. Matthew and I had fallen asleep while nursing, and I now had two small blisters on the tip of my nipple. From that point on I learned a new definition of pain.
My milk came in two days later, and I again experienced massive engorgement. Still, between that and the blisters, I wasn’t doing too badly, though latching on caused sharp but momentary pain. It wasn’t until about seven days later that I began to have increasingly steady breast pain, as mastitis settled into my feeding breast. For the next two or three days, until the infection settled down, I nursed with great trepidation—the whole process caused pain that brought tears to my eyes. But all during this time, Matthew contentedly nursed and slept at my huge, hot, swollen breast. My husband gave me all the support he knew how to give and took time off work so I could rest. I never once thought about supplementing with formula, knowing I could give my son all he needed from the one breast and that mastitis alone is not reason enough to stop nursing. Everything settled down within a week, and by the time Matthew was one month old, we were “dancing” together like old pros. He never had a bottle.
I nursed Matthew for his first five years, including the third, when I was pregnant again. To the amazement of everyone, I then nursed my newborn as well as her brother and continued to double-nurse them for a year and a half—both were late starters with solid foods. Matthew was exclusively nursed until he was almost a year old, and my daughter was interested in nothing but the breast until she was eight months old. I’m still amazed at my single breast’s ability to provide such massive amounts of milk during that time.
I can’t remember when Matthew came to the breast for the last time; he weaned himself so gradually. All I remember was noticing that it had been more than a week since he’d nursed; after that, he never did again—no big deal for him, but a tad melancholy for mom. My daughter nursed until she was three and a half, at which point I had to encourage her to wean—another circumstance had arisen that sent me back to the lactation consultant and the plastic surgeon.
Just before Christmas 2002, I found myself pregnant again, even as my daughter continued nursing as contentedly as ever. When the pregnancy was 13 weeks along, we discovered to our surprise that I was carrying two babies. I continued to nurse my daughter, for I saw no reason to wean her. However, questions regarding the nursing of twins began to surface; I again consulted Linda, the lactation consultant, as well as my new MD, regarding the possibility of milk-duct surgery for my right breast. Though I was willing to explore this possibility, I was completely reassured by Linda’s first words on seeing me: “Well, we know you’ll have no problems feeding these two with one breast.”
We both knew that I have an abundant milk supply, that a single breast that had been more than enough for one baby would do just fine for two. My MD had a great chuckle at my circumstances. Since the birth of my first child (which she had attended as the practice’s on-call MD), I had been walking the road to full empowerment as a mother and, primarily, as a woman. She had been watching from the sidelines as I made my journey, offering advice that I didn’t always understand. When the subject was breastfeeding, however, I always knew that no matter what the challenge, I could meet it and overcome it. The prospect of twins, however, made me think twice.
I then consulted the surgeon, and the news was not good. There was a less than 10 percent chance that the milk ducts could be opened and become functional. The same situation was presented as before: I would have to have surgery immediately postpartum, after which I would have an open wound that I would have to keep open in order to lactate—if the wound closed, the tissue would heal and seal up again. But as long as the wound was open, I would face the likelihood of multiple breast infections.
I gave up the idea right there and then. I had needed to investigate the possibility; now, having done so, I was able to close a chapter in my life and feel a sense of completion.
Meanwhile, my daughter had continued to nurse. Now I was 34 weeks pregnant, and her suckling was beginning to trigger strong contractions. I did not want to birth preemie twins, so weaning it had to be. I was not unhappy about it—it was time, and the suckling was not as soothing to me as it was to my daughter. So at the age of three and a half, with my encouragement, she weaned—we did it together, very gently, switching to just booby cuddles. We have been happy ever since.
The twins were born, at home, at a healthy 39-plus weeks and in record time—after 40 minutes of active labor. They weighed 6 pounds, 7 ounces and 6 pounds, 12 ounces, and they were born hungry.
Thus far, I have believed in my ability to produce enough milk for them. I had a postpartum visit with my lactation consultant at ten days, by which time each girl had gained 10 ounces over her birth weight. We corrected a few habits I had formed from nursing older children for three years and chatted a bit about what feeding twins is like. The one thing Linda made sure I understood was to not entertain self-defeating thoughts. I wanted to know right away if my milk supply would be enough or if I would ever need to supplement, but she told me to cross that bridge when I came to it. For now, I should just feed them and be happy—simple as that.
I have refused to go to bottles and supplementation because supply has equaled demand—my body has been producing copious amounts of milk from the single breast. The girls can nurse one after the other, and I can then draw still more milk from the breast with a pump. My confidence in this ability of my body has done wonders for me. I cosleep with the girls, and all three of us sleep incredibly well. If you asked how many times a day the girls nurse, I couldn’t tell you. If you asked who nursed last, I probably could tell you—they nurse often.
My overactive milk-ejection reflex (OAMER) could drown my babies with their first gulps after latching. Amazingly enough, this same reflex has allowed me to nurse the twins with great efficiency. Each baby can be on and off the boob in less than ten minutes and be fully fed. After a quick burp, I offer the breast again. Many times I’ll be nursing one baby while her sister waits her turn. I nurse the first baby until she’s sated, then attend to the second baby. Usually I sit cross-legged, one baby propped in the folds of my legs, the other at the breast. I keep switching them until both girls are fully fed and ready to sleep. I keep thinking how much more time I would have on my hands if I had two breasts to nurse with.
I have been thrilled with my girls. So has the rest of my world. I love the attention they get and how my family is evolving. Nursing two babies unilaterally is not that complicated—following my instincts and their cues makes it easy. The time spent with a baby at breast takes a good portion of my day, but what makes this rhythm easiest is following an attachment style of parenting. In other words, there are no schedules—the girls set their own pace. Sometimes their hungry bellies overlap, but that’s nothing that cuddling won’t soothe as one waits her turn.
There is no magic to nursing two babies from one breast. I’m confident in my ability to ensure that these babies grow well. I’ve never followed any feeding schedule and see no reason to start now—I just feed whoever’s hungry. I watch to see what comes out in the diaper and if they’re gaining weight—two simple tasks. My girls rarely cry; if they do, it’s for a reason that’s easily remedied. Neither has had colic, something I believe we have avoided by the type of parenting we practice and by providing only breastmilk. The biggest challenge to having twins was finding the amount of support I needed, especially in the first few weeks of the girls’ lives. Without support from my husband, like-minded moms, my lactation consultants, and the homebirth community, I’m sure I would have faced greater challenges than I did.
I’m pleased that I can provide my babies with the best, knowing that my body was designed for this and proving to the world that, given the chance, my body can work wonders.
Patricia G. Blomme lives with her family in the foothills of the Canadian Rocky Mountains."


