Bonjour !
Je suis attentivement les histoires de sevrages, étant moi même, je pense, sur la fin de l'allaitement.
Merci à @Astraz , @Doobida , @L'apprentie , et j'en oublie pour leur sujet.
Je viens à mon tour ajouter mon post pour témoigner, et peut-être aussi ne pas oublier...
J'ai commencé pour ma part le sevrage de nuit bien plus tôt. C'était une question de survie, travaillant à plein temps, je n'en pouvais plus des multiples réveils. En plus chez moi ça tire sérieusement sur la machine
J'ai profité des grandes vacances d'été après les 1 ans du Tilou pour le faire en 2021 (je n'ai aucune aide du père), en apportant plein de câlins, et de l'eau en cas de grosses chaleurs (ou pas d'ailleurs). Il a beaucoup dormi sur moi. Il y a eu des retours en arrière, mais ça s'est calé. Il a vite réclamé l'eau la nuit (et non cela n'empêche pas les réveils !). Et j'ai pu avoir des nuits complètes aussi, et ça m'a sauvé la mise !
Nous sommes restés un bon moment entre 2 et 3 tétées par jour.
Vers ses 2 ans, en avril cette année, j'ai supprimé la tétée du matin : à la maison elle ne le rendormait plus depuis un moment, et les jours je bossais ça me mettait dans le jus sérieusement niveau horaires. Je pense qu'il a fallu 2 mois pour la supprimer. On allait vite manger, ce qui a aidé.
Semaine dernière, gros changements, en tout cas c'est mon ressenti. Il est enrhumé, et ça le gêne pas mal pour téter. Il arrête avant (et en plus il me fait mal alors j'écourte). Il s'est endormi allongé sur moi trois soirs de suite avec des papouilles dans la tête. De nouveau une tétée réclamée le soir suivant, puis pas de tétée le soir d'après (endormi après une histoire inventée à l'arrache ah ah). Hier on eu une tétée le soir.
Il commence à refuser de faire la sieste aussi... Et c'est moins drôle pour moi. Mais là quand il dort, la tétée est obligatoire.
Je sens que ça bouge de son côté c'est pour ça que je voulais poser ça ici. C'est un sentiment étrange chez moi, à la fois je suis fière de lui, il grandit, et c'est normal. Et en même temps ce petit pincement au cœur car je sais aussi que c'est mon dernier.
Je suis attentivement les histoires de sevrages, étant moi même, je pense, sur la fin de l'allaitement.
Merci à @Astraz , @Doobida , @L'apprentie , et j'en oublie pour leur sujet.
Je viens à mon tour ajouter mon post pour témoigner, et peut-être aussi ne pas oublier...
J'ai commencé pour ma part le sevrage de nuit bien plus tôt. C'était une question de survie, travaillant à plein temps, je n'en pouvais plus des multiples réveils. En plus chez moi ça tire sérieusement sur la machine

J'ai profité des grandes vacances d'été après les 1 ans du Tilou pour le faire en 2021 (je n'ai aucune aide du père), en apportant plein de câlins, et de l'eau en cas de grosses chaleurs (ou pas d'ailleurs). Il a beaucoup dormi sur moi. Il y a eu des retours en arrière, mais ça s'est calé. Il a vite réclamé l'eau la nuit (et non cela n'empêche pas les réveils !). Et j'ai pu avoir des nuits complètes aussi, et ça m'a sauvé la mise !
Nous sommes restés un bon moment entre 2 et 3 tétées par jour.
Vers ses 2 ans, en avril cette année, j'ai supprimé la tétée du matin : à la maison elle ne le rendormait plus depuis un moment, et les jours je bossais ça me mettait dans le jus sérieusement niveau horaires. Je pense qu'il a fallu 2 mois pour la supprimer. On allait vite manger, ce qui a aidé.
Semaine dernière, gros changements, en tout cas c'est mon ressenti. Il est enrhumé, et ça le gêne pas mal pour téter. Il arrête avant (et en plus il me fait mal alors j'écourte). Il s'est endormi allongé sur moi trois soirs de suite avec des papouilles dans la tête. De nouveau une tétée réclamée le soir suivant, puis pas de tétée le soir d'après (endormi après une histoire inventée à l'arrache ah ah). Hier on eu une tétée le soir.
Il commence à refuser de faire la sieste aussi... Et c'est moins drôle pour moi. Mais là quand il dort, la tétée est obligatoire.
Je sens que ça bouge de son côté c'est pour ça que je voulais poser ça ici. C'est un sentiment étrange chez moi, à la fois je suis fière de lui, il grandit, et c'est normal. Et en même temps ce petit pincement au cœur car je sais aussi que c'est mon dernier.