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Leucémie et allaitement
- Démarrée par monoi4
- Date de début
mamanbonheur
Fontaine de lait
Ça me fait plaisir d'avoir de vos nouvelles ! Comme ta fille est courageuse ! C'est super qu'elle accepte de ne pas teter à l'hôpital ! J'espère que la greffe se fera rapidement pour sortir de ça le plus vite possible. Plein de douces pensées 
Bonsoir,
Je suis arrivée sur votre post via une recherche google.
Comme vous aussi, je pensais que nous étions seules à être dans ce cas avec ma fille.
On lui a découvert une leucémie aigüe lymphoblastique le 22 octobre 2016, un jour avant ses 20 mois.
J'ai continué de l'allaiter pendant tout le traitement d'ailleurs au début, elle ne voulait que du sein, plus de nourriture solide.
Je pense que l'allaitement l'a aidé lors du traitement, elle n'a jamais eu de grosses complications telles des mucites ou la nécessité d'avoir une sonde
Elle a débuté l'entretien en août, il reste 18 mois.
Là, je me pose la question du sevrage, elle est toujours allaitée à la demande, jour et nuit.
J'allaite depuis le 07 septembre 2011, à la naissance de son frère, puis j'ai enchaîné avec elle.
Elle va avoir 3 ans en février, j'en ai 41 et la fatigue physique se fait vraiment sentir.
Je suis tiraillée entre le fait de la sevrer alors qu'elle serait toujours sous traitement, parce que je sens que physiquement j'atteint aussi mes limites et je sais d' autre part que ca la rassure lors des actes médicaux et que ca lui apporte des anticorps qui l'aident à se defendre.
Le post date un peu, j'espère Monoi que la greffe de ta fille s'est bien passée et qu'elle va bien.
Je suis arrivée sur votre post via une recherche google.
Comme vous aussi, je pensais que nous étions seules à être dans ce cas avec ma fille.
On lui a découvert une leucémie aigüe lymphoblastique le 22 octobre 2016, un jour avant ses 20 mois.
J'ai continué de l'allaiter pendant tout le traitement d'ailleurs au début, elle ne voulait que du sein, plus de nourriture solide.
Je pense que l'allaitement l'a aidé lors du traitement, elle n'a jamais eu de grosses complications telles des mucites ou la nécessité d'avoir une sonde
Elle a débuté l'entretien en août, il reste 18 mois.
Là, je me pose la question du sevrage, elle est toujours allaitée à la demande, jour et nuit.
J'allaite depuis le 07 septembre 2011, à la naissance de son frère, puis j'ai enchaîné avec elle.
Elle va avoir 3 ans en février, j'en ai 41 et la fatigue physique se fait vraiment sentir.
Je suis tiraillée entre le fait de la sevrer alors qu'elle serait toujours sous traitement, parce que je sens que physiquement j'atteint aussi mes limites et je sais d' autre part que ca la rassure lors des actes médicaux et que ca lui apporte des anticorps qui l'aident à se defendre.
Le post date un peu, j'espère Monoi que la greffe de ta fille s'est bien passée et qu'elle va bien.
Bonjour @Nathou237 , que du courage, tu as tout mon soutien !!
Je comprends son hésitation. C'est vrai que le bon lait de maman est ce qu'il y a de meilleur, donc arrêter pose question, c'est sûr.
Mais en même temps, si tu es épuisée, continuer n'est pas une solution non plus. Elle a besoin d'une maman forte.
As-tu pensé simplement à réduire le nombre de tétées ? Ça peut être un compromis ?
Je comprends son hésitation. C'est vrai que le bon lait de maman est ce qu'il y a de meilleur, donc arrêter pose question, c'est sûr.
Mais en même temps, si tu es épuisée, continuer n'est pas une solution non plus. Elle a besoin d'une maman forte.
As-tu pensé simplement à réduire le nombre de tétées ? Ça peut être un compromis ?
Bonjour,
Merci pour ta réponse.
Ma fille avait commencé l'école en septembre, uniquement la matinée, là il y avait moins de tt. Elle ne va plus depuis novembre, trop de microbes, elle reprendra au printemps.
J'ai déjà essayé de réduire les tt, mais elle pleure et hurle pour tt.
Le problème étant aussi qu'elle n'est pas sevrée de nuit, tt vers 20h au coucher, puis (22 parfois) minuit, 2h, 5h puis réveil. Et la nuit là aussi si pas de tt, c'est hurlements.