http://www.allaitementpourtous.com/...sie-mammaire-causes-pour-utilisation-dal.html
 
Dernière édition:

Isabelle

Fontaine de lait
Donc je vous dis où on en est...

Pas de fièvre, donc pas d'infection, donc pas de mastite.

ça fait comme un engorgement de montée de lait, sein chaud bouillant, douleur etc...

On a pensé à une inflammation de la glande mammaire. La maman s'est massé le sein aux zones douloureuses, ça va mieux, ça a beaucoup soulagé.

Donc on a parlé de feuilles de choux en cataplasme avec film alimentaire, pour couper la lactation ou soulager la douleur, réduire l'inflammation. On a pensé au magnéb6 pour décontracter le sein.

La maman est enceinte de 1 mois et la grossesse se passe bien pour le moment.

Elle pense que cette situation est probablement liée au taux de béta-hCG qui augmente rapidement dès le début du développement de l'embryon.

Donc 1er mois de grossesse, tout va bien, c'est juste une maman très sensible et très à l'écoute de son corps.

Son petit garçon a su dès le début qu'elle était enceinte, il ne tète plus donc pas à cause du changement de lait, ça reste un mystère, un instinct que semblent avoir les jeunes enfants pour détecter la grossesse de leur maman. Le petit a entendu que maman allait chez le docteur, il a demandé si c'est pour le bébé dans le ventre... la maman était très surprise par cette affirmation !

Voilà, bébé pour fin janvier si ça se passe bien.

Merci à toutes pour votre soutien, la maman était très touchée !

Bises à toutes,

A suivre...
 

Isabelle

Fontaine de lait
Merci !

Donc il semble que le cas de cette maman soit un cas particulier sans rapport avec la lactation.

La maman a un staphylocoque qui apparaît lors de changements hormonaux ou fatigue, exactement comme les récidives d'infections urinaires par exemple, ou les boutons de fièvre.

Il semble donc que la grossesse ait favorisé la réapparition de ce staphylocoque. Tout comme dans mon cas les infections urinaires réapparaissent lors des grossesses.

Donc il semble qu'avec son médecin ils vont déjà essayer de traiter cette infection avec des antibiotiques, surveiller l'apparition de fièvre ou selon si ça s'aggrave selon la douleur dans le sein.

Si les antibiotiques ne peuvent résoudre ce souci, il semble qu'on peut essayer d'enlever la "poche" infectée avec une petite incision.

La maman semble très bien suivie par son médecin qui surveille de très près l'évolution de la grossesse tout comme ce souci de staphylocoque.

Voilà, comme ça n'a aucun rapport avec la lactation, je pense que le topic est clos.

Merci pour votre soutien, il est tellement précieux !

Bises à toutes.
 
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