Bonjour à toutes (et tous qui sait)
Je suis la maman d'un petit garçon de 17 mois que j'allaite encore. c'est surtout le matin et le soir maintenant. il "réclame" jamais la journée.
avant ma grossesse ,je me disais l'allaitement? non c'est pas pour moi
pendant ma grossesse, j'ai commencé à me renseigner et à me dire pourquoi pas.
En accouchant je me suis dis, on verra bien si ça marche
au bout de 6 semaines (et donc les 1ere difficultés passées ) , je me suis dis jusqu'à la reprise du boulot. Et puis finalement j'ai pris 6 mois de congé parental
Au bout de 6 mois, je me suis dit , ba pourquoi arrêter maintenant? allez, on va jusqu'à un an .
Les réflexions des gens commence à se faire sentir vraiment à partir de là.
Maintenant ça fait 17 mois d'allaitement, régulièrement je me dis que c'est la fin, et régulièrement je me fait avoir
Et les gens, et bien, si ils ne me posent pas la question, j'ai encore du mal à le clamer haut et fort , par contre s'ils me demandent, je dit oui en relevant la tête , et ça, j'en suis fière
Un grand merci à la LLL, pour vos réponses (je me souviens encore de mes coup de fils le weekend, désespérée) , votre soutien. avec vous, on se sent normales
Je suis la maman d'un petit garçon de 17 mois que j'allaite encore. c'est surtout le matin et le soir maintenant. il "réclame" jamais la journée.
avant ma grossesse ,je me disais l'allaitement? non c'est pas pour moi
pendant ma grossesse, j'ai commencé à me renseigner et à me dire pourquoi pas.
En accouchant je me suis dis, on verra bien si ça marche
au bout de 6 semaines (et donc les 1ere difficultés passées ) , je me suis dis jusqu'à la reprise du boulot. Et puis finalement j'ai pris 6 mois de congé parental
Au bout de 6 mois, je me suis dit , ba pourquoi arrêter maintenant? allez, on va jusqu'à un an .
Les réflexions des gens commence à se faire sentir vraiment à partir de là.
Maintenant ça fait 17 mois d'allaitement, régulièrement je me dis que c'est la fin, et régulièrement je me fait avoir
Un grand merci à la LLL, pour vos réponses (je me souviens encore de mes coup de fils le weekend, désespérée) , votre soutien. avec vous, on se sent normales