Bonjour,
Je suis le papa. La maman, institutrice, a repris le travail il y a 1 mois, après 14 mois d'arrêt et les 10 mois de notre garçons. Mais la reprise est très compliquée : 1 élève très perturbant / classe intenable, qui s'ajoute à la séparation avec le bébé => dépression. D'où les questions liées à l'allaitement et à l'incompatibilité éventuelle avec médicaments ou plantes.
La maman :
- a déjà pris des anti-dépresseurs il y a 2 ans à la rentrée scolaire,
- est suivie par une psy depuis quelques années,
- il y a 20 jours :
* aurait démarré un traitement d'anti-dépresseurs si il n'y avait pas l'allaitement, mais a clairement exprimé sa volonté de poursuivre l'allaitement, tant qu'elle peut tenir sans médicament,
* a démarré une cure de millepertuis de 10 jours, qui lui a fait du bien,
- il y a quelques jours : a fait une forte rechute, sans espoir de remonter la pente toute seule.
Le bébé :
- va très bien !
- depuis la rentrée en crèche début septembre :
* prend une tétée de 30 minutes le matin,
* se jette sur la maman pour une tétée en fin de journée !
La maman et le bébé kiffent ces 2 moments de la journée !!!
Le papa est trop fière de la maman et du bébé !
Hier soir : on a appelé SOS allaitement, conseils et discussions vraiment intéressants, mais pas de solution miracle.
Après l'appel, discussion entre nous =>
La maman :
- ne souhaite plus prendre de millepertuis, par crainte d'éventuels effets nocifs pour le bébé en passant dans le lait,
- ne veut pas s'arrêter de travailler, par crainte que ses difficultés à "tenir" sa classe ne soient pires à son retour,
- attend avec impatience les vacances scolaires dans 2 semaines,
- envisage un sevrage de l'allaitement pour prendre des anti-dépresseurs,
- est perdue et culpabilise dans tous les sens par rapport à l'allaitement (arrêt ou poursuite), ce qui n'arrange rien à la situation,
- a besoin de soutien moral parce qu'elle n'est absolument pas sûre de ses choix.
Le papa :
- la supplie de s'arrêter de travailler, au moins 1 semaine (conseil aussi d'une collègue et de SOS allaitement), mais rien n'y fait,
- est partagé entre la conseiller de :
* poursuivre l'allaitement + trouver des solutions concrètes, mais, à part le millepertuis, la décharger de tout ce qu'il peut, discuter, l'inciter à voir des copines, commence à manquer d'idées...
* démarrer le sevrage pour envisager la prise des médicaments dans 2 semaines, mais a peur que ça amène des nouveaux problèmes : culpabilité parce que le bébé va continuer de réclamer + 2 semaines à tenir pour la maman avant le démarrage du traitement + arrêt du bénéfice de l'allaitement pour le moral...
Comme vous pouvez le lire, je suis moi-même un peu perdu et j'ai tellement hâte que la maman retrouve la patate !!! C'est pourquoi je vous remercie d'avance pour votre aide !
Je suis le papa. La maman, institutrice, a repris le travail il y a 1 mois, après 14 mois d'arrêt et les 10 mois de notre garçons. Mais la reprise est très compliquée : 1 élève très perturbant / classe intenable, qui s'ajoute à la séparation avec le bébé => dépression. D'où les questions liées à l'allaitement et à l'incompatibilité éventuelle avec médicaments ou plantes.
La maman :
- a déjà pris des anti-dépresseurs il y a 2 ans à la rentrée scolaire,
- est suivie par une psy depuis quelques années,
- il y a 20 jours :
* aurait démarré un traitement d'anti-dépresseurs si il n'y avait pas l'allaitement, mais a clairement exprimé sa volonté de poursuivre l'allaitement, tant qu'elle peut tenir sans médicament,
* a démarré une cure de millepertuis de 10 jours, qui lui a fait du bien,
- il y a quelques jours : a fait une forte rechute, sans espoir de remonter la pente toute seule.
Le bébé :
- va très bien !
- depuis la rentrée en crèche début septembre :
* prend une tétée de 30 minutes le matin,
* se jette sur la maman pour une tétée en fin de journée !
La maman et le bébé kiffent ces 2 moments de la journée !!!
Le papa est trop fière de la maman et du bébé !
Hier soir : on a appelé SOS allaitement, conseils et discussions vraiment intéressants, mais pas de solution miracle.
Après l'appel, discussion entre nous =>
La maman :
- ne souhaite plus prendre de millepertuis, par crainte d'éventuels effets nocifs pour le bébé en passant dans le lait,
- ne veut pas s'arrêter de travailler, par crainte que ses difficultés à "tenir" sa classe ne soient pires à son retour,
- attend avec impatience les vacances scolaires dans 2 semaines,
- envisage un sevrage de l'allaitement pour prendre des anti-dépresseurs,
- est perdue et culpabilise dans tous les sens par rapport à l'allaitement (arrêt ou poursuite), ce qui n'arrange rien à la situation,
- a besoin de soutien moral parce qu'elle n'est absolument pas sûre de ses choix.
Le papa :
- la supplie de s'arrêter de travailler, au moins 1 semaine (conseil aussi d'une collègue et de SOS allaitement), mais rien n'y fait,
- est partagé entre la conseiller de :
* poursuivre l'allaitement + trouver des solutions concrètes, mais, à part le millepertuis, la décharger de tout ce qu'il peut, discuter, l'inciter à voir des copines, commence à manquer d'idées...
* démarrer le sevrage pour envisager la prise des médicaments dans 2 semaines, mais a peur que ça amène des nouveaux problèmes : culpabilité parce que le bébé va continuer de réclamer + 2 semaines à tenir pour la maman avant le démarrage du traitement + arrêt du bénéfice de l'allaitement pour le moral...
Comme vous pouvez le lire, je suis moi-même un peu perdu et j'ai tellement hâte que la maman retrouve la patate !!! C'est pourquoi je vous remercie d'avance pour votre aide !