Bonjour à toutes,
Mon fils a eu 1 an ce mois ci, il est bien diversifié. Il refuse le biberon de mon lait chez la nounou depuis le mois de mars (autres contenants : verre, tasse, softcup, cuillère, même combat), même l'eau en biberon ne passe pas, je lui fait des petits flans de mon lait avec de l'agar agar et de la fleur d'oranger.
Depuis quelques mois, il ne tête plus que matin et soir (ma volonté de cesser les tétées nocturnes car j'étais épuisée + reprise du boulot et des gardes). J'ai continué de tirer mon lait en journée et de le faire téter quand j'étais là jusque fin mai, puis s'il tétait le midi il n'avait pas assez le soir alors j'ai arrêté de lui donner le sein le midi (et arrêté de tirer).
Depuis 1 mois, il a décidé de bouder 1 sein.
On fait donc la tétée du petit matin (réveil à 5h) et celle du soir (pour s'endormir ou non, ça dépend de lui et de sa fatigue) sur un seul sein.
Depuis quelques semaines, la tétée du petit matin me pèse un peu : c'est trop tôt, je suis épuisée (je pense que je frôle le burn out, maternel ou lié au boulot je ne sais pas, je n'arrive pas à faire la part des choses), parfois avant 5h, j'ai mal au dos et au coccyx dans n'importe quelle position, j'arrive de moins en moins à me rendormir, il me met des coups de pieds, il ne se rendort pas systématiquement non plus, ...
Et depuis quelques jours, ça me pèse encore plus, et ça me fait mal au téton ... Il ne mord pas, il tétouille, mais ça me fait une sensation de brûlure, qui ajoutée à mon inconfort de position et ma fatigue rendent cette tétée du matin désagréable pour moi ...
Je pleure en l'écrivant car je ne veux pas l'admettre. Je pensais avoir le temps de me préparer au sevrage, et pas avoir envie de rejeter mon bébé presque du jour au lendemain ...
Ce matin je l'ai fait téter 15 minutes mais après je n'en pouvais plus, ça a été un déchirement pas possible quand je l'ai retiré du sein, lui qui était si calme juste avant ...
Je pense que cette tétée comme celle du soir est plus "câlin" que "nutritive", et je ne sais pas comment je vais pouvoir le faire passer à autre chose ...
Son papa est très présent, ce matin il l'a pris en portage pour qu'il se rendorme mais du coup c'est lui qui ne peut pas dormir ...
Ça me fend le cœur de le voir pleurer quand je l'enlève du sein, j'ai l'impression de ne pas subvenir à ses besoins, de l'abandonner, de l'empêcher de dormir ....
Comment on fait un sevrage en douceur ?
Quelles alternatives pour essayer de le rendormir le matin ? J'espère que ça sera seulement histoire de quelques jours ...
Puis je garder la tétée du soir, qui ne pose pas de problème pour le moment, pendant quelques temps (car si douleur pour moi, le papa prend le relais pour l'endormir à bras) ?
Je suis désolée, mon message est peut-être confus, mais je suis perdue ...
Je pensais sevrer seulement en septembre octobre car bébé doit passer une semaine sans mois en novembre ... Je suis complètement abattue par mes propres émotions/réactions que je n'avais pas anticipé, je m'en veux tellement de lui infliger ça ...
Merci pour vos mots ...
Mon fils a eu 1 an ce mois ci, il est bien diversifié. Il refuse le biberon de mon lait chez la nounou depuis le mois de mars (autres contenants : verre, tasse, softcup, cuillère, même combat), même l'eau en biberon ne passe pas, je lui fait des petits flans de mon lait avec de l'agar agar et de la fleur d'oranger.
Depuis quelques mois, il ne tête plus que matin et soir (ma volonté de cesser les tétées nocturnes car j'étais épuisée + reprise du boulot et des gardes). J'ai continué de tirer mon lait en journée et de le faire téter quand j'étais là jusque fin mai, puis s'il tétait le midi il n'avait pas assez le soir alors j'ai arrêté de lui donner le sein le midi (et arrêté de tirer).
Depuis 1 mois, il a décidé de bouder 1 sein.
On fait donc la tétée du petit matin (réveil à 5h) et celle du soir (pour s'endormir ou non, ça dépend de lui et de sa fatigue) sur un seul sein.
Depuis quelques semaines, la tétée du petit matin me pèse un peu : c'est trop tôt, je suis épuisée (je pense que je frôle le burn out, maternel ou lié au boulot je ne sais pas, je n'arrive pas à faire la part des choses), parfois avant 5h, j'ai mal au dos et au coccyx dans n'importe quelle position, j'arrive de moins en moins à me rendormir, il me met des coups de pieds, il ne se rendort pas systématiquement non plus, ...
Et depuis quelques jours, ça me pèse encore plus, et ça me fait mal au téton ... Il ne mord pas, il tétouille, mais ça me fait une sensation de brûlure, qui ajoutée à mon inconfort de position et ma fatigue rendent cette tétée du matin désagréable pour moi ...
Je pleure en l'écrivant car je ne veux pas l'admettre. Je pensais avoir le temps de me préparer au sevrage, et pas avoir envie de rejeter mon bébé presque du jour au lendemain ...
Ce matin je l'ai fait téter 15 minutes mais après je n'en pouvais plus, ça a été un déchirement pas possible quand je l'ai retiré du sein, lui qui était si calme juste avant ...
Je pense que cette tétée comme celle du soir est plus "câlin" que "nutritive", et je ne sais pas comment je vais pouvoir le faire passer à autre chose ...
Son papa est très présent, ce matin il l'a pris en portage pour qu'il se rendorme mais du coup c'est lui qui ne peut pas dormir ...
Ça me fend le cœur de le voir pleurer quand je l'enlève du sein, j'ai l'impression de ne pas subvenir à ses besoins, de l'abandonner, de l'empêcher de dormir ....
Comment on fait un sevrage en douceur ?
Quelles alternatives pour essayer de le rendormir le matin ? J'espère que ça sera seulement histoire de quelques jours ...
Puis je garder la tétée du soir, qui ne pose pas de problème pour le moment, pendant quelques temps (car si douleur pour moi, le papa prend le relais pour l'endormir à bras) ?
Je suis désolée, mon message est peut-être confus, mais je suis perdue ...
Je pensais sevrer seulement en septembre octobre car bébé doit passer une semaine sans mois en novembre ... Je suis complètement abattue par mes propres émotions/réactions que je n'avais pas anticipé, je m'en veux tellement de lui infliger ça ...
Merci pour vos mots ...
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