Salut à toutes,
Comme vous le savez peut-être, le papa-psy de Nounours me tanne depuis plus d’un an pour que je sèvre l’enfant. Il est persuadé que ça nuit à son développement (je sais… ). Étant donné que le convaincre du contraire est impossible (j’ai tout dit, tout tenté...) et que l’ambiance ici est souvent ultra pourrie à cause de ce flip sur le sein, pour sortir du conflit qui nuit aussi à Nounours j’ai promis en fin d’été dernier que le sevrage serait fait avant fin 2019. Donc j’ouvre ce sujet pour recueillir des avis, témoignages, fleurs & pralines sur comment procéder quand le sevrage est contraint et que le bambin a déjà trois ans. J’espère aussi que ça m’aidera à bien vivre la chose moi aussi, sans trop en vouloir au papa (très important).
Bref.
Actuellement et depuis juillet-août, Nounours n’a qu’une seule et unique tétée par 24 heures : le soir, à l’endormissement. Si d’aventure il en réclame en dehors de ce moment (très rare), je refuse et il l’accepte (très) bien. La tétée n’est donc plus centrale dans notre relation et dans sa vie depuis un moment. Pour autant, on ne loupe jamais cette tétée-là…
Aujourd’hui, j’envisage un sevrage total durant les vacances de Noël car :
- C’est le plus tard possible dans l’année .
- Le reste du temps il y a l’école qui cause pas mal de pression et d’angoisse donc ça va bien, quoi ^^.
- Ça permet d’associer avec une période par ailleurs heureuse et réconfortante (Nounours adore les vacances, Noël, aller voir ses GP maternels à cette époque, etc.)
- S’il s’endort pas à cause de ça il pourra dormir le matin .
Sauf que je ne sais pas comment faire maintenant : toutes les tétées précédentes ont sauté progressivement (80 % lui et 20 % nous), mais virer la dernière pour qu’il ne reste plus rien ça fait drôle…
J’ai initié une étape intermédiaire depuis récemment : si la tétée du soir ne mène pas à l’endormissement et qu’il se relève (grr), je n’accepte pas de redonner le sein. Du coup ces soirs-là il s’endort juste avec câlins, et ça va. Ça permet déjà de déconnecter un peu tétée et endormissement nocturne et de voir que ça peut se passer paisiblement.
Des idées pour la suite, pour y aller progressivement d'une façon ou d'une autre ? Celles qui ont minuté les dernières tétées, par exemple, avec quoi (musique, sablier ?) l’avez-vous fait ? Et rétrospectivement, trouvez-vous que c’était une bonne idée ?
Puis comment parler de la fin totale de l’allaitement ? Vu leur notion du temps, je ne me vois pas expliquer maintenant ce qui va se passer dans deux mois. Vous feriez quoi ?
Enfin côté raisons, quel discours tenir à l'enfant qui n’accuse pas le papa ? Simplement axer sur le fait que Nounours est capable de se passer de cette tétée car il grandit ?
J’ai vu passer le livre On a volé mes tétés, mais je ne sais pas… J’ai peur que ça lui donne envie de téter ^^ (et à moi de pleurer +++ durant la lecture).
Je suis un peu perdue car vulnérable étant donné que c’est une grande étape pour moi aussi.
Merci
Comme vous le savez peut-être, le papa-psy de Nounours me tanne depuis plus d’un an pour que je sèvre l’enfant. Il est persuadé que ça nuit à son développement (je sais… ). Étant donné que le convaincre du contraire est impossible (j’ai tout dit, tout tenté...) et que l’ambiance ici est souvent ultra pourrie à cause de ce flip sur le sein, pour sortir du conflit qui nuit aussi à Nounours j’ai promis en fin d’été dernier que le sevrage serait fait avant fin 2019. Donc j’ouvre ce sujet pour recueillir des avis, témoignages, fleurs & pralines sur comment procéder quand le sevrage est contraint et que le bambin a déjà trois ans. J’espère aussi que ça m’aidera à bien vivre la chose moi aussi, sans trop en vouloir au papa (très important).
Bref.
Actuellement et depuis juillet-août, Nounours n’a qu’une seule et unique tétée par 24 heures : le soir, à l’endormissement. Si d’aventure il en réclame en dehors de ce moment (très rare), je refuse et il l’accepte (très) bien. La tétée n’est donc plus centrale dans notre relation et dans sa vie depuis un moment. Pour autant, on ne loupe jamais cette tétée-là…
Aujourd’hui, j’envisage un sevrage total durant les vacances de Noël car :
- C’est le plus tard possible dans l’année .
- Le reste du temps il y a l’école qui cause pas mal de pression et d’angoisse donc ça va bien, quoi ^^.
- Ça permet d’associer avec une période par ailleurs heureuse et réconfortante (Nounours adore les vacances, Noël, aller voir ses GP maternels à cette époque, etc.)
- S’il s’endort pas à cause de ça il pourra dormir le matin .
Sauf que je ne sais pas comment faire maintenant : toutes les tétées précédentes ont sauté progressivement (80 % lui et 20 % nous), mais virer la dernière pour qu’il ne reste plus rien ça fait drôle…
J’ai initié une étape intermédiaire depuis récemment : si la tétée du soir ne mène pas à l’endormissement et qu’il se relève (grr), je n’accepte pas de redonner le sein. Du coup ces soirs-là il s’endort juste avec câlins, et ça va. Ça permet déjà de déconnecter un peu tétée et endormissement nocturne et de voir que ça peut se passer paisiblement.
Des idées pour la suite, pour y aller progressivement d'une façon ou d'une autre ? Celles qui ont minuté les dernières tétées, par exemple, avec quoi (musique, sablier ?) l’avez-vous fait ? Et rétrospectivement, trouvez-vous que c’était une bonne idée ?
Puis comment parler de la fin totale de l’allaitement ? Vu leur notion du temps, je ne me vois pas expliquer maintenant ce qui va se passer dans deux mois. Vous feriez quoi ?
Enfin côté raisons, quel discours tenir à l'enfant qui n’accuse pas le papa ? Simplement axer sur le fait que Nounours est capable de se passer de cette tétée car il grandit ?
J’ai vu passer le livre On a volé mes tétés, mais je ne sais pas… J’ai peur que ça lui donne envie de téter ^^ (et à moi de pleurer +++ durant la lecture).
Je suis un peu perdue car vulnérable étant donné que c’est une grande étape pour moi aussi.
Merci