Iriss
Colostrum
Bonjour,
J'ai 37 ans, le 21 juillet 2014 j'ai eu le plaisir d'accueillir mon petit garçon, Romain.
J’ai naturellement choisit de tenter l’aventure de l’allaitement maternelle sans trop savoir ce qui m’attendais ni comment m’y prendre. Mon choix a été contesté par la majorité de mon entourage en dehors de mes parents et de mon compagnon mais je tiens bon et leur soutien est essentiel quand c’est difficile.
L’hôpital où j’ai accouché a été formidable pour le suivi et la préparation de grossesse mais une fois l’accouchement passé je me suis retrouvée à devoir me débrouiller seule et sans info. J’ai d’ailleurs appris plus en un surf sur la leache ligue qu’en 7 jours d’hospitalisation --‘
Sans compter les paroles d’une sage femme bien culpabilisante me disant que je n’avais pas assez de lait et que mon bébé avait faim et ne prenait pas assez de poids… ce qui a fait de moi une fidèle de la balance à la pmi à ma sortie de la maternité.
J’ai bien sûr eu des crevasses dès le second jour tellement la position d’allaitement de mon titi était fantaisiste… et une tendinite au bout d’une semaine… bref le début a été chaotique.
Aujourd’hui mon fils va avoir 6 mois, j’ai repris le travail et je l’allaite toujours. C’est un allaitement exclusif avec parfois un complément de lait artificiel (en plus, pas à la place de… à des fréquences irrégulières) sur les conseils du pédiatre qui je pense répond plus à ma peur de ne pas nourrir assez mon fils (générée par cette délicate sf à la maternité) qu’à un réel besoin.
Je ne regrette pas mon choix d’allaiter ni de m’être obstinée (même à 3h du matin et épuisée^^), je suis tellement convaincue que j’envisage un co-allaitement pour la prochaine grossesse que nous projetons.
Ravie de vous rejoindre ^^
J'ai 37 ans, le 21 juillet 2014 j'ai eu le plaisir d'accueillir mon petit garçon, Romain.
J’ai naturellement choisit de tenter l’aventure de l’allaitement maternelle sans trop savoir ce qui m’attendais ni comment m’y prendre. Mon choix a été contesté par la majorité de mon entourage en dehors de mes parents et de mon compagnon mais je tiens bon et leur soutien est essentiel quand c’est difficile.
L’hôpital où j’ai accouché a été formidable pour le suivi et la préparation de grossesse mais une fois l’accouchement passé je me suis retrouvée à devoir me débrouiller seule et sans info. J’ai d’ailleurs appris plus en un surf sur la leache ligue qu’en 7 jours d’hospitalisation --‘
Sans compter les paroles d’une sage femme bien culpabilisante me disant que je n’avais pas assez de lait et que mon bébé avait faim et ne prenait pas assez de poids… ce qui a fait de moi une fidèle de la balance à la pmi à ma sortie de la maternité.
J’ai bien sûr eu des crevasses dès le second jour tellement la position d’allaitement de mon titi était fantaisiste… et une tendinite au bout d’une semaine… bref le début a été chaotique.
Aujourd’hui mon fils va avoir 6 mois, j’ai repris le travail et je l’allaite toujours. C’est un allaitement exclusif avec parfois un complément de lait artificiel (en plus, pas à la place de… à des fréquences irrégulières) sur les conseils du pédiatre qui je pense répond plus à ma peur de ne pas nourrir assez mon fils (générée par cette délicate sf à la maternité) qu’à un réel besoin.
Je ne regrette pas mon choix d’allaiter ni de m’être obstinée (même à 3h du matin et épuisée^^), je suis tellement convaincue que j’envisage un co-allaitement pour la prochaine grossesse que nous projetons.
Ravie de vous rejoindre ^^
