Sophie la girafe
Colostrum
Bonjour à tous... Je suis nouvelle su ce forum.
Je me suis inscrite car un peu désemparée...
En fait le résumé est dans le titre. Là je suis entrain d'écrire à une main, l'autre tenant bébé à mon sein. Il a 20 jours.
Il tète goulûment 5 gorgées, puis pétouille, réconforté d'être au sein, puis s'endort paisiblement au bout de 4 minutes. Si je le laisse ainsi, il peut dormir paisiblement pendant 2h. Mais gare à moi si je m'autorise à le poser dans son confortable Cocoonababy ou dans son petit transat moelleux que j'ai soigneusement choisi pendant ma grossesse... Il manifestera vite son mécontentement par des pleurs au bout de 8 minutes chrono. Du coup, je ne fais plus rien. Pas que je n'apprécie pas "ne rien faire", mais bon... De temps en temps 'faut bien que je me lave, que je plie mon linge, que je fasse mes papiers, que j'aille au frigo pour boire quelque chose... Du coup, je n'ai même plus le temps de manger parfois, "cuisiner" c'est le mot employé quand je fais des pâtes, pas le temps de me lancer dans les recettes de Top Chef.
Petite parenthèse : il est 18h43, je viens de poser bébé dans son transat, juste pour prendre un peu moins de temps pour écrire. Je vous tiens au courant quand il se réveille...
Donc je disais: petit détail encore, j'ai deux autres enfants. Quand ils sont là tous les deux, je suis bien obligée de le laisser pleurer parfois, faute de ne pas pouvoir tout faire. Résultat : je m'occupe de mes enfants, mais stressée. Stressée parce que je culpabilise de laisser bébé pleurer. Alors je leur assène de se dépêcher de s'habiller, de mettre leurs chaussons, de se brosser les dents. Mon stress ne s'apaise qu'une fois bébé repris dans mes bras et quand les pleurs cèssent.
18h47 : bébé s'est réveillé. Rebelotte...
19h10 : j'ai changé sa couche, puis ai donné la douche à son grand frère de 3 ans. Pendant que bébé pleurait pendant bien 15 min. Evidemment, beaucoup de culpabilité en moi...
Suis-je la seule maman?
Pourquoi bébé pleure?
Et que dois-je faire?
En vous remerciant de me lire et de me laisser moins seule dans tout ça...
Sophie.
Je me suis inscrite car un peu désemparée...
En fait le résumé est dans le titre. Là je suis entrain d'écrire à une main, l'autre tenant bébé à mon sein. Il a 20 jours.
Il tète goulûment 5 gorgées, puis pétouille, réconforté d'être au sein, puis s'endort paisiblement au bout de 4 minutes. Si je le laisse ainsi, il peut dormir paisiblement pendant 2h. Mais gare à moi si je m'autorise à le poser dans son confortable Cocoonababy ou dans son petit transat moelleux que j'ai soigneusement choisi pendant ma grossesse... Il manifestera vite son mécontentement par des pleurs au bout de 8 minutes chrono. Du coup, je ne fais plus rien. Pas que je n'apprécie pas "ne rien faire", mais bon... De temps en temps 'faut bien que je me lave, que je plie mon linge, que je fasse mes papiers, que j'aille au frigo pour boire quelque chose... Du coup, je n'ai même plus le temps de manger parfois, "cuisiner" c'est le mot employé quand je fais des pâtes, pas le temps de me lancer dans les recettes de Top Chef.
Petite parenthèse : il est 18h43, je viens de poser bébé dans son transat, juste pour prendre un peu moins de temps pour écrire. Je vous tiens au courant quand il se réveille...
Donc je disais: petit détail encore, j'ai deux autres enfants. Quand ils sont là tous les deux, je suis bien obligée de le laisser pleurer parfois, faute de ne pas pouvoir tout faire. Résultat : je m'occupe de mes enfants, mais stressée. Stressée parce que je culpabilise de laisser bébé pleurer. Alors je leur assène de se dépêcher de s'habiller, de mettre leurs chaussons, de se brosser les dents. Mon stress ne s'apaise qu'une fois bébé repris dans mes bras et quand les pleurs cèssent.
18h47 : bébé s'est réveillé. Rebelotte...
19h10 : j'ai changé sa couche, puis ai donné la douche à son grand frère de 3 ans. Pendant que bébé pleurait pendant bien 15 min. Evidemment, beaucoup de culpabilité en moi...
Suis-je la seule maman?
Pourquoi bébé pleure?
Et que dois-je faire?
En vous remerciant de me lire et de me laisser moins seule dans tout ça...
Sophie.
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