Bonjour,
Je poste ici en désespoir de trouver des informations fiables sur la toile.
J'ai accouché de ma 2nde fille le 6 janvier 2016, un beau bébé d'aujourd'hui 9 mois, 70 cm et 9,5 kg (elle stagne à porter du 12 mois depuis qu'elle en a 6, à 6 mois, elle faisait 1 kg et 6 cm de moins).
J'ai passé quasi toute ma grossesse hors de chez moi pour cause de travaux d'ampleur pour rénover et ajouter de la surface pour nos enfants. Tout l'été 2015, j'ai fait 150 km par jour en voiture. Moins à partir de septembre mais, comme notre aînée était chez mes parents, je travaillais un peu plus le soir pour m'épargner les bouchons parisiens. J'ai pris 25 kg (c'est ça de ne pas être chez soi et de ne pas tenir son alimentation entre ses mains, merci maman et les vacances en Dordogne). A la Toussaint, on est enfin rentré chez nous, en partie, les travaux n'étant pas terminés. On a récupéré une aile de la maison. Du coup, escaliers pour aller dormir (2 étages) et 50 km par jour pour aller travailler. Mi-novembre, ma SF a trouvé mon col mou et bébé bas, elle voulait m'arrêter. Il me restait 15 jours (mon employeur "donne" le congé pathologique), j'ai demandé le télétravail.
J'ai passé le reste de ma grossesse fatiguée, ayant du mal à me mouvoir et à essayer de retourner bébé qui était en siège depuis le début. J'ai finalement accouché avec 20 jours d'avance, en siège par voie basse sans une éraillure (mais avec la péridurale, obligée si jamais ils devaient me césariser).
Mais voilà, depuis, j'ai une forte relaxation musculaire et des tendons. J'ai fait une entorse du genou droit dans le mois suivant l'accouchement, sans savoir comment. 15 jours après, on venait de m'enlever l'attelle, je me suis foulé la cheville gauche (ligaments interne et externe). Je ne peux plus ouvrir une boîte de cornichons neuve (alors qu'initialement, je suis bien musclée et ai une bonne poigne).
Et depuis, j'ai fréquemment des petites douleurs aux genoux et chevilles. Le corps médical (généraliste, kiné, SF, osthéo, orthopédiste...) me dit que l'impact hormonal de l'allaitement pourrait jouer et qu'il faut attendre non seulement mon retour de couche mais aussi la fin de mon allaitement pour faire un bilan.
Je l'allaite exclusivement depuis sa naissance, elle est diversifiée et adore la nourriture solide tout comme le lait de sa maman.
J'avais arrêté pour le goûter pour réduire ma lactation avant de reprendre le travail. Cela allait mieux mais la pédiatre de la crèche a demandé que je fournisse un biberon pour le goûter vu le besoin de succion de notre fille (elle n'a pris le biberon que le 2° jour de crèche, jamais avant, jamais avec ses parents ni ses grands-parents). Les tirages sont aléatoires mais quand je tire moins, la crèche ajoute un yaourt et notre fille n'est pas perturbée pour autant. Je me dis que c'est ma fille qui fait ses commandes de quantité à mon corps. Mon corps allait mieux, même si mon tonus musculaire original n'est pas encore revenu (toujours du mal avec les conserves).
Et là, depuis vendredi soir, ça recommence : mes chevilles sont raides, mes poignets me font mal (c'est nouveau), le muscle qui va du poignet à la base du petit doigt me fait souffrir, mes genoux "grincent"... Prendre ma filles dans mes mains pour la porter me fait mal.
Je m'inquiète, je songe encore à la sevrer mais je le prendrais mal si cela ne résous pas la situation. Je n'ai plus que 2-3 mois à l'allaiter pour qu'elle ait 12 mois (j'ai allaité sa sœur aînée 12 mois) et puisse prendre du lait entier ou demi écrémé ou du lait de suite jusqu'à ses 3 ans, je ne sais plus.
Bref, je balance, j'aimerai savoir si d'autres ont eu les mêmes soucis, un retour d'expérience ou peuvent me conseiller un praticien sur la RP parce ça me mine, une fois encore, de songer à sevrer ma fille...
Merci par avance de vos réponses,
(PS : j'ai fait une échographie de la thyroîde, rien à signaler)
Je poste ici en désespoir de trouver des informations fiables sur la toile.
