Bonjour à tous,
La fin de notre belle aventure d allaitement c est arrêté il y a maintenant une dizaine de jour.
Ce sevrage c est venu par mon envie d arrêter l allaittement. J en ai parler à ma fille et il a pu se faire progressivement et j ai essayer au maximum d y aller en douceur. De mon côté je n'ai aucune douleurs aux seins, j étais confiante et à l écoute d ema fille qui pour elle était moin facile. Donc j ai palier avec des câlins, du portage, pas mal de temps avec elle...!
J ai ete opérée des dents de sagesse ya une semaine do c un peu fatiguée et moin presente mais ja i fais de mon moeu pour continuer à être à ses cote.
Et depuis deux jours j ai des douleurs au sein gauche, du lait qui coule en petit quantité, et un sorte baby blues!
Pourtant ce choix je l ai fais je conscience et j en avais envie. J ai ete plus loin que ce que je souhaitais au début de l allaitement. Et j en suis fier.
Alors je sais pas trop quoi en penser et comment me sortir de cet état? En parler à une professionnelle ( pyschologue, sage femme? ), me complementer avec des vitamines? Ou autres?
Merci à vous pour vos retours.
Belle journée
La fin de notre belle aventure d allaitement c est arrêté il y a maintenant une dizaine de jour.
Ce sevrage c est venu par mon envie d arrêter l allaittement. J en ai parler à ma fille et il a pu se faire progressivement et j ai essayer au maximum d y aller en douceur. De mon côté je n'ai aucune douleurs aux seins, j étais confiante et à l écoute d ema fille qui pour elle était moin facile. Donc j ai palier avec des câlins, du portage, pas mal de temps avec elle...!
J ai ete opérée des dents de sagesse ya une semaine do c un peu fatiguée et moin presente mais ja i fais de mon moeu pour continuer à être à ses cote.
Et depuis deux jours j ai des douleurs au sein gauche, du lait qui coule en petit quantité, et un sorte baby blues!
Pourtant ce choix je l ai fais je conscience et j en avais envie. J ai ete plus loin que ce que je souhaitais au début de l allaitement. Et j en suis fier.
Alors je sais pas trop quoi en penser et comment me sortir de cet état? En parler à une professionnelle ( pyschologue, sage femme? ), me complementer avec des vitamines? Ou autres?
Merci à vous pour vos retours.
Belle journée