Et voilà je crois que notre tour arrive, à Crapichou et moi 🥹
Il a donc bientôt 28 mois, et sans aucune volonté de ma part, une fin d’allaitement se met doucement en place.
Je ne saurais dire depuis quand ou quoi, tellement cela s’est fait naturellement.
Il a commencé à, parfois, ne plus me sauter dessus tout de suite quand j’arrivais chez la nounou, dans l’été.
Puis espacer un peu plus les tétées, même quand j’étais avec lui toute la journée.
Depuis fin août je ne sens plus le réflexe d’éjection.
Peut-être un changement hormonal de mon côté aussi, mes cycles changent un peu.
En tous cas les tétées ont vraiment diminuées en quantité de lait pour lui depuis. Mais il ne s’en ai jamais plaint.
Puis des tétées plus courtes, mais toujours les deux seins, il est intraitable là-dessus
.
Depuis quelques jours, je me force aussi à ne pas proposer. L’habitude, le besoin d’entretenir ma lactation, la facilité,… bref, à moi aussi de le suivre et ne pas repartir en arrière.
Je lui en parle aussi.
Avec sincérité et facilité (j’ai fait mon travail émotionnel, pour ne pas créer de regrets*), je lui dis qu’il grandit et qu’il n’aura bientôt plus besoin de téter.
Quand il le souhaitera.
Ces jours-ci je lui ai demandé plusieurs fois s’il y avait du lait, il m’a répondu par la négative
, mais à continuer à téter.
Je sens bien qu’il prend surtout le côté câlin maintenant, et je trouve ça chouette.
Ce soir par exemple, il s’endort avec son papa, sans avoir eu de tétée avec moi avant, pour la première fois
.
On va voir, sûrement encore quelques semaines, voire mois, de tétées épisodiques devant nous avant de passer à une relation physique différente.
*Je me suis un peu voilée la face pendant quelques semaines, mais là ce y est j’ai accepté qu’on se dirigeait vers une fin d’allaitement, tranquillement.
Je ne l’avais pas vécu pour mon aînée, sevrée d’elle même pendant la grossesse de Crapichou. Je me demandais parfois comment cela allait se passer, la suite m’a été amenée sur un plateau par Crapichou en fait
.
Que demander de plus qu’un sevrage qu’on ne sent pas se mettre en place ?
Il a donc bientôt 28 mois, et sans aucune volonté de ma part, une fin d’allaitement se met doucement en place.
Je ne saurais dire depuis quand ou quoi, tellement cela s’est fait naturellement.
Il a commencé à, parfois, ne plus me sauter dessus tout de suite quand j’arrivais chez la nounou, dans l’été.
Puis espacer un peu plus les tétées, même quand j’étais avec lui toute la journée.
Depuis fin août je ne sens plus le réflexe d’éjection.
Peut-être un changement hormonal de mon côté aussi, mes cycles changent un peu.
En tous cas les tétées ont vraiment diminuées en quantité de lait pour lui depuis. Mais il ne s’en ai jamais plaint.
Puis des tétées plus courtes, mais toujours les deux seins, il est intraitable là-dessus
.Depuis quelques jours, je me force aussi à ne pas proposer. L’habitude, le besoin d’entretenir ma lactation, la facilité,… bref, à moi aussi de le suivre et ne pas repartir en arrière.
Je lui en parle aussi.
Avec sincérité et facilité (j’ai fait mon travail émotionnel, pour ne pas créer de regrets*), je lui dis qu’il grandit et qu’il n’aura bientôt plus besoin de téter.
Quand il le souhaitera.
Ces jours-ci je lui ai demandé plusieurs fois s’il y avait du lait, il m’a répondu par la négative
, mais à continuer à téter.Je sens bien qu’il prend surtout le côté câlin maintenant, et je trouve ça chouette.
Ce soir par exemple, il s’endort avec son papa, sans avoir eu de tétée avec moi avant, pour la première fois
.On va voir, sûrement encore quelques semaines, voire mois, de tétées épisodiques devant nous avant de passer à une relation physique différente.
*Je me suis un peu voilée la face pendant quelques semaines, mais là ce y est j’ai accepté qu’on se dirigeait vers une fin d’allaitement, tranquillement.
Je ne l’avais pas vécu pour mon aînée, sevrée d’elle même pendant la grossesse de Crapichou. Je me demandais parfois comment cela allait se passer, la suite m’a été amenée sur un plateau par Crapichou en fait
. Que demander de plus qu’un sevrage qu’on ne sent pas se mettre en place ?
. Mais j’étais encore moins tentée par un sevrage forcé, je ne voyais pas comment faire ça, je ne m’en sentais pas capable.
).