Coucou à toutes,
Ayééé ! Cette fois nous voilà sur le chemin du sevrage mais alors trèèès progressif Je ne suis pas encore prête à un sevrage complet mais par contre je ressens le besoin d'évoluer sur notre pratique de l'allaitement.
Le facteur déclenchant, ça a été cette voisine qui a allaité 2 ans et qui a sevré très brutalement en laissant pleurer sa fille dans son lit, etc... Pas forcément parce qu'elle voulait sevrer (en plus) mais parce que son mari voulait qu'elle arrête. Ça m'a un peu remuée, je n'ai pas envie qu'on en arrive là. Et puis j'ai bien envie de dormir la nuit. Et si on arrive (un jour !) à avoir numérobis, je crois que j'ai besoin de quelques mois (semaines ?) un peu off de cet allaitement qui n'a jamais posé de souci si ce n'est que je n'ai finalement jamais retrouvé mon corps rien que pour moi (un peu d'égoïsme dans ce monde du maternage proximal).
Bref : sevrage progressif en cours !
Première étape actuelle : le sevrage de nuit. Depuis 1 semaine ma luciole (la bien nommée) ne tète plus la nuit. Et ça se passe plutôt bien ! Quand elle se réveille, son père ou moi lui parlons tout doucement, lui proposons de l'eau, lui racontons une histoire et elle se rendort assez vite et bien sereine.
En journée, quand nous sommes ensemble, la tétée de la mi-matinée et celle de la fin d'après-midi disparaissent aussi (de mon fait).
Ce qui nous laisse la tétée du matin, celle de la sieste et celle de la nuit. J'aimerais bien stabiliser ce rythme pendant quelques temps avant de passer à l'étape suivante. Il me reste des questionnements relatifs à la tétée de retrouvailles (après une journée de boulot/crèche) : la garder ou la supprimer ?... Pour l'instant, je vais faire au feeling : si nous en avons toutes les deux envie, on la fera mais si je sens que ce n'est pas indispensable ou que je ne suis pas disposée à la faire, on l'évitera.
Voilà voilà... finalement le sevrage naturel n'est pas pour nous. Les projets d'agrandissement de la famille, mon besoin de me retrouver un chouia, l'envie de voir évoluer cet allaitement, la pression de l'entourage (pas proche, le Papa est très soutenant) et sans doute d'autres raisons non identifiées font que nous n'iront pas jusqu'à 3 ou 4 ans d'allaitement. Je sais que je ne serai pas jugée ici, mais j'avoue que ça m'a posé des questions existentielles : aller jusqu'au bout des besoins/envies de ma fille ou jusqu'au bout des miennes ?... Difficile dilemme !
Ayééé ! Cette fois nous voilà sur le chemin du sevrage mais alors trèèès progressif Je ne suis pas encore prête à un sevrage complet mais par contre je ressens le besoin d'évoluer sur notre pratique de l'allaitement.
Le facteur déclenchant, ça a été cette voisine qui a allaité 2 ans et qui a sevré très brutalement en laissant pleurer sa fille dans son lit, etc... Pas forcément parce qu'elle voulait sevrer (en plus) mais parce que son mari voulait qu'elle arrête. Ça m'a un peu remuée, je n'ai pas envie qu'on en arrive là. Et puis j'ai bien envie de dormir la nuit. Et si on arrive (un jour !) à avoir numérobis, je crois que j'ai besoin de quelques mois (semaines ?) un peu off de cet allaitement qui n'a jamais posé de souci si ce n'est que je n'ai finalement jamais retrouvé mon corps rien que pour moi (un peu d'égoïsme dans ce monde du maternage proximal).
Bref : sevrage progressif en cours !
Première étape actuelle : le sevrage de nuit. Depuis 1 semaine ma luciole (la bien nommée) ne tète plus la nuit. Et ça se passe plutôt bien ! Quand elle se réveille, son père ou moi lui parlons tout doucement, lui proposons de l'eau, lui racontons une histoire et elle se rendort assez vite et bien sereine.
En journée, quand nous sommes ensemble, la tétée de la mi-matinée et celle de la fin d'après-midi disparaissent aussi (de mon fait).
Ce qui nous laisse la tétée du matin, celle de la sieste et celle de la nuit. J'aimerais bien stabiliser ce rythme pendant quelques temps avant de passer à l'étape suivante. Il me reste des questionnements relatifs à la tétée de retrouvailles (après une journée de boulot/crèche) : la garder ou la supprimer ?... Pour l'instant, je vais faire au feeling : si nous en avons toutes les deux envie, on la fera mais si je sens que ce n'est pas indispensable ou que je ne suis pas disposée à la faire, on l'évitera.
Voilà voilà... finalement le sevrage naturel n'est pas pour nous. Les projets d'agrandissement de la famille, mon besoin de me retrouver un chouia, l'envie de voir évoluer cet allaitement, la pression de l'entourage (pas proche, le Papa est très soutenant) et sans doute d'autres raisons non identifiées font que nous n'iront pas jusqu'à 3 ou 4 ans d'allaitement. Je sais que je ne serai pas jugée ici, mais j'avoue que ça m'a posé des questions existentielles : aller jusqu'au bout des besoins/envies de ma fille ou jusqu'au bout des miennes ?... Difficile dilemme !