Bonjour,
Je suis l'heureuse maman d'un petit bout de 3 mois et 3 semaines. Nos débuts d'allaitement ont été compliqués et j'ai du donner des compléments de LA la première semaine, ma montée de lait ayant été tardive. Nous avons ensuite passé trois mois merveilleux, avec une bonne croissance (3,560 à la naissance, 4,150kg à 1 mois, 6,170 kg à deux mois et 6,780 à trois mois) mais depuis la fin septembre, tout est compliqué.
Suite à un gros coup de fatigue, j'ai eu une baisse de lactation importante (ressentie, et confirmée par peu de déglutitions du petit bout qui en plus était enrhumé). En mobilisant le tire-lait, j'ai réussi à relancer la lactation, et j'ai allaité allongée pendant une dizaine de jours, puisque c'était plus évident pour lui de téter. J'ai réussi à repasser en madone, mais inquiète d'une nouvelle chute de lactation, j'ai multiplié les mises au sein (des deux cotés, 8-9 fois par 24h) + le laisser beaucoup tetouiller + tisanes d'allaitement, et je me retrouve avec une hyperlactation assez importante - j'ai la poitrine pleine en permanence, et surtout il s'étrangle maintenant dès le début de la tétée, et je me rends compte que l'hyperlactation génère un REF très conséquent (la simple pression sur le sein provoque un jet de longue distance, et pendant plusieurs minutes..).
J'ai décidé aujourd'hui d'attendre vraiment qu'il réclame (par des pleurs) à manger pour le mettre au sein parce qu'il venait à gigoter et à se tortiller dès le debut des tetees (la selle quotidienne est aussi très liquide..), mais il n'a pas mangé de 9h à 15h30 (j'ai vidé les forts jets par pression manuelle pour éviter l'engorgement et juste avant de le mettre au sein à 15h30 pour que ce soit plus confortable pour lui).
Je suis un peu désemparée et ne sais pas quelle stratégie adopter pour m'assurer que la lactation revienne à un niveau acceptable et sans REF (il était très léger avant), et m'assurer que ca n'entrave pas sa croissance.
Je crains aussi qu'il ne se réveille plus la nuit pour compenser sa faible ration de na journée (et que du coup, la surstimulation la nuit ne me permette pas de revenir à un niveau de lactation correct). Jusqu'ici, ce n'est pas un bébé qui a été habitué à réclamer, je lui proposais le sein fréquemment et dès qu'il prenait ses doigts ou salivait. Je crains enfin qu'il se laisse un peu vivre faute de proposition et que ce soit à la fin catastrophique avec une rupture dans la lactation et dans sa croissance, et que le sevrage soit brutal faute de pouvoir faire autrement.
J'avais espoir de poursuivre mon allaitement jusqu'à ma reprise en janvier, d'autant que c'est mon troisiéme (et dernier) bébé, que je n'ai pu que tire-allaiter le premier et n'allaiter que deux mois le second, et que ça reste de gros regrets les concernant...
Je suis preneuse de tous conseils de personne qui ont pu connaître ces situations où qui ont un avis sur la meilleure façon de faire en l'état - et me soulager de l'anxiété conséquente que ça génère !
Je suis l'heureuse maman d'un petit bout de 3 mois et 3 semaines. Nos débuts d'allaitement ont été compliqués et j'ai du donner des compléments de LA la première semaine, ma montée de lait ayant été tardive. Nous avons ensuite passé trois mois merveilleux, avec une bonne croissance (3,560 à la naissance, 4,150kg à 1 mois, 6,170 kg à deux mois et 6,780 à trois mois) mais depuis la fin septembre, tout est compliqué.
Suite à un gros coup de fatigue, j'ai eu une baisse de lactation importante (ressentie, et confirmée par peu de déglutitions du petit bout qui en plus était enrhumé). En mobilisant le tire-lait, j'ai réussi à relancer la lactation, et j'ai allaité allongée pendant une dizaine de jours, puisque c'était plus évident pour lui de téter. J'ai réussi à repasser en madone, mais inquiète d'une nouvelle chute de lactation, j'ai multiplié les mises au sein (des deux cotés, 8-9 fois par 24h) + le laisser beaucoup tetouiller + tisanes d'allaitement, et je me retrouve avec une hyperlactation assez importante - j'ai la poitrine pleine en permanence, et surtout il s'étrangle maintenant dès le début de la tétée, et je me rends compte que l'hyperlactation génère un REF très conséquent (la simple pression sur le sein provoque un jet de longue distance, et pendant plusieurs minutes..).
J'ai décidé aujourd'hui d'attendre vraiment qu'il réclame (par des pleurs) à manger pour le mettre au sein parce qu'il venait à gigoter et à se tortiller dès le debut des tetees (la selle quotidienne est aussi très liquide..), mais il n'a pas mangé de 9h à 15h30 (j'ai vidé les forts jets par pression manuelle pour éviter l'engorgement et juste avant de le mettre au sein à 15h30 pour que ce soit plus confortable pour lui).
Je suis un peu désemparée et ne sais pas quelle stratégie adopter pour m'assurer que la lactation revienne à un niveau acceptable et sans REF (il était très léger avant), et m'assurer que ca n'entrave pas sa croissance.
Je crains aussi qu'il ne se réveille plus la nuit pour compenser sa faible ration de na journée (et que du coup, la surstimulation la nuit ne me permette pas de revenir à un niveau de lactation correct). Jusqu'ici, ce n'est pas un bébé qui a été habitué à réclamer, je lui proposais le sein fréquemment et dès qu'il prenait ses doigts ou salivait. Je crains enfin qu'il se laisse un peu vivre faute de proposition et que ce soit à la fin catastrophique avec une rupture dans la lactation et dans sa croissance, et que le sevrage soit brutal faute de pouvoir faire autrement.
J'avais espoir de poursuivre mon allaitement jusqu'à ma reprise en janvier, d'autant que c'est mon troisiéme (et dernier) bébé, que je n'ai pu que tire-allaiter le premier et n'allaiter que deux mois le second, et que ça reste de gros regrets les concernant...
Je suis preneuse de tous conseils de personne qui ont pu connaître ces situations où qui ont un avis sur la meilleure façon de faire en l'état - et me soulager de l'anxiété conséquente que ça génère !