dnartreb89
Colostrum
Bonjour, je me présente , Bertrand, jeune papa d'un petit Henri de 2 mois et demi et mari d'Amélie (memel89 sur ce forum) qui allaite.
Amélie à une hypothyroïdie de Hashimoto qui à été suivie vraiment au minimum pendant sa grossesse uniquement par notre généraliste, car personne ne nous a renvoyé vers un endocrinologue.
Du coup, elle a gérée son dosage de lévothyrox avec son généraliste. Avant la grossesse elle était à 125µg, est montée à 150µg pendant sa grossesse.
Henri est arrivé, et personne pour nous alerter autour du lévothyrox, du coup Amélie à été surdosée à 150 pendant 6 semaines. Ne se sentant pas trop bien, elle demande des analyses et elle repasse à 125 pendant un mois, analyses de TSH encore mauvaises, d'où repassage à 100µg.
C'est à partir de la que l'on à constaté un dérangement dans l'allaitement d'Amélie. Amélie n'avait plus assez de lait le soir et Henri s'endormait aprés des heures et des heures d'éveil et de pleurs, vers 1 heure du matin, pas rassasié. On à donc pensé au début à une poussée de croissance.
Mais quatres jours ont passé et malgrès tout ce qui à été fait pour stimuler la lactation, toujours pas assez de lait le soir. On a donc pensé ensuite à un mauvais dosage de lévothyrox.
Après pas mal de recherches, et avoir prit un rendez-vous chez l'endocrino en urgence (urgence = dans 2 semaines pour le seul endocrino de notre département, forcèment !), on décide de remonter à 125µg de nous même, pas en dessous de son réglage d'avant grossesse. C'était, il y a deux jours, on commence seulement à constater une légére amélioration.
Six jours de baisse significative de lactation et d'inquiètudes.
On cherche donc des témoignages de mamans hypothyroidiennes ou de personnes compétentes sur les principes endocriniens pour partager un maximum d'informations sur ce sujet fort intéressant !
Merci d'avance.
Amélie à une hypothyroïdie de Hashimoto qui à été suivie vraiment au minimum pendant sa grossesse uniquement par notre généraliste, car personne ne nous a renvoyé vers un endocrinologue.
Du coup, elle a gérée son dosage de lévothyrox avec son généraliste. Avant la grossesse elle était à 125µg, est montée à 150µg pendant sa grossesse.
Henri est arrivé, et personne pour nous alerter autour du lévothyrox, du coup Amélie à été surdosée à 150 pendant 6 semaines. Ne se sentant pas trop bien, elle demande des analyses et elle repasse à 125 pendant un mois, analyses de TSH encore mauvaises, d'où repassage à 100µg.
C'est à partir de la que l'on à constaté un dérangement dans l'allaitement d'Amélie. Amélie n'avait plus assez de lait le soir et Henri s'endormait aprés des heures et des heures d'éveil et de pleurs, vers 1 heure du matin, pas rassasié. On à donc pensé au début à une poussée de croissance.
Mais quatres jours ont passé et malgrès tout ce qui à été fait pour stimuler la lactation, toujours pas assez de lait le soir. On a donc pensé ensuite à un mauvais dosage de lévothyrox.
Après pas mal de recherches, et avoir prit un rendez-vous chez l'endocrino en urgence (urgence = dans 2 semaines pour le seul endocrino de notre département, forcèment !), on décide de remonter à 125µg de nous même, pas en dessous de son réglage d'avant grossesse. C'était, il y a deux jours, on commence seulement à constater une légére amélioration.
Six jours de baisse significative de lactation et d'inquiètudes.
On cherche donc des témoignages de mamans hypothyroidiennes ou de personnes compétentes sur les principes endocriniens pour partager un maximum d'informations sur ce sujet fort intéressant !
Merci d'avance.