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Bonjour,

Je vous écris ce matin car je ne sais plus quoi faire pour ce début d’allaitement catastrophique.

ma fille est née ce mercredi 12 juin à 15h, elle a donc à peine plus de 3 jours.

je ne sais pas si cela a une importance, mais : Ne voulant pas sortir seule, j’ai eu un déclenchement par cachets pendant 36h avec un col complètement fermé du début à la fin. Face à la douleurs des contractions, même sous morphine, et à l’inefficacité du traitement, j’ai été orientée vers une césarienne en urgence.

Ma fille a pu faire du peau à peau avec son papa dans les 30 min après sa naissance puis je l’ai retrouvée au bout d’environ 1h pour peau à peau et tétée de bienvenue. Très courte, avec je pense peu de colostrum, elle s’est très vite endormie.

les premières mises au sein n’ont pas été trop mal, mais je n’avais que quelques goutes de colostrum et que sur un sein. J’ai malgré tout essayer les deux à chaque fois.
Très rapidement, j’ai eu de plus en plus de mal à la mettre au sein. Elle pleurait, n’arrivait pas prendre correctement. J’ai évidemment demandé de l’aide, on arrivait à la placer, mais très rapidement elle repoussait le sein.
Des les premières 36h j’ai commencé à avoir très mal au mamelon qu’elle pinçait à chaque fois. Chaque tétée a commencé à devenir compliquée pour elle, qui pleurait, et moi qui souffrait. Et toujours presque rien pour la nourrir.

2eme jour qui empire, chaque tour de garde quelqu’un m’aidait, avec de nouvelles techniques, de nouveaux conseils, (de nouvelles critiques également) sans succès. Toujours pas de montée de lait, le moral en chute libre, la fatigue au sommet. Son poids en chute libre également, pas encore en dessous des 10% à son 2eme jour (3eme pesée) mais assez pour qu’on commence à s’inquiéter (avec l’aide du personnel médical…)
Comme elle n’arrivait pas à prendre le sein correctement. Ils m’ont proposé de tirer mon colostrum… j’ai pu lui donner à la pipette une fois 4ml puis une fois 7ml. Mais pas assez selon eux.
dès ce soir là on nous a inciter à supplémenter. Ce qu’on a fait, mais elle n’en voulait pas.

une ostéopathe est venue lui faire une séance tard dans la soirée. Super expérience, pleine de conseils et de bienveillance. Elle lui a déverrouillée sa mâchoire trop crispée, a vérifiée le frein… tout est ok. Mais sa succion n’est tout de même pas bonne selon elle, trop serrée, elle pince. Elle m’a montrée une technique (de plus) de mise au sein. Très concluante en sa présence. Mais une fois seule la nuit, et même avec l’aide du papa, impossible de réitérer. Elle pleure, on y arrive pas, je pleure. J’essaye de tirer mon colostrum à la place, plus rien, même pas une goute. On lui donne du substrat… qu’elle ne prend que très peu, mais c’est déjà ça.

détail peut-être important, j’ai une poitrine très volumineuse. Je suis passée d’un 90C à un 105G avant d’accoucher. Actuellement je ne saurait dire mais bien plus. De bons melons charentais… leur taille n’aide absolument pas à la mise au sein, pour la placer, pour ne pas l’écraser et ne pas l’empêcher de respirer …

Son 3eme jour nous avons fait de nouveaux essais le matin avec le personnel médical. Totalement infructueux. Et plus rien ne sortait de mes seins, manuellement ou au tire lait.
la pédiatre fait sa visite du 3eme jour, tout est Ok pour elle, mais elle confirme que sa succion n’est pas bonne, trop serrée, elle pince fort. Son poids s’est stabilisé, +20g, mais grâce au substrat et ce que j’ai pu tirer.

mes seins ont commencé à se tendres, je me suis dit ouf, enfin la montée de lait, ca va se résoudre.
Sauf que rien ne sort, et personne ne semble pouvoir m’aider. On a essayé la douche chaude, la technique du verre d’eau chaude, le tire lait avec un lange d’eau chaude. Pas de lait et des seins complètements engorgés, très douloureux et durs. Ils m’ont dit d’arrêter d’essayer le tire lait, de masser pour faire sortir. Pas de mise au sein… et en même temps j’ai peur maintenant de la douleur …

ils m’ont donné de l’ocytocine. Ça ne marche pas non plus. On est au matin du 4eme jour.
Elle prend maintenant des biberons de protéines de vache qu’elle accepte mieux que le substrat, elle va bien. Mais pas moi.

