Hippooizeau
Montée de lait
Bonjour à toutes,
J'ai découvert sur le forum le terme de milk blues que je trouve très touchant et que je pense traverser en ce moment avec mon deuxième et dernier enfant malgré un allaitement assez long et pour autant pas sevré naturellement. Mais voilà, l'entrée en école maternelle, le fait de ne pas vouloir trop privilégier face à l'ainé que j'ai allaité deux ans et demi, le reste du monde qui reste encore assez incompréhensif et la fatigue (voire l'épuisement) ont pris le dessus. Peut-être que ce n'est pas plus mal de donner un coup de pouce à l'émancipation et cela me semble tout de même être le moment propice. A partir du moment où j'ai confirmé le sevrage, même si cela a été un moment difficile à faire accepter et à traverser, depuis, ça se passe bien. Je redoutais les couchers mais son sommeil n'est finalement pas du tout perturbé, ça me réconforte et ça pâlit au manque.
La crise de la quarantaine y est aussi surement pour quelque chose, en tous cas c'est un moment de bascule. L'allaitement me permettait de contrebalancer les sacrifices. Maintenant je dois me rééquilibrer autrement et trouver comment ajuster la balance, comment retrouver le cap de ce que j'avais abandonné, voir ce qui est encore possible tout en restant une maman...
Au niveau physique, ma posture a bien "morflé" et je me retrouve avec un début de bosse de bison, un problème de cervicales. Avez-vous eu des soucis similaires et comment les avez-vous résolus? J'ai fait de l’ostéopathie et je suis suivie par un kiné actuellement mais cela ne rentre pas facilement dans l'ordre. De manière générale, quels soutiens peut-on trouver ? J'ai le sentiment de très mal connaitre les changements hormonaux et pourtant ils sont si présents à chaque moment clé !!! Je suppose que je suis confrontée à un manque de l'hormone de l'amour ! Y'aurait-il des huiles essentielles, de l'homéopathie ou des infusions qui peuvent aider? In fine comment on fait pour se faire du bien ??? Je me sens un peu démunie et je regrette déjà de certainement ne pas être la seule, même si je me réjouis toujours de l'existence de ce forum .
J'ai découvert sur le forum le terme de milk blues que je trouve très touchant et que je pense traverser en ce moment avec mon deuxième et dernier enfant malgré un allaitement assez long et pour autant pas sevré naturellement. Mais voilà, l'entrée en école maternelle, le fait de ne pas vouloir trop privilégier face à l'ainé que j'ai allaité deux ans et demi, le reste du monde qui reste encore assez incompréhensif et la fatigue (voire l'épuisement) ont pris le dessus. Peut-être que ce n'est pas plus mal de donner un coup de pouce à l'émancipation et cela me semble tout de même être le moment propice. A partir du moment où j'ai confirmé le sevrage, même si cela a été un moment difficile à faire accepter et à traverser, depuis, ça se passe bien. Je redoutais les couchers mais son sommeil n'est finalement pas du tout perturbé, ça me réconforte et ça pâlit au manque.
La crise de la quarantaine y est aussi surement pour quelque chose, en tous cas c'est un moment de bascule. L'allaitement me permettait de contrebalancer les sacrifices. Maintenant je dois me rééquilibrer autrement et trouver comment ajuster la balance, comment retrouver le cap de ce que j'avais abandonné, voir ce qui est encore possible tout en restant une maman...
Au niveau physique, ma posture a bien "morflé" et je me retrouve avec un début de bosse de bison, un problème de cervicales. Avez-vous eu des soucis similaires et comment les avez-vous résolus? J'ai fait de l’ostéopathie et je suis suivie par un kiné actuellement mais cela ne rentre pas facilement dans l'ordre. De manière générale, quels soutiens peut-on trouver ? J'ai le sentiment de très mal connaitre les changements hormonaux et pourtant ils sont si présents à chaque moment clé !!! Je suppose que je suis confrontée à un manque de l'hormone de l'amour ! Y'aurait-il des huiles essentielles, de l'homéopathie ou des infusions qui peuvent aider? In fine comment on fait pour se faire du bien ??? Je me sens un peu démunie et je regrette déjà de certainement ne pas être la seule, même si je me réjouis toujours de l'existence de ce forum .