Bonjour,
J’ai accouché le 16 février d’un petit garçon de 3,340 kg.
Mon projet était accouchement sans péridurale et allaitement exclusif. Ma grossesse s’est très bien passé mais accouchement et post partum ont tout fait dérapé.
Mon accouchement a été très long et dès le début j’ai manqué de sommeil. Rupture poche des eaux la nuit du 25 février à 1h30, on file à l’hôpital où on m’attribue une chambre à 5h. Je n’ai mes contractions qui débutent que vers 11h30 tout doucement. Elles s’intensifient et je résiste jusqu’à 3h du mat le lendemain mais je suis toujours ouverte seulement à 3!! Mais mon manque de sommeil et ce pretravail trop long me font redouter une césarienne, alors je prend la péridurale qui en soulage et me permet de récupérer un peu pour avoir la force de pousser. J’accouche le 16 février en soirée : épisiotomie, bouts de placenta qui restent bloqués, hémorragie au dessus de la normale mais le bébé va bien.
edit : le message est parti sans qu’une je le termine.
Mais le souci arrive le lendemain de l’accouchement. La péridurale s’estompe mais je ne peux plus me lever de mon lit. J’ai l’impression de ne plus pouvoir utiliser mes membres inférieurs sans une vive douleur au bassin, au pubis et et toute la sangle abdominale. Résultats : sous antidouleurs, je ne peux pas faire les soins de mon enfant et j’essaye d’allaiter comme je peux malgré les douleurs et les fatigues mais mon bébé perd du poid.
On me propose l’allaitement mixte pour ne laisser reprendre des forces (lui et moi) car je suis épuisée. La montée de lait n’arrive pas et mes nerfs craquent tous les soirs à l’hôpital (l’équipe de la maternité est super soutenante).
Je ne peux pas sortir lundi 20 comme prévu car je ne peux toujours pas marcher. Analyses et irm plus tard : disjonction symphisaire (complication rare : le bassin s’est écarté pour le bébé mais n’est pas revenu en place). Je sors de l’hôpital 8 jours après mon accouchement et depuis j’essaye de faire plus de tétées et moins de compléments mais j’ai l’impression de ne pas réussir à combler le retard…
Aujourd’hui en particulier, j’ai multiplié les tétées (14) mais j’ai du le compléter par du LA (175 ml en tout dans la journée)car il demande sans arrêt et je dois m’absenter pour des séances de rééducation donc forcément, je ne peux pas donner à la demande.
Je donne toujours les deux seins mais aujourd’hui il a été particulièrement demandeur, au point où j’ai fait alterner sein droit et sein gauche trois fois + lait artificiel car ce n’était toujours pas suffisant et là je m’épuise. Est-ce que cela peut être le fameux pic de croissance ?
Comment faire pour diminuer encore plus le lait artificiel? J’ai l’impression de ne pas pouvoir toujours le satisfaire…
A J11, il est à 3,325 kg, le médecin et sage femme ne s’inquiètent pas pour le moment, il devrait reprendre son poids de naissance aujourd’hui.
J’ai accouché le 16 février d’un petit garçon de 3,340 kg.
Mon projet était accouchement sans péridurale et allaitement exclusif. Ma grossesse s’est très bien passé mais accouchement et post partum ont tout fait dérapé.
Mon accouchement a été très long et dès le début j’ai manqué de sommeil. Rupture poche des eaux la nuit du 25 février à 1h30, on file à l’hôpital où on m’attribue une chambre à 5h. Je n’ai mes contractions qui débutent que vers 11h30 tout doucement. Elles s’intensifient et je résiste jusqu’à 3h du mat le lendemain mais je suis toujours ouverte seulement à 3!! Mais mon manque de sommeil et ce pretravail trop long me font redouter une césarienne, alors je prend la péridurale qui en soulage et me permet de récupérer un peu pour avoir la force de pousser. J’accouche le 16 février en soirée : épisiotomie, bouts de placenta qui restent bloqués, hémorragie au dessus de la normale mais le bébé va bien.
edit : le message est parti sans qu’une je le termine.
Mais le souci arrive le lendemain de l’accouchement. La péridurale s’estompe mais je ne peux plus me lever de mon lit. J’ai l’impression de ne plus pouvoir utiliser mes membres inférieurs sans une vive douleur au bassin, au pubis et et toute la sangle abdominale. Résultats : sous antidouleurs, je ne peux pas faire les soins de mon enfant et j’essaye d’allaiter comme je peux malgré les douleurs et les fatigues mais mon bébé perd du poid.
On me propose l’allaitement mixte pour ne laisser reprendre des forces (lui et moi) car je suis épuisée. La montée de lait n’arrive pas et mes nerfs craquent tous les soirs à l’hôpital (l’équipe de la maternité est super soutenante).
Je ne peux pas sortir lundi 20 comme prévu car je ne peux toujours pas marcher. Analyses et irm plus tard : disjonction symphisaire (complication rare : le bassin s’est écarté pour le bébé mais n’est pas revenu en place). Je sors de l’hôpital 8 jours après mon accouchement et depuis j’essaye de faire plus de tétées et moins de compléments mais j’ai l’impression de ne pas réussir à combler le retard…
Aujourd’hui en particulier, j’ai multiplié les tétées (14) mais j’ai du le compléter par du LA (175 ml en tout dans la journée)car il demande sans arrêt et je dois m’absenter pour des séances de rééducation donc forcément, je ne peux pas donner à la demande.
Je donne toujours les deux seins mais aujourd’hui il a été particulièrement demandeur, au point où j’ai fait alterner sein droit et sein gauche trois fois + lait artificiel car ce n’était toujours pas suffisant et là je m’épuise. Est-ce que cela peut être le fameux pic de croissance ?
Comment faire pour diminuer encore plus le lait artificiel? J’ai l’impression de ne pas pouvoir toujours le satisfaire…
A J11, il est à 3,325 kg, le médecin et sage femme ne s’inquiètent pas pour le moment, il devrait reprendre son poids de naissance aujourd’hui.
Dernière édition: