► Doutes allaitement maternage proximal dur parfois de défendre ses choix

[Edel]

Je fais des choses qu'on ne fait pas dans ma famille ni dans ma belle-famille (allaiter plus que 8 semaines par exemple). J'ai pris des remarques détournées l'été dernier dans ma belle-famille : j'étais à six mois d'allaitement tout juste, et j'ai commencé à entendre des commentaires sur le thème "ah oui dans le gîte que gère tante Gisèle elle a eu un enfant de trois ans qui était encore allaité, c'est malsain à cet âge, c'est vraiment la maman qui le fait pour son plaisir". J'en ai parlé à l'époux qui en a parlé à ses parents, ça s'est arrêté. Si les commentaires qui te gênent viennent de ta belle-famille, je te conseille vraiment, si c'est possible, de demander au papa d'intervenir, c'est sans doute lui qui saura le mieux le faire. Il n'a pas à se justifier, juste à dire ce qu'a dit mon mari : "XX ne souhaite pas entendre de remarques sur notre façon d'élever notre enfant".
ça peut être plus délicat pour lui de se positionner dans ta famille en revanche.

Pour te rassurer : moi j'avais l'ambition d'allaiter six mois, plus pour me prouver que c'était possible qu'autre chose. Si on m'avait dit que j'allaiterais toujours à 13,5 mois j'aurais grimpé aux rideaux. Si on m'avait dit que je ferais du portage dos à cet âge-là, idem, à la base c'était pas du tout mon truc, ça s'est imposé parce que c'est plus pratique pour promener le chien, et maintenant j'aime pas beaucoup la poussette, je trouve ça moins tout-terrain, moins naturel.

J'ai repris le travail à 2,5 mois parce que j'en avais besoin, j'étais très contente que le papa ait encore un gros rab de congé pat qui nous a permis de ne commencer l'adaptation à la crèche qu'à presque 3,5 mois pour entrée effective à presque 4 mois. Je pense que ça aurait été mieux pour elle de n'aller à la crèche que plus tard, vers au moins 6-7 mois et même plutôt après Noël (10,5 mois), mais moi j'avais besoin de vivre ma vie.

En revanche, il y a une chose qui m'a marquée, et même deux.

• Quand elle a eu un mois, elle n'avait pas tout à fait assez pris, et la MG qui la suivait me conseillait de la régler aux trois heures (commentaire de la sage-femme heureusement vue le lendemain : ça ne va pas aider beaucoup cette enfant de l'affamer...), ce qui me semblait contraire à tout ce que j'avais lu. Ma mère m'a dit "moi l'allaitement j'y connais rien, j'ai jamais allaité aucun de mes enfants, en revanche j'en ai eu six et il y a un truc dont je suis sûre : la meilleure experte de ton bébé, c'est toi".
• Un peu plus tard, elle avait cinq mois, elle était au tapis chez mes parents, et elle râlait. J'avais envie de la prendre et ma mère me disait que non, qu'elle allait bien. A un moment j'en ai eu marre, je l'ai prise dans mes bras et j'ai dit "maintenant ça suffit, c'est moi ta maman, c'est moi qui décide si tu as besoin de mes bras ou pas" (sous-entendu pas ma mère) (elle a illico arrêté de râler). Ca m'a fait énormément de bien de faire ça, d'affirmer simplement MA façon de faire, sans agressivité. Je n'ai plus jamais laissé les commentaires des autres me faire douter après.

 

[Trésor]

Ce que c’est dur @ocnana de se sentir aussi seule et isolée dans ses choix et convictions. On a beau être convaincue parce que ce sont nos tripes qui parlent, l’être humain reste un être qui a besoin du groupe et donc si le groupe entier le rejette ou lui dit qu’il a faux… il finit par le penser sans aucun doute…
Alors ne culpabilise pas de te remettre en question et d’avoir peur, c’est une réaction normale induite par ce que te renvoie ton entourage, et ça montre aussi que tu veux le meilleur pour ton bébé jusqu’à te remettre en questions sur des choix dont tu était pourtant sûre, ça montre que tu es une super maman

J’ai été moi-même émue et rassérénée des commentaires de mes voisines du dessus alors que je n’ai jamais douté un peu comme @Nienna , mais ça fait toujours un tel bien de lire que beaucoup de monde finalement partage nos convictions, même si ce n’est pas notre entourage propre !

Pour ma part je m’auto-rassure aussi en me disant que de toute façon, je ne saurais pas faire autrement, alors… autant continuer sur ce qui est le plus simple pour moi et pour mon petit loup !
Je suis aussi rassurée de voir qu’il est un petit bonhomme plein de vie, d’envie, de confiance en lui et en ses parents, je le trouve serein, déterminé, souriant (il passe littéralement sa vie à rire et je crois que le sourire, la bouche grande ouverte et ensuite les gloussements sont les premières mimiques qu’il a faites), pas sauvageon pour un sou, ouvert au monde (avec ses limites : ça reste un tout petit qui expérimente actuellement ce qu’est l’inconnu et c’est normal !)… Le nombre de fois où des gens en salle d’attente nous ont dit qu’ils étaient bluffés de le voir aussi calme, patient, tranquille…
Bref, tout dans son développement suffit à nous dire que notre façon d’être avec lui et de l’accompagner lui permet d’être ce petit père aussi bien dans ses baskets. Et quand il a des moments de doute (actuellement ce sont les visages peu connus qui le prennent qui le font pleurer (les papys, mamies… qu’il ne voir pas quotidiennement) - angoisse de séparation la fameuse !), eh bien on accepte qu’il lui faut encore un peu de temps, de réassurance, et un jour il courra pour se jeter dans les bras de ces mêmes personnes qui n’auront pourtant rien fait, elles, pour que ça change : juste du temps aux enfants pour grandir, expérimenter, découvrir, se sentir prêts.

J’ai eu des remarques et je pense que j’en aurai encore (« elle le met au sein dès qu’il geint un peu » (à 3 semaines de vie !!), « tu le portes trop tu vas mal l’habituer », « comment ça tu dors toujours avec ? Et le papa sur le canapé ?!! », « jusqu’à quel âge tu vas l’allaiter, 18 ans ? »…), et à côté de ça on a aussi plein de compliments sur son caractère paisible, sur la confiance qu’il a, sur ses sourires, sur son développement en motricité…
Comme l’a dit @Astraz et je la rejoins totalement, les personnes qui te disent de le lâcher sont les mêmes qui te diront d’en profiter parce que ça passe trop vite. On en croise beaucoup des comme ça, dans les magasins, qui jouent de loin avec Louveteau tranquillement contre moi en porte-bébé et qui nous disent ça avec une pointe de regret très visible dans la voix. Et moi de penser à ce moment-là, et ça me procure beaucoup de satisfaction : je sais qu’avec ce lien d’exclusivité avec mon petit, avec cette parenthèse sur ma vie à moi (disons ma vie d’avant, car je suis en paix avec le fait que ma vie de maintenant c’est être avec mon fils autant que possible - je travaille 35h/semaine mais je fais le choix d’être avec mon fils sur tous mes temps libres, du temps sans lui ne m’intéresse pas actuellement), justement, je profite assez de sorte à ne pas avoir de regret par la suite. Et les regrets, c’est moi qui devrai vivre avec et pas mes proches. Alors autant suivre mes tripes à moi, les leurs s’en porteront bien dans tous les cas.

 

[onanac]

Ce que c’est dur @ocnana de se sentir aussi seule et isolée dans ses choix et convictions. On a beau être convaincue parce que ce sont nos tripes qui parlent, l’être humain reste un être qui a besoin du groupe et donc si le groupe entier le rejette ou lui dit qu’il a faux… il finit par le penser sans aucun doute…
Alors ne culpabilise pas de te remettre en question et d’avoir peur, c’est une réaction normale induite par ce que te renvoie ton entourage, et ça montre aussi que tu veux le meilleur pour ton bébé jusqu’à te remettre en questions sur des choix dont tu était pourtant sûre, ça montre que tu es une super maman

J’ai été moi-même émue et rassérénée des commentaires de mes voisines du dessus alors que je n’ai jamais douté un peu comme @Nienna , mais ça fait toujours un tel bien de lire que beaucoup de monde finalement partage nos convictions, même si ce n’est pas notre entourage propre !

Pour ma part je m’auto-rassure aussi en me disant que de toute façon, je ne saurais pas faire autrement, alors… autant continuer sur ce qui est le plus simple pour moi et pour mon petit loup !
Je suis aussi rassurée de voir qu’il est un petit bonhomme plein de vie, d’envie, de confiance en lui et en ses parents, je le trouve serein, déterminé, souriant (il passe littéralement sa vie à rire et je crois que le sourire, la bouche grande ouverte et ensuite les gloussements sont les premières mimiques qu’il a faites), pas sauvageon pour un sou, ouvert au monde (avec ses limites : ça reste un tout petit qui expérimente actuellement ce qu’est l’inconnu et c’est normal !)… Le nombre de fois où des gens en salle d’attente nous ont dit qu’ils étaient bluffés de le voir aussi calme, patient, tranquille…
Bref, tout dans son développement suffit à nous dire que notre façon d’être avec lui et de l’accompagner lui permet d’être ce petit père aussi bien dans ses baskets. Et quand il a des moments de doute (actuellement ce sont les visages peu connus qui le prennent qui le font pleurer (les papys, mamies… qu’il ne voir pas quotidiennement) - angoisse de séparation la fameuse !), eh bien on accepte qu’il lui faut encore un peu de temps, de réassurance, et un jour il courra pour se jeter dans les bras de ces mêmes personnes qui n’auront pourtant rien fait, elles, pour que ça change : juste du temps aux enfants pour grandir, expérimenter, découvrir, se sentir prêts.

J’ai eu des remarques et je pense que j’en aurai encore (« elle le met au sein dès qu’il geint un peu » (à 3 semaines de vie !!), « tu le portes trop tu vas mal l’habituer », « comment ça tu dors toujours avec ? Et le papa sur le canapé ?!! », « jusqu’à quel âge tu vas l’allaiter, 18 ans ? »…), et à côté de ça on a aussi plein de compliments sur son caractère paisible, sur la confiance qu’il a, sur ses sourires, sur son développement en motricité…
Comme l’a dit @Astraz et je la rejoins totalement, les personnes qui te disent de le lâcher sont les mêmes qui te diront d’en profiter parce que ça passe trop vite. On en croise beaucoup des comme ça, dans les magasins, qui jouent de loin avec Louveteau tranquillement contre moi en porte-bébé et qui nous disent ça avec une pointe de regret très visible dans la voix. Et moi de penser à ce moment-là, et ça me procure beaucoup de satisfaction : je sais qu’avec ce lien d’exclusivité avec mon petit, avec cette parenthèse sur ma vie à moi (disons ma vie d’avant, car je suis en paix avec le fait que ma vie de maintenant c’est être avec mon fils autant que possible - je travaille 35h/semaine mais je fais le choix d’être avec mon fils sur tous mes temps libres, du temps sans lui ne m’intéresse pas actuellement), justement, je profite assez de sorte à ne pas avoir de regret par la suite. Et les regrets, c’est moi qui devrai vivre avec et pas mes proches. Alors autant suivre mes tripes à moi, les leurs s’en porteront bien dans tous les cas.

Merci.❤ cest c'est exactement ça
et puis je n'ai rien décidé d'avance çà s est imposé à moi comme la seule facon de faire et cest vrai que je n'y avais pas pensé mais on nous fait aussi svt remarquer que c'est un Bébé souriant cool et vif alors je vais prendre ça et laisser le reste.
Ce matin bébé à ouvert les yeux dans le lit tout sourir au milieu de ses 2 parents qu'ils le regardaient affectueusement je me suis dit ça ne peut pas être mal ça

 

[Siana]

Et puis on entend souvent que "les bébés aujourd'hui sont beaucoup plus éveillés c'est fou"
Ben oui, c'est sûr que si tu poses ton bébé dans un coin et que tu le prends jute pour le faire manger, il doit passer le temps en dormant.
Avec le portage notamment, bébé est beaucoup avec les adultes, il est rassuré quand il dort et quand il est réveillé, il observe.

Combien de fois je l'ai entendu pour mes filles! "Comme elle est éveillée, comme elle est tonique, comme elle obserce tout ce qui se passe"...

Et puis nous ne sommes pas si éloignés des primates, qui portent longtemps leurs bébés et dont les petits apprennent aussi par l'observation et l'imitation des adultes.

Parles en peut-être avec ton conjoint? De ton ressenti, de ton besoin d'être soutenue?

 

[Sekhmet]

J'imagine à quel point ça doit être dur de devoir se défendre de répondre aux besoins de son bébé... se défendre de ses choix éducatifs tout court quels qu'il soient !

Ici c'est le contraire : maman très bienveillante et à l'écoute, et j'ai ce genre de comportement dans mon entourage. Pas à 100%, mais dans l'ensemble c'est cette ligne de conduite.
Quand j'étais enfant je me demandais pourquoi j'étais la seule de mon école à ne pas raconter d'histoires de "punitions" voire pire (fessées, etc).

Et puis aujourd'hui quand je vois que tout ce qu'a fait ma maman je le lis aujourd'hui dans les bouquins...
La bonne nouvelle c'est que ça se répand comme ça aussi de parent en enfant, on fera peut-être une société plus bienveillante... tu es la première à faire ce choix dans ta "gérénation", c'est fort et merveilleux !

Ta maman qui compare vos bébés entre soeurs, aoutch .

Je trouve ça très dur, de comparer. Comme si on vous mettait en compétition... ça explique beaucoup de choses sur sa façon de faire à elle.

- être parent ça se joue sur la très très longue durée. Si on veut pouvoir tenir jusqu'au bout il vaut mieux faire ce qui nous va à nous. On ne peut pas s'imposer comme charge supplémentaire d'être le parent parfait selon l'opinion de truc ou de machine.

+beaucoup !
Pour le sommeil, par exemple, j'ai tendance à dire : on peut avoir deux parmi trois. Choisis donc deux items entre : ton propre sommeil, le bien-être émotionnel de ton bébé, et l'opinion publique. J'ai choisi mes deux items, et vous ?

Les personnes qui vont te dire de laisser ton bébé en autonomie à cinq mois seront les même à te dire de profiter parce que ça passe trop vite et qu'on regrette plus tard.

Ouiii c'est une bonne manière de répondre aux critiques, de manière bienveillante : "oh oui mais le temps passe si vite, dans x temps il sera grand !" et souvent les personnes âgées valident avec une petite larmichette.

En partie je pense et aussi inquiets pour le devenir de bébé

Ça c'est très intéressant comme remarque.
En fait on a "naturellement" tendance à répéter les schémas de nos parents sans le faire exprès, et on s'attend à ce que nos enfants répètent à peu près nos schémas. Sans autre modèle, si on voit faire autrement, on ne sait pas si ça "marche". On se dit que pour nous ça a "à peu près marché" puisque nos enfants sont en vie, adultes, en bonne santé, ont un boulot. Mais c'est difficile d'imaginer qu'autre chose "marche".

Donc je comprends leur inquiétude, car ils ne connaissent pas d'autre schéma qui "marche". Donc ça peut faire un peu paniquer de faire autrement, s'imaginer que si on ne crie pas sur son enfant il va devenir tyran, etc. Même des mamans ici doutent et c'est normal.

Mais heureusement on est nombreuses à prouver le contraire.

Mon Petit Loup a été câliné dorloté, et même s'il est rentré tôt à la crèche, il est resté très "fusionnel" (ce mot est souvent employé de manière péjorative mais moi je trouve qu'il est très adapté) de ses parents, qui l'ont beaucoup porté. Aujourd'hui c'est un enfant épanoui, heureux, social, intelligent, ...

 

[onanac]

Parles en peut-être avec ton conjoint? De ton ressenti, de ton besoin d'être soutenue?

Ben je lui en parle je lui écis même parfois mais c'est sa nature je pense , il ne se pose.pas.bcp de question et ne sait pas comment montrer de la conviction il dit qu'il fait confiance à mon instinct ça me fait plaisir mais parfois j'aimerais qu'il soit plus proactif mais je.suis consciente que je ne peux pas changer sa personnalité.
En fait je dirai qu'il ne va pas â l'encontre de ce que je mets en place mais j'aimerai parfois qu'il soit plus à l'initiative de choses... il me soutient face aux autres il ne laisse pas faire les chose avec lesquelles je ne suis pas d'accord c'est déjà ça.

@Sekhmet C'est agréable d'avoir ton retour toi qui a été élevée comme ça.

En fait on a "naturellement" tendance à répéter les schémas de nos parents sans le faire exprès, et on s'attend à ce que nos enfants répètent à peu près nos schémas. Sans autre modèle, si on voit faire autrement, on ne sait pas si ça "marche". On se dit que pour nous ça a "à peu près marché" puisque nos enfants sont en vie, adultes, en bonne santé, ont un boulot. Mais c'est difficile d'imaginer qu'autre chose "marche".

En fait je crois que tu as vu juste ma mère vient de la génération où l'émancipation de la femme predominait sur le reste et qui a d'autres repères donc oui de sa part c'est de l'inquiétude pour moi/nous, cest pour ça que ça me fait plus douter que quand ça vient d'autres personnes. Parcequ'a côté de ça elle est aidante et quand elle a gardé loulou elle a fait comme on voulait nous, en gros elle respecte le fait que ce soit nous les parents mais ne peut pas s'empêcher parfois de dire ( de manière maladroite qui plus est)les choses par rapport aux repères qu'elle a eu et comme tu dis doivent la rassurer elle.

Pourtant petite anecdote quand il a fallu, ma mère a suivi son instinct de mère en dépit des règles /repères. Jai perdu mon père à l'âge de 7 ans (je suis l'aînée de 4 enfants donc on était petits ) et ben suite à ça m'a mère à décidé qu'on dormirait tous en semble dans une chambre familiale sur les matelas par terre ça a duré des années jusqu'à ce que chacun de nous indépendamment décide de dormir dans sa chambre et pour moi c'était la meilleure chose a faire avec le recul, ça nous a bien sécurisé... mais pas sûr qu'elle fasse le lien avec le reste!

 

[Maléo]

Bonjour, tu as eu plein de retours, juste leur dire merde?!
J'ai un tempérament bien marqué et personne n'a trop pris de libertés avec moi. J'ai envoyé un peu excessivement paître mon BP qui trouvait que ma fille s'endormait dans les bras. Je lui ai rétorqué que je pensais qu'il touchait bien sa femme pour s'endormir et que ma fille ( ou mon fils, je ne sais plus) avait bien le même besoin. Ça a coupé court à toute remarque.

A mon sens à part le papa ou le médecin consulté pour un problème est autorisé à donner son avis sur notre façon de s'y prendre.

Bon courage

Édit: pour notre fils, mon mari avait répondu qu'il tererait jusqu'à trouver une copine pour prendre le relais. De la même façon, on n'a plus eu de questions sur le fait qu'il tête encore!