Je souffre, physiquement et moralement. Ce n’était pas l’accouchement que je souhaitais et maintenant je n’arrive pas non plus à l’allaiter.
je n’avais pas une conviction sans faille de l’allaiter. Je voulais surtout ce qui me semblait le mieux pour elle. Je me dis qu’il est un peu tôt pour abandonner mais que l’acharnement et mon état n’est pas non plus préférable.
la douleur de la césarienne n’a évidemment pas aidé. Très compliqué de bouger, de bien me positionner, mais j’ai donné mon maximum.

actuellement on me dit que ça arrive, certaines n’ont pas de lait, moi ça veut pas sortir, c’est la vie. On me dit qu’ils font tout pour m’aider mais … ça marche pas.

j’attends mon injection d’ocytocine. « Ça devrait aider à faire sortir le lait »
Après des heures à en pleurer, Je pense à tous les avantages de l’allaitement au biberon … et commence à me résigner.

peut être qu’à la lecture de ma courte aventure ( en un long récit, mes excuses) quelqu’un pourrait me conseiller ou m’aider d’une façon ou d’une autre, à débloquer la situation de cet allaitement.

merci par avance.
 

Tatian@

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice LLL
Bonjour @Elisabeth&jade .
Déjà, je t'envoie de gros câlins car tu as eu un accouchement éprouvant et des débuts tout aussi difficiles. :calin:
On ne peut que comprendre que tu penses à stopper là cet allaitement qui te donne tant de difficultés.

Après une césarienne, en effet la montée de lait peut être plus longue à arriver et les bébés peuvent aussi être un peu plus "sonnés", avoir plus de mal à "démarrer".
Une rétention placentaire (un morceau de placenta qui reste dans l'utérus) peut aussi impacter la production. C'est peut être ce qui s'est passé? La rétention placentaire peut faire saigner.

C'est la première fois que j'entends parler d'ocytocine pour démarrer une lactation.

Pour ce qui est de l'expression du lait, je cherche des vidéos qui seront probablement plus parlantes que de longs discours.
 

Tatian@

Modératrice
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Tatian@

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Animatrice LLL
Pour aider bébé à prendre le sein efficacement, l'approche "biological nurturing" (BN) peut aider. Plus qu'une position c'est une façon pour la maman et le bébé d'accorder leurs postures de façon à être bien "relax" tous les deux. Cette approche a pour but d'activer tous les réflexes archaïques du bébé qui servent à le guider au sein. Réflexes qui sont en principe très présent la première heure suivant la naissance, mais qui persistent bien au delà.
On peut utiliser le BN après un biberon ou même quand bébé est dans un demi sommeil.
Tout est expliqué en détail là, avec une illustration :

Il n'est pas indispensable d'être autant allongée, juste de faire en sorte que bébé soit bien "calé", un peu comme à 4 pattes. Avec la césarienne, on peut décaler bébé pour qu'il soit en transversal et n'appuie pas sur la cicatrice.
 

Pièces jointes

  • maternage corporel poster.pdf
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Liha

Montée de lait
Bonjour,

Je vous écris ce matin car je ne sais plus quoi faire pour ce début d’allaitement catastrophique.

ma fille est née ce mercredi 12 juin à 15h, elle a donc à peine plus de 3 jours.

je ne sais pas si cela a une importance, mais : Ne voulant pas sortir seule, j’ai eu un déclenchement par cachets pendant 36h avec un col complètement fermé du début à la fin. Face à la douleurs des contractions, même sous morphine, et à l’inefficacité du traitement, j’ai été orientée vers une césarienne en urgence.

Ma fille a pu faire du peau à peau avec son papa dans les 30 min après sa naissance puis je l’ai retrouvée au bout d’environ 1h pour peau à peau et tétée de bienvenue. Très courte, avec je pense peu de colostrum, elle s’est très vite endormie.

les premières mises au sein n’ont pas été trop mal, mais je n’avais que quelques goutes de colostrum et que sur un sein. J’ai malgré tout essayer les deux à chaque fois.
Très rapidement, j’ai eu de plus en plus de mal à la mettre au sein. Elle pleurait, n’arrivait pas prendre correctement. J’ai évidemment demandé de l’aide, on arrivait à la placer, mais très rapidement elle repoussait le sein.
Des les premières 36h j’ai commencé à avoir très mal au mamelon qu’elle pinçait à chaque fois. Chaque tétée a commencé à devenir compliquée pour elle, qui pleurait, et moi qui souffrait. Et toujours presque rien pour la nourrir.

