Bonjour tout le monde,
Un post à la fois journal de sevrage et recherche de conseils… J’apprécie moi-même beaucoup de lire les expériences des autres sur ce forum donc je voulais relater notre aventure ici aussi
Je commence par ma question, pour celles qui ne voudraient pas lire tout le pavé du récit de sevrage
:
Il nous reste actuellement une tétée le soir et 2 la nuit (vers 3 et 6 heures). Le matin ma fille est d’humeur massacrante, pleure, cherche le sein… Je pensais continuer à supprimer une tétée par semaine mais là je suis tentée de tout arrêter d’un coup, ça va être super dur mais j’espère qu’après elle « oublierait » le sein plus vite que si elle continue à téter à certains moments. Qu’en pensez-vous ? Pour celles qui ont sevré totalement, ça a pris combien de temps pour que bébé arrête de chercher le sein ?
Et puis le journal jusqu'à présent… Déjà, raisons de notre sevrage :
J’ai choisi de sevrer ma fille pour cet été (elle vient d’avoir 18 mois) pour diverses raisons plus ou moins rationnelles :
- on aimerait mettre bébé 2 en route mais pas de retour de couches
- l’allaitement fait malheureusement comme barrière entre ma fille et son père ainsi que le reste de la famille. Je suis persuadée que cela n’est pas dû à l’allaitement en lui-même mais à la façon dont mon entourage le perçoit, mais je n’arrive pas à les en convaincre. Je me dis qu’au moins une fois sevrée cet argument disparaîtra. Papa refuse notamment que je m’absente pour une nuit tant que Puce n’est pas sevrée, j’ai un métier où je dois beaucoup voyager et du coup j’emmène ma fille partout avec moi avec soit grand-parents soit recherche de babysitters sur place, c’est épuisant. (C’est frustrant car j’ai vu mes amies allaitantes s’absenter sans problème, et je pense aussi que ce ne sera pas plus facile que je m’absente après le sevrage. Mais bon.)
- on déménage cet été et j’aimerais avoir sevré d’ici-là, pour mettre en place un nouveau quotidien sans l’allaitement dans le nouvel appart.
- J’ai la chance d’avoir plusieurs amies qui ont fait des allaitements non écourtés, je trouve ça super beau comme relation, mais en même temps je n’en ai pas envie pour nous… Ca c’est le côté vraiment pas rationnel, je n’assume pas vis-à-vis du regard de la famille je pense. C’est dommage mais j’accepte ma faiblesse…
Ensuite, le déroulé jusqu’à maintenant :
A suivre avec les prochaines tétées... Voir si je supprime tout d'un coup ou pas
Un post à la fois journal de sevrage et recherche de conseils… J’apprécie moi-même beaucoup de lire les expériences des autres sur ce forum donc je voulais relater notre aventure ici aussi

Je commence par ma question, pour celles qui ne voudraient pas lire tout le pavé du récit de sevrage

Il nous reste actuellement une tétée le soir et 2 la nuit (vers 3 et 6 heures). Le matin ma fille est d’humeur massacrante, pleure, cherche le sein… Je pensais continuer à supprimer une tétée par semaine mais là je suis tentée de tout arrêter d’un coup, ça va être super dur mais j’espère qu’après elle « oublierait » le sein plus vite que si elle continue à téter à certains moments. Qu’en pensez-vous ? Pour celles qui ont sevré totalement, ça a pris combien de temps pour que bébé arrête de chercher le sein ?
Et puis le journal jusqu'à présent… Déjà, raisons de notre sevrage :
J’ai choisi de sevrer ma fille pour cet été (elle vient d’avoir 18 mois) pour diverses raisons plus ou moins rationnelles :
- on aimerait mettre bébé 2 en route mais pas de retour de couches
- l’allaitement fait malheureusement comme barrière entre ma fille et son père ainsi que le reste de la famille. Je suis persuadée que cela n’est pas dû à l’allaitement en lui-même mais à la façon dont mon entourage le perçoit, mais je n’arrive pas à les en convaincre. Je me dis qu’au moins une fois sevrée cet argument disparaîtra. Papa refuse notamment que je m’absente pour une nuit tant que Puce n’est pas sevrée, j’ai un métier où je dois beaucoup voyager et du coup j’emmène ma fille partout avec moi avec soit grand-parents soit recherche de babysitters sur place, c’est épuisant. (C’est frustrant car j’ai vu mes amies allaitantes s’absenter sans problème, et je pense aussi que ce ne sera pas plus facile que je m’absente après le sevrage. Mais bon.)
- on déménage cet été et j’aimerais avoir sevré d’ici-là, pour mettre en place un nouveau quotidien sans l’allaitement dans le nouvel appart.
- J’ai la chance d’avoir plusieurs amies qui ont fait des allaitements non écourtés, je trouve ça super beau comme relation, mais en même temps je n’en ai pas envie pour nous… Ca c’est le côté vraiment pas rationnel, je n’assume pas vis-à-vis du regard de la famille je pense. C’est dommage mais j’accepte ma faiblesse…
Ensuite, le déroulé jusqu’à maintenant :
- avril : suppression des tétées de l’après-midi
- mi-avril : plus d’endormissement au sein le soir : très dur une semaine, cris, Puce qui se rejette très violemment de mes bras. Ca va mieux mais elle pleure toujours pour s’endormir (que ce soit au lit ou dans nos bras) alors qu’avant c’était tout doux…
- aussi à partir de mi-avril : suppression progressive des tétées en début de nuit (actuellement pas de tétée avant 3 heures du mat) : début aussi très difficile puis elle s’est résignée, elle se réveille toujours autant mais actuellement se rendort plus vite, parfois même dans son lit si on est à côté.
- fin avril : suppression de la tétée de retrouvailles après la crèche : très compliqué 15 jours, maintenant ça va mieux.
- début mai : suppression des tétées du matin. Ca c’est vraiment chaud, elle est d’humeur massacrante le matin jusqu’à ce qu’on sorte pour aller à la crèche ou au parc les jours libres. Le problème c’est que moi le matin j’ai vraiment besoin de mon café/ptit déj avant de me mettre en route
- fin mai : suppression de la tétée du midi avant la sieste les jours où elle est avec moi. Ici aussi les premiers jours sont très durs, elle pleure toujours mais ça va déjà mieux.
A suivre avec les prochaines tétées... Voir si je supprime tout d'un coup ou pas
