Bonjour,
Avant d'évoquer ma problématique et mes questions, je tiens avant tout à préciser que je ne recherche pas de réponses culpabilisantes ou un discours 100% pro-allaitement, j'ai déjà donné ces derniers jours.
Je vais commencer par expliquer mon petit parcours car j'ai clairement aussi besoin de me confier.
Je suis Maman d'une petite fille, mon premier enfant, qui a 1 mois et quelques jours.
Je souhaitais dès le départ allaiter et me suis équipée, presque à 100% pour, à la maison en achetant bouts de sein, coquillages d'allaitement et j'en passe (de peur de manquer de quelque chose). J'avais même lu un petit bouquin mais maintenant je me dis que je ne m'étais pas assez renseigné et ça j'aurais du le savoir quand à la réunion thématique d'allaitement, 3 semaines avant mon accouchement, ma sage femme nous a parlé de tétées qui pouvaient durer jusqu'à 1h et ce toutes les 2h. Bref! J'ai commencé l'allaitement à la maternité. Pas de soucis en salle d'accouchement pour la première tétée, l'auxiliaire puéricultrice m'aide pour la mise au sein, je suis un peu surprise qu'il faille "pincer" son mamelon mais elle n'est pas intrusive et suffisamment respectueuse. Les jours d'après (j'ai accouché la nuit) ont été une autre paire de manches. J'ai eu droit au discours hyper culpabilisant à 7h du matin parce que je n'avais pas mis ma fille au sein. Le personnel a été très désagréable et pas hyper aidant. Lorsque je demandais de l'aide pour la mise au sein, car j'avais un peu de mal au début, ils me massacraient les mamelons. Bref j'ai fini par me débrouiller toute seule mais c'était chaotique car ma fille n'était pas très tonique et il fallait beaucoup la solliciter pour prendre le sein.
Je suis rentrée chez moi au bout de trois jours, hyper stressée, en pré baby blues, avec plein de questions sur l'allaitement auquel ma sage femme en vacances ne pouvait pas répondre et un sentiment d'incompétence. Après 15 jours d'allaitement et des questions sans réponses à la sage femme qui se déplaçait à mon domicile, j'étais littéralement crevée et j'ai pris cette décision de suspendre mon allaitement en donnant des biberons de lait infantile. L'erreur que j'ai faites sur le coup a été de stopper trop rapidement. Alors certes, je n'avais a priori pas beaucoup de lait car je pense petite montée de lait lié à mon état psychologique, mais j'aurais du alterner.
Aujourd'hui, sur conseils de mon médecin traitant, je ne fais que des "tétées plaisirs" 1 à 2 par jour que je complète en général par un biberon car bien sûr ma fille n'a pas de lait gras. Ou du moins je crois.
J'ai envisagé et envisage toujours plus ou moins de reprendre l'allaitement en partie mais je ne sais pas comment faire ? Est-ce que c'est possible déjà ? Je ne sais pas si je tiendrais physiquement et psychologiquement. J'admire sincèrement les mamans qui y parviennent. Par ailleurs, je me pose des questions car bien sûr ma fille a des coliques et a priori un reflux. Je constate le même comportement au biberon qu'elle avait au sein donc je voudrais surtout que ça soit pour elle un confort.
Avant d'évoquer ma problématique et mes questions, je tiens avant tout à préciser que je ne recherche pas de réponses culpabilisantes ou un discours 100% pro-allaitement, j'ai déjà donné ces derniers jours.
Je vais commencer par expliquer mon petit parcours car j'ai clairement aussi besoin de me confier.
Je suis Maman d'une petite fille, mon premier enfant, qui a 1 mois et quelques jours.
Je souhaitais dès le départ allaiter et me suis équipée, presque à 100% pour, à la maison en achetant bouts de sein, coquillages d'allaitement et j'en passe (de peur de manquer de quelque chose). J'avais même lu un petit bouquin mais maintenant je me dis que je ne m'étais pas assez renseigné et ça j'aurais du le savoir quand à la réunion thématique d'allaitement, 3 semaines avant mon accouchement, ma sage femme nous a parlé de tétées qui pouvaient durer jusqu'à 1h et ce toutes les 2h. Bref! J'ai commencé l'allaitement à la maternité. Pas de soucis en salle d'accouchement pour la première tétée, l'auxiliaire puéricultrice m'aide pour la mise au sein, je suis un peu surprise qu'il faille "pincer" son mamelon mais elle n'est pas intrusive et suffisamment respectueuse. Les jours d'après (j'ai accouché la nuit) ont été une autre paire de manches. J'ai eu droit au discours hyper culpabilisant à 7h du matin parce que je n'avais pas mis ma fille au sein. Le personnel a été très désagréable et pas hyper aidant. Lorsque je demandais de l'aide pour la mise au sein, car j'avais un peu de mal au début, ils me massacraient les mamelons. Bref j'ai fini par me débrouiller toute seule mais c'était chaotique car ma fille n'était pas très tonique et il fallait beaucoup la solliciter pour prendre le sein.
Je suis rentrée chez moi au bout de trois jours, hyper stressée, en pré baby blues, avec plein de questions sur l'allaitement auquel ma sage femme en vacances ne pouvait pas répondre et un sentiment d'incompétence. Après 15 jours d'allaitement et des questions sans réponses à la sage femme qui se déplaçait à mon domicile, j'étais littéralement crevée et j'ai pris cette décision de suspendre mon allaitement en donnant des biberons de lait infantile. L'erreur que j'ai faites sur le coup a été de stopper trop rapidement. Alors certes, je n'avais a priori pas beaucoup de lait car je pense petite montée de lait lié à mon état psychologique, mais j'aurais du alterner.
Aujourd'hui, sur conseils de mon médecin traitant, je ne fais que des "tétées plaisirs" 1 à 2 par jour que je complète en général par un biberon car bien sûr ma fille n'a pas de lait gras. Ou du moins je crois.
J'ai envisagé et envisage toujours plus ou moins de reprendre l'allaitement en partie mais je ne sais pas comment faire ? Est-ce que c'est possible déjà ? Je ne sais pas si je tiendrais physiquement et psychologiquement. J'admire sincèrement les mamans qui y parviennent. Par ailleurs, je me pose des questions car bien sûr ma fille a des coliques et a priori un reflux. Je constate le même comportement au biberon qu'elle avait au sein donc je voudrais surtout que ça soit pour elle un confort.