J'ai accouché de ma 2nde fille le 6 janvier 2016, un beau bébé d'aujourd'hui 9 mois, 70 cm et 9,5 kg (elle stagne à porter du 12 mois depuis qu'elle en a 6, à 6 mois, elle faisait 1 kg et 6 cm de moins).
J'ai passé quasi toute ma grossesse hors de chez moi pour cause de travaux d'ampleur pour rénover et ajouter de la surface pour nos enfants. Tout l'été 2015, j'ai fait 150 km par jour en voiture. Moins à partir de septembre mais, comme notre aînée était chez mes parents, je travaillais un peu plus le soir pour m'épargner les bouchons parisiens. J'ai pris 25 kg (c'est ça de ne pas être chez soi et de ne pas tenir son alimentation entre ses mains, merci maman et les vacances en Dordogne). A la Toussaint, on est enfin rentré chez nous, en partie, les travaux n'étant pas terminés. On a récupéré une aile de la maison. Du coup, escaliers pour aller dormir (2 étages) et 50 km par jour pour aller travailler. Mi-novembre, ma SF a trouvé mon col mou et bébé bas, elle voulait m'arrêter. Il me restait 15 jours (mon employeur "donne" le congé pathologique), j'ai demandé le télétravail.
J'ai passé le reste de ma grossesse fatiguée, ayant du mal à me mouvoir et à essayer de retourner bébé qui était en siège depuis le début. J'ai finalement accouché avec 20 jours d'avance, en siège par voie basse sans une éraillure (mais avec la péridurale, obligée si jamais ils devaient me césariser).
Mais voilà, depuis, j'ai une forte relaxation musculaire et des tendons. J'ai fait une entorse du genou droit dans le mois suivant l'accouchement, sans savoir comment. 15 jours après, on venait de m'enlever l'attelle, je me suis foulé la cheville gauche (ligaments interne et externe). Je ne peux plus ouvrir une boîte de cornichons neuve (alors qu'initialement, je suis bien musclée et ai une bonne poigne).
Et depuis, j'ai fréquemment des petites douleurs aux genoux et chevilles. Le corps médical (généraliste, kiné, SF, osthéo, orthopédiste...) me dit que l'impact hormonal de l'allaitement pourrait jouer et qu'il faut attendre non seulement mon retour de couche mais aussi la fin de mon allaitement pour faire un bilan.
Je l'allaite exclusivement depuis sa naissance, elle est diversifiée et adore la nourriture solide tout comme le lait de sa maman.
J'avais arrêté pour le goûter pour réduire ma lactation avant de reprendre le travail. Cela allait mieux mais la pédiatre de la crèche a demandé que je fournisse un biberon pour le goûter vu le besoin de succion de notre fille (elle n'a pris le biberon que le 2° jour de crèche, jamais avant, jamais avec ses parents ni ses grands-parents). Les tirages sont aléatoires mais quand je tire moins, la crèche ajoute un yaourt et notre fille n'est pas perturbée pour autant. Je me dis que c'est ma fille qui fait ses commandes de quantité à mon corps. Mon corps allait mieux, même si mon tonus musculaire original n'est pas encore revenu (toujours du mal avec les conserves).
Et là, depuis vendredi soir, ça recommence : mes chevilles sont raides, mes poignets me font mal (c'est nouveau), le muscle qui va du poignet à la base du petit doigt me fait souffrir, mes genoux "grincent"... Prendre ma filles dans mes mains pour la porter me fait mal.
Je m'inquiète, je songe encore à la sevrer mais je le prendrais mal si cela ne résous pas la situation. Je n'ai plus que 2-3 mois à l'allaiter pour qu'elle ait 12 mois (j'ai allaité sa sœur aînée 12 mois) et puisse prendre du lait entier ou demi écrémé ou du lait de suite jusqu'à ses 3 ans, je ne sais plus.
Bref, je balance, j'aimerai savoir si d'autres ont eu les mêmes soucis, un retour d'expérience ou peuvent me conseiller un praticien sur la RP parce ça me mine, une fois encore, de songer à sevrer ma fille...
Merci par avance de vos réponses,
(PS : j'ai fait une échographie de la thyroîde, rien à signaler)