2eme jour qui empire, chaque tour de garde quelqu’un m’aidait, avec de nouvelles techniques, de nouveaux conseils, (de nouvelles critiques également) sans succès. Toujours pas de montée de lait, le moral en chute libre, la fatigue au sommet. Son poids en chute libre également, pas encore en dessous des 10% à son 2eme jour (3eme pesée) mais assez pour qu’on commence à s’inquiéter (avec l’aide du personnel médical…)
Comme elle n’arrivait pas à prendre le sein correctement. Ils m’ont proposé de tirer mon colostrum… j’ai pu lui donner à la pipette une fois 4ml puis une fois 7ml. Mais pas assez selon eux.
dès ce soir là on nous a inciter à supplémenter. Ce qu’on a fait, mais elle n’en voulait pas.

une ostéopathe est venue lui faire une séance tard dans la soirée. Super expérience, pleine de conseils et de bienveillance. Elle lui a déverrouillée sa mâchoire trop crispée, a vérifiée le frein… tout est ok. Mais sa succion n’est tout de même pas bonne selon elle, trop serrée, elle pince. Elle m’a montrée une technique (de plus) de mise au sein. Très concluante en sa présence. Mais une fois seule la nuit, et même avec l’aide du papa, impossible de réitérer. Elle pleure, on y arrive pas, je pleure. J’essaye de tirer mon colostrum à la place, plus rien, même pas une goute. On lui donne du substrat… qu’elle ne prend que très peu, mais c’est déjà ça.

détail peut-être important, j’ai une poitrine très volumineuse. Je suis passée d’un 90C à un 105G avant d’accoucher. Actuellement je ne saurait dire mais bien plus. De bons melons charentais… leur taille n’aide absolument pas à la mise au sein, pour la placer, pour ne pas l’écraser et ne pas l’empêcher de respirer …

Son 3eme jour nous avons fait de nouveaux essais le matin avec le personnel médical. Totalement infructueux. Et plus rien ne sortait de mes seins, manuellement ou au tire lait.
la pédiatre fait sa visite du 3eme jour, tout est Ok pour elle, mais elle confirme que sa succion n’est pas bonne, trop serrée, elle pince fort. Son poids s’est stabilisé, +20g, mais grâce au substrat et ce que j’ai pu tirer.

mes seins ont commencé à se tendres, je me suis dit ouf, enfin la montée de lait, ca va se résoudre.
Sauf que rien ne sort, et personne ne semble pouvoir m’aider. On a essayé la douche chaude, la technique du verre d’eau chaude, le tire lait avec un lange d’eau chaude. Pas de lait et des seins complètements engorgés, très douloureux et durs. Ils m’ont dit d’arrêter d’essayer le tire lait, de masser pour faire sortir. Pas de mise au sein… et en même temps j’ai peur maintenant de la douleur …

ils m’ont donné de l’ocytocine. Ça ne marche pas non plus. On est au matin du 4eme jour.
Elle prend maintenant des biberons de protéines de vache qu’elle accepte mieux que le substrat, elle va bien. Mais pas moi.

Je souffre, physiquement et moralement. Ce n’était pas l’accouchement que je souhaitais et maintenant je n’arrive pas non plus à l’allaiter.
je n’avais pas une conviction sans faille de l’allaiter. Je voulais surtout ce qui me semblait le mieux pour elle. Je me dis qu’il est un peu tôt pour abandonner mais que l’acharnement et mon état n’est pas non plus préférable.
la douleur de la césarienne n’a évidemment pas aidé. Très compliqué de bouger, de bien me positionner, mais j’ai donné mon maximum.

actuellement on me dit que ça arrive, certaines n’ont pas de lait, moi ça veut pas sortir, c’est la vie. On me dit qu’ils font tout pour m’aider mais … ça marche pas.

j’attends mon injection d’ocytocine. « Ça devrait aider à faire sortir le lait »
Après des heures à en pleurer, Je pense à tous les avantages de l’allaitement au biberon … et commence à me résigner.

peut être qu’à la lecture de ma courte aventure ( en un long récit, mes excuses) quelqu’un pourrait me conseiller ou m’aider d’une façon ou d’une autre, à débloquer la situation de cet allaitement.

merci par avance.
Je pense que l'accouchement ça joue beaucoup. Tout ce qui s'est passé n'est en aucun cas de ta faute. Tu n'as rien fait de mal ni pour l'accouchement ni pour l'allaitement.
Ton bébé à bu plus que ce que tu imagines aux premieres tétee sinon il aurait perdu beaucoup plus de poids. T'as tout très bien fait.