Pendant les hospitalisations, elle était seule à l'hôpital, vu que niveau organisation ça n'était pas possible autrement pour les écoles, mon mari commençant très tôt, et là bizarrement elle faisait ses nuits.
J'aimerais d'abord essayer de la sevrer de nuit, puis par après, avec la reprise de l'école, commencer doucement à espacer les tt.
Par exemple pour le moment elle est sous corticoides et a un très gros appétit, et niveau tt de nuit c'est vraiment beaucoup, comme lors d'un pic.
Peut-être continuer jusqu'en août là on aura terminer la première année d'entretien, ça serait plus facile.
Ce qui m'épuise ce sont vraiment les tt de nuit, mais par exemple si je lui limite la journée, j'ai peur aussi qu'elle veuille se rattraper la nuit.
Mes réponses sont un peu en pèle mêle, je suis vraiment fatiguée ce soir, d'habitude elle fait une sieste l'après-midi, je m'endors souvent avec elle mais aujourd'hui non.
Merci pour ta réponse.
Ma fille avait commencé l'école en septembre, uniquement la matinée, là il y avait moins de tt. Elle ne va plus depuis novembre, trop de microbes, elle reprendra au printemps.
J'ai déjà essayé de réduire les tt, mais elle pleure et hurle pour tt.
Le problème étant aussi qu'elle n'est pas sevrée de nuit, tt vers 20h au coucher, puis (22 parfois) minuit, 2h, 5h puis réveil. Et la nuit là aussi si pas de tt, c'est hurlements.
Pendant les hospitalisations, elle était seule à l'hôpital, vu que niveau organisation ça n'était pas possible autrement pour les écoles, mon mari commençant très tôt, et là bizarrement elle faisait ses nuits.
J'aimerais d'abord essayer de la sevrer de nuit, puis par après, avec la reprise de l'école, commencer doucement à espacer les tt.
Par exemple pour le moment elle est sous corticoides et a un très gros appétit, et niveau tt de nuit c'est vraiment beaucoup, comme lors d'un pic.
Peut-être continuer jusqu'en août là on aura terminer la première année d'entretien, ça serait plus facile.
Ce qui m'épuise ce sont vraiment les tt de nuit, mais par exemple si je lui limite la journée, j'ai peur aussi qu'elle veuille se rattraper la nuit.
Mes réponses sont un peu en pèle mêle, je suis vraiment fatiguée ce soir, d'habitude elle fait une sieste l'après-midi, je m'endors souvent avec elle mais aujourd'hui non.
Ce qui a marché pour nous c'est:
- j'étais très décidée, c'était très clair dans ma tête: c'était fini les tétées de nuit je n'en pouvait plus
- je lui ai dis un soir qu'à partir de ce soir là, les tétés feraient dodo la nuit et qu'elle pourrait téter quand il ferait jour
ça été dur 2 ou 3 nuit dans le sens où elle a pleuré quelques secondes mais je n'ai pas cédé et en 3 jours c'était fait. à la place des tétées je proposais un petit biberon d'eau.
je crois que les réveils n'ont pas diminué tout de suite. ils ont fini par diminuer puisque maintenant elle fait mes nuits mais je ne me souviens plus si c'est lié au sevrage de nuit.
Moi je n'avais pas toutes tes craintes vis à vis des anticorps et la culpabilité que tu dois éprouver à vouloir lui enlever son r&réconfort.
Mais tu dois aussi penser à toi et savoir quand tu as atteints tes propres limites.
- j'étais très décidée, c'était très clair dans ma tête: c'était fini les tétées de nuit je n'en pouvait plus
- je lui ai dis un soir qu'à partir de ce soir là, les tétés feraient dodo la nuit et qu'elle pourrait téter quand il ferait jour
ça été dur 2 ou 3 nuit dans le sens où elle a pleuré quelques secondes mais je n'ai pas cédé et en 3 jours c'était fait. à la place des tétées je proposais un petit biberon d'eau.
je crois que les réveils n'ont pas diminué tout de suite. ils ont fini par diminuer puisque maintenant elle fait mes nuits mais je ne me souviens plus si c'est lié au sevrage de nuit.
Moi je n'avais pas toutes tes craintes vis à vis des anticorps et la culpabilité que tu dois éprouver à vouloir lui enlever son r&réconfort.
Mais tu dois aussi penser à toi et savoir quand tu as atteints tes propres limites.