Bonjour, aujourd'hui post peu joyeux.
Dans différentes discussions, j'ai évoqué mes problèmes : crevasses dès le 1e jour de mon petit bonhomme, doutes quant à sa prise de poids, sa position au sein, mes différents problèmes avec mon tire-lait.
Mais là c'est tout autre chose. J'ai l'impression que nous, mon mari et moi, sommes abandonnés. Mon fils ne dort plus du tout le nuit depuis mercredi. Il s'énerve à partir de 21h et impossible de le faire dormir avant 5-6h du matin. Dormir en même temps que bébé ? Parfois je suis tellement crevée que le sommeil me fuit. Là depuis samedi bébé n'a pas fait de selles, il est ronchon et on sent qu'il essaie de pousser.
Alors j'appelle la puéricultrice qui suit son retour à la maison. Verdict : j'ai rendez-vous avec mon médecin mercredi, soit j'essaie de passer avant soit j'attends mercredi. Il n'y a rien qu'elle puisse faire.
J'ai tenté les massages, le Pédalo, recroquevillé ses jambes, la position sur l'avant bras... rien ne marche quand il est en pleurs. Même le fait de le porter, il pousse sur ses mains pour se redresser, agrippe mes cheveux, me griffe... la seule solution que j'ai trouvé : nous allonger tous les deux sur mon canapé, sa tétine dans la bouche, collé contre moi pour pas qu'il me fasse mal (en agrippant ou en griffant).
Donc sentiment d'abandon, grosse fatigue et pensées peu joyeuses. On me dira que c'est la chute des hormones, que c'est normal de se sentir dépassée par les pleurs de son bébé. Mais quand les professionnels de santé ne prennent pas en compte le fait que tu leur dit "les cris sont stridents, il a vraiment mal c'est pas juste une envie de ma ger" et ben personne ne t'écoute.
Je suis tellement fatiguée, j'ai mal partout (et surtout au sein) j'ai meme dû lui donner un biberon de LM.
Dans un sens c'est bien, ça avance un peu la mise en place des biberons et j'ai des copains qui viennent m'offrir le week-end prochain un chauffe biberon, mais je pensais commencer l'insertion des biberons d'ici 2 semaines pas avant.
Mais voilà, c'était le coup de blues de la journée. Merci de m'avoir lu.
Dans différentes discussions, j'ai évoqué mes problèmes : crevasses dès le 1e jour de mon petit bonhomme, doutes quant à sa prise de poids, sa position au sein, mes différents problèmes avec mon tire-lait.
Mais là c'est tout autre chose. J'ai l'impression que nous, mon mari et moi, sommes abandonnés. Mon fils ne dort plus du tout le nuit depuis mercredi. Il s'énerve à partir de 21h et impossible de le faire dormir avant 5-6h du matin. Dormir en même temps que bébé ? Parfois je suis tellement crevée que le sommeil me fuit. Là depuis samedi bébé n'a pas fait de selles, il est ronchon et on sent qu'il essaie de pousser.
Alors j'appelle la puéricultrice qui suit son retour à la maison. Verdict : j'ai rendez-vous avec mon médecin mercredi, soit j'essaie de passer avant soit j'attends mercredi. Il n'y a rien qu'elle puisse faire.
J'ai tenté les massages, le Pédalo, recroquevillé ses jambes, la position sur l'avant bras... rien ne marche quand il est en pleurs. Même le fait de le porter, il pousse sur ses mains pour se redresser, agrippe mes cheveux, me griffe... la seule solution que j'ai trouvé : nous allonger tous les deux sur mon canapé, sa tétine dans la bouche, collé contre moi pour pas qu'il me fasse mal (en agrippant ou en griffant).
Donc sentiment d'abandon, grosse fatigue et pensées peu joyeuses. On me dira que c'est la chute des hormones, que c'est normal de se sentir dépassée par les pleurs de son bébé. Mais quand les professionnels de santé ne prennent pas en compte le fait que tu leur dit "les cris sont stridents, il a vraiment mal c'est pas juste une envie de ma ger" et ben personne ne t'écoute.
Je suis tellement fatiguée, j'ai mal partout (et surtout au sein) j'ai meme dû lui donner un biberon de LM.
Dans un sens c'est bien, ça avance un peu la mise en place des biberons et j'ai des copains qui viennent m'offrir le week-end prochain un chauffe biberon, mais je pensais commencer l'insertion des biberons d'ici 2 semaines pas avant.
Mais voilà, c'était le coup de blues de la journée. Merci de m'avoir lu.