Pour les seins très volumineux, perso j'étais obligé de tenir le sein en l'applatissant entre le pouce et les autres doigts. Une des puéricultrice de la mater m'avait expliqué. Elle comparaît le sein à un cheese burger pour le bébé.

Après je suppose que tu as déjà entendu : être le plus détendue possible, être le plus reposé possible, faire Tétée bébé autant que possible même après le complément de lait.
Tire lait (de qualité hospitalière) et ou expression manuelle pour éviter les engorgements. Pour le tire lait le mieux c'est de ne pas regarder, se détendre et imaginer que c'est le bébé qui tête. Surtout ne pas se comparer avec d'autre non plus.
Le tire-lait ne présage pas du tout de se que le bébé tête réellement. Il est possible que tu sois peu réceptive au tire lait malheureusement.

Je sais que c'est bien plus facile à dire qu'à faire. Trouver du temps pour tirer du lait avec un nouveau né c'est très dur. Sur la multitudes de conseils, en faite y'a pas de bonnes ou de mauvaises façons de faire, tu fais comme toi tu sens, ce qui te parle.

Le lait est bien là et il est bien nourrissant.
 
Je vous remercie beaucoup pour vos réponses et vos précieux conseils. Nous allons essayer avec tout ça une mise au sein cette après-midi en peau à peau. Nous sommes toujours à la clinique, alors nous allons essayer de se mettre dans des conditions confortables et intimes malgré tout.
Je vous fais un retour par la suite.
 
Bonjour @Elisabeth&jade .
Déjà, je t'envoie de gros câlins car tu as eu un accouchement éprouvant et des débuts tout aussi difficiles. :calin:
On ne peut que comprendre que tu penses à stopper là cet allaitement qui te donne tant de difficultés.

Après une césarienne, en effet la montée de lait peut être plus longue à arriver et les bébés peuvent aussi être un peu plus "sonnés", avoir plus de mal à "démarrer".
Une rétention placentaire (un morceau de placenta qui reste dans l'utérus) peut aussi impacter la production. C'est peut être ce qui s'est passé? La rétention placentaire peut faire saigner.

C'est la première fois que j'entends parler d'ocytocine pour démarrer une lactation.

Pour ce qui est de l'expression du lait, je cherche des vidéos qui seront probablement plus parlantes que de longs discours.
Bonjour,
Encore merci pour tous ces conseils et supports d’aide.

nous avons écarté la rétention placentaire car a J+3, je n’avais déjà presque plus de saignements.

Nous avons fait cette après-midi une nouvelle tentative de mise en au sein avec l’aide du personnel hospitalier.
en amont, nous avons essayé de décongestionner un peu en massant les œdèmes très importants et en essayant d’exprimer un peu de lait. Nous avions réussi à obtenir quelques goutes.
avec pas mal de difficultés, pour moi, pour ma fille, nous avons pu lui faire téter un peu chaque sein et elle a réussi à faire sortir un peu de lait de chaque sein. ( avec des bout de seins afin de diminuer la douleur ).

Une vrai victoire, en soit, par rapport à précédemment.

j’ai cependant pris la décision d’arrêter d’allaiter et de passer exclusivement aux biberons.
je sais que je vais souffrir le temps que mes seins stoppent la montée de lait et drainent les œdèmes. Mais je devais prendre cette décisions pour notre bien être à tous les trois.

