HéloïseHeloise
Colostrum
Bonjour à toutes,
Nouvelle maman d’un petit Constantin né le 26/01 (bientôt 3 semaines), je suis à la recherche de solutions pour expliquer les phases de hurlements de mon bébé, qui me laissent totalement impuissante.
Constantin est un bébé né presque à terme, après un accouchement physio qui s’est très bien déroulé. Un peu rapide sur la fin, ce qui a occasioné une ecchymose au visage de mon fils, heureusement disparue en 48h.
Il a eu du mal téter dès sa naissance, et impossible de le mettre au sein sans l’aide des puéricultrices / sage femmes jusqu’a J3. C’était un bébé qui hurlait énormément (non stop pendant des heures) avant de s’endormir d’épuisement. Très difficile à vivre pour de jeunes parents, nous étions totalement dépassés avec mon mari.
Comme la situation ne semblait pas s’améliorer à J3, et que Constantin hurlait d’épuisement, j’ai demandé à recevoir de l’aide d’une consultante en lactation qui m’a conseillé de lui donner des compléments afin d’apaiser sa faim, de tirer mon lait pour stimuler la lactation et de prendre rdv avec une chiro afin de régler son problème de succion.
Ma montée de lait est finalement arrivée « tardivement » à J6, et à partir de cette date j’ai stoppé les compléments pour lui donner le sein exclusivement.
Comme sa succion n’était toujours pas efficace, j’ai eu un canal bouché entre J7 et J8 ce qui n’a sûrement pas aidé Constantin a bien prendre le sein.
Nous avons consulté une chiro à J9 puis J14, ce qui a grandement aidé pour avoir une meilleure prise au sein (avant avec BDS et maintenant sans !). J’ai également testé l’éviction des PLV et l’allaitement en BN afin de limiter les regurgitations de Constantin qui semblaient le gêner, et grâce à tout cela nous sommes passés de 7h de hurlements non stop à quelques heures par jour.
Toutefois, je constate qu’il continue à être gêné après chaque tétée, qu’il tete efficacement quelques minutes avant de passer 30 minutes à tetouiller (fort besoin de succion ?), qu’il lui arrive très souvent d’hurler apres s’être décroché du sein, et qu’il continue à être gêné sur le plan digestif (il se « racle la gorge » après chaque tétée, surtout la nuit), et il est impossible de le poser, nous nous relayons pour le porter avec mon mari jour et nuit.
Je suis donc un peu perdue, je continue a lui proposer le sein des qu’il s’agite, mais compte tenu de l’inefficacité de certaines tétées (surtout dans l’après midi et le soir, ce qui semble logique compte tenu des rythmes des nourrissonje me demande si ce n’est pas un cercle vicieux dans lequel téter apaisé son œsophage mais remplir son estomac le fait souffrir.
En termes de prise de poids, celle-ci n’est pas optimum (15g/jour) donc j’essaye de presser mon sein pour l’encourager à prendre du lait gras en fin de tétée, lorsqu’il commence à téter dans le vide.
Je crois à l’allaitement et ses bienfaits, je souhaite allaiter mon fils plus que tout, mais j’avoue qu’entre les hurlements incessants et le sentiment d’avoir tout essayé sans succès, mes principes sont en train de flancher devant la solution du biberon (même si je crains que ce soit pire compte tenu de sa gêne digestive...).
Si par hasard certaines d’entre vous se retrouvent dans mon récit, et ont des pistes à me proposer je suis tout ouïe !
Merci d’avoir pris le temps de me lire.
Belle soirée à toutes,
Héloïse
Nouvelle maman d’un petit Constantin né le 26/01 (bientôt 3 semaines), je suis à la recherche de solutions pour expliquer les phases de hurlements de mon bébé, qui me laissent totalement impuissante.
Constantin est un bébé né presque à terme, après un accouchement physio qui s’est très bien déroulé. Un peu rapide sur la fin, ce qui a occasioné une ecchymose au visage de mon fils, heureusement disparue en 48h.
Il a eu du mal téter dès sa naissance, et impossible de le mettre au sein sans l’aide des puéricultrices / sage femmes jusqu’a J3. C’était un bébé qui hurlait énormément (non stop pendant des heures) avant de s’endormir d’épuisement. Très difficile à vivre pour de jeunes parents, nous étions totalement dépassés avec mon mari.
Comme la situation ne semblait pas s’améliorer à J3, et que Constantin hurlait d’épuisement, j’ai demandé à recevoir de l’aide d’une consultante en lactation qui m’a conseillé de lui donner des compléments afin d’apaiser sa faim, de tirer mon lait pour stimuler la lactation et de prendre rdv avec une chiro afin de régler son problème de succion.
Ma montée de lait est finalement arrivée « tardivement » à J6, et à partir de cette date j’ai stoppé les compléments pour lui donner le sein exclusivement.
Comme sa succion n’était toujours pas efficace, j’ai eu un canal bouché entre J7 et J8 ce qui n’a sûrement pas aidé Constantin a bien prendre le sein.
Nous avons consulté une chiro à J9 puis J14, ce qui a grandement aidé pour avoir une meilleure prise au sein (avant avec BDS et maintenant sans !). J’ai également testé l’éviction des PLV et l’allaitement en BN afin de limiter les regurgitations de Constantin qui semblaient le gêner, et grâce à tout cela nous sommes passés de 7h de hurlements non stop à quelques heures par jour.
Toutefois, je constate qu’il continue à être gêné après chaque tétée, qu’il tete efficacement quelques minutes avant de passer 30 minutes à tetouiller (fort besoin de succion ?), qu’il lui arrive très souvent d’hurler apres s’être décroché du sein, et qu’il continue à être gêné sur le plan digestif (il se « racle la gorge » après chaque tétée, surtout la nuit), et il est impossible de le poser, nous nous relayons pour le porter avec mon mari jour et nuit.
Je suis donc un peu perdue, je continue a lui proposer le sein des qu’il s’agite, mais compte tenu de l’inefficacité de certaines tétées (surtout dans l’après midi et le soir, ce qui semble logique compte tenu des rythmes des nourrissonje me demande si ce n’est pas un cercle vicieux dans lequel téter apaisé son œsophage mais remplir son estomac le fait souffrir.
En termes de prise de poids, celle-ci n’est pas optimum (15g/jour) donc j’essaye de presser mon sein pour l’encourager à prendre du lait gras en fin de tétée, lorsqu’il commence à téter dans le vide.
Je crois à l’allaitement et ses bienfaits, je souhaite allaiter mon fils plus que tout, mais j’avoue qu’entre les hurlements incessants et le sentiment d’avoir tout essayé sans succès, mes principes sont en train de flancher devant la solution du biberon (même si je crains que ce soit pire compte tenu de sa gêne digestive...).
Si par hasard certaines d’entre vous se retrouvent dans mon récit, et ont des pistes à me proposer je suis tout ouïe !
Merci d’avoir pris le temps de me lire.
Belle soirée à toutes,
Héloïse