la mise au sein la met dans un état que nous ne pouvons, mon compagnon et moi-même supporter plus longtemps. Ses pleurs, sa détresse de ne pouvoir avoir le lait qu’elle sent, avoir du mal à la calmer avant et pendant la tétée afin que ça ce passe bien.
pour réaliser cette dernière tétée, nous avions été obligé de lui donner du lait au biberon pour la calmer car rien que de la mettre sur moi avait déclenché une frénésie et crise de larme.
De mon côté, je souffre physiquement quand elle prend, même avec les bouts de seins. Et tout en étant encore sous antalgiques assez forts. Je souffre psychologiquement de ne pas y arriver, de la voir se débattre et pleurer.
Mon compagnon, d’un soutient sans faille, souffre aussi de nous voir dans cet état l’une et l’autre.
je pense être arrivée au bout de cette expérience et ne souhaite pas rentrer dans l’acharnement. Je suis sûre qu’avec de la patience, de l’aide, et de la sérénité nous pourrions y arriver mais je ne me sens pas la force de parcourir le chemin qu’il reste jusqu’à un allaitement serein de qualité pour tous. Et je ne peux plus voir ma fille dans cet état.
les bénéfices de cet allaitement ne font plus le poids face aux difficultés à surmonter.
De plus, n’étant ni sereine ni bien, je ne souhaite pas lui transmettre mon stress et ma détresse dans mon lait à chaque tétée.

Nous sortirons, si tout est ok, ce matin de la clinique pour enfin rentrer chez nous. Nous avons hâte de commencer cette nouvelle vie tous les trois.

Merci encore
 
Je pense que l'accouchement ça joue beaucoup. Tout ce qui s'est passé n'est en aucun cas de ta faute. Tu n'as rien fait de mal ni pour l'accouchement ni pour l'allaitement.
Ton bébé à bu plus que ce que tu imagines aux premieres tétee sinon il aurait perdu beaucoup plus de poids. T'as tout très bien fait.

Pour les seins très volumineux, perso j'étais obligé de tenir le sein en l'applatissant entre le pouce et les autres doigts. Une des puéricultrice de la mater m'avait expliqué. Elle comparaît le sein à un cheese burger pour le bébé.

Après je suppose que tu as déjà entendu : être le plus détendue possible, être le plus reposé possible, faire Tétée bébé autant que possible même après le complément de lait.
Tire lait (de qualité hospitalière) et ou expression manuelle pour éviter les engorgements. Pour le tire lait le mieux c'est de ne pas regarder, se détendre et imaginer que c'est le bébé qui tête. Surtout ne pas se comparer avec d'autre non plus.
Le tire-lait ne présage pas du tout de se que le bébé tête réellement. Il est possible que tu sois peu réceptive au tire lait malheureusement.

Je sais que c'est bien plus facile à dire qu'à faire. Trouver du temps pour tirer du lait avec un nouveau né c'est très dur. Sur la multitudes de conseils, en faite y'a pas de bonnes ou de mauvaises façons de faire, tu fais comme toi tu sens, ce qui te parle.

Le lait est bien là et il est bien nourrissant.
Merci beaucoup pour cette réponse si bienveillante et réconfortante.

comme expliqué dans ma réponse à Tatian, je vais arrêter l’allaitement. C’est la voie à suivre qui me semble la plus adaptée dans notre situation. Celle qui va nous permettre de démarrer une vie à trois dans de de bonnes conditions.
 

Liha

Montée de lait
Merci beaucoup pour cette réponse si bienveillante et réconfortante.

comme expliqué dans ma réponse à Tatian, je vais arrêter l’allaitement. C’est la voie à suivre qui me semble la plus adaptée dans notre situation. Celle qui va nous permettre de démarrer une vie à trois dans de de bonnes conditions.
Personnellement je pense que l'allaitement exclusif au sein ou le 100 % lait artificiel, ou du mixte : c'est très bien. Je pense qu'il y a des avantages et des inconvénients dans tous les cas. Chaque maman fait comme elle veut, comme elle sent et elle a raison. Donc tu as raison

Après malheureusement on est pas hyper bien informé sur l'allaitement, il y a beaucoup de fausses idées, les femmes ne sont pas très bien accompagnées.

On reçoit des tonnes de recommandations, de conseils, d'injonctions et même des critiques de toutes parts à la naissance d'un enfant. Des fois je prend sur moi mais globalement je fais comme je sens.
 

Tatian@

Modératrice
Membre de l'équipe
Animatrice LLL
:calin:
Je te souhaite de beaux moments en famille dans la douceur de votre foyer.
Bon à savoir : rien n'est jamais irréversible avec l’allaitement et si, dans un moment, bébé et toi aviez envie de réessayer, c'est possible ;)
 
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