Oléa
Hyperlactation
J'ai fait un choix " éducatif " différent de celui de mon frère et sa compagne. Pour faire simple, je suis dans le maternage proximal et lui dans le distal. Nous essayons tous les deux de faire ce qu il y a de mieux pour nos enfants, c'est quelque chose de très important pour nous deux et mon frère s y applique.
Je ne suis pas apte à dire qu un maternage est mieux qu'un autre. Je pense surtout que ce qui est bien dans une famille, ne correspond pas au besoin d une autre famille.
Ma mère et ma grand-mère m ont appris à ne pas juger les choix différents, de les respecter et surtout de ne jamais être intrusive dans la vie de famille des autres. C'est une valeur familiale à laquelle je tiens énormément.
Lorsque ma belle soeur a été enceinte, je lui ai raconté qu une amie et moi élevions nos enfants totalement différemment et qu il n'y avait pas de jugement, elle m'a dit que c'était bien ainsi.
Sauf que... Au début de ma deuxième grossesse, j'ai découvert que mon frère et sa femme critiquaient violemment mon maternage.
Cela m'a beaucoup blessée. Je me suis dit que juger à mon tour ne ferait qu empirer la situation.
C'est donc pleine d utopie que je suis allée fêter Noël chez eux. Leur fils aîné, a surexcité mon fils, mon petit bonhomme d amour, qui est toujours " sage", et mon fils s est fait grondé par ma belle soeur parce qu'il a fait tomber un jouet en plastique par terre... Et oui, un enfant qui est dans le maternage proximal est un enfant roi, et c'est vraiment insupportable !
Bon leur fils cumule les avertissements de discipline à l école, malgré toutes les menaces, punitions et fessés qu il s est pris depuis tout petit, mais c'est mon fils, qui est un amour, qui est chiant ! Les autres personnes ont également été choquées, ne comprenant pas pourquoi le petit se faisait gronder et pourquoi ma belle soeur lui a mal parlé.
Bon, je suis sans doute louve, mais je n accepte pas que l on passe ses nerfs sur mon fils.
La fête de Noël a été raccourci pour nous, mon fils était fatigué, avec les hormones de fin de grossesse j étais pas bien, nous sommes partis. Je me demande pourquoi je perds mon temps avec des gens intrusifs qui jugent ma famille.
Il y a peu j avais parlé d un frère et d une soeur qui avaient fait des choix éducatifs différents, au point de ne plus se fréquenter, mais qu au final, leurs enfants étaient devenus de jeunes adultes bien dans leurs têtes, car ce qui comptait c était l amour. Je me trouve bien utopiste, cette différence d éducation peut peut-être bien se passer s il y a du respect, mais à partir du moment où il y a jugement et intrusion, est-ce vraiment possible ?
Je ne suis pas apte à dire qu un maternage est mieux qu'un autre. Je pense surtout que ce qui est bien dans une famille, ne correspond pas au besoin d une autre famille.
Ma mère et ma grand-mère m ont appris à ne pas juger les choix différents, de les respecter et surtout de ne jamais être intrusive dans la vie de famille des autres. C'est une valeur familiale à laquelle je tiens énormément.
Lorsque ma belle soeur a été enceinte, je lui ai raconté qu une amie et moi élevions nos enfants totalement différemment et qu il n'y avait pas de jugement, elle m'a dit que c'était bien ainsi.
Sauf que... Au début de ma deuxième grossesse, j'ai découvert que mon frère et sa femme critiquaient violemment mon maternage.
Cela m'a beaucoup blessée. Je me suis dit que juger à mon tour ne ferait qu empirer la situation.
C'est donc pleine d utopie que je suis allée fêter Noël chez eux. Leur fils aîné, a surexcité mon fils, mon petit bonhomme d amour, qui est toujours " sage", et mon fils s est fait grondé par ma belle soeur parce qu'il a fait tomber un jouet en plastique par terre... Et oui, un enfant qui est dans le maternage proximal est un enfant roi, et c'est vraiment insupportable !
Bon leur fils cumule les avertissements de discipline à l école, malgré toutes les menaces, punitions et fessés qu il s est pris depuis tout petit, mais c'est mon fils, qui est un amour, qui est chiant ! Les autres personnes ont également été choquées, ne comprenant pas pourquoi le petit se faisait gronder et pourquoi ma belle soeur lui a mal parlé.
Bon, je suis sans doute louve, mais je n accepte pas que l on passe ses nerfs sur mon fils.
La fête de Noël a été raccourci pour nous, mon fils était fatigué, avec les hormones de fin de grossesse j étais pas bien, nous sommes partis. Je me demande pourquoi je perds mon temps avec des gens intrusifs qui jugent ma famille.
Il y a peu j avais parlé d un frère et d une soeur qui avaient fait des choix éducatifs différents, au point de ne plus se fréquenter, mais qu au final, leurs enfants étaient devenus de jeunes adultes bien dans leurs têtes, car ce qui comptait c était l amour. Je me trouve bien utopiste, cette différence d éducation peut peut-être bien se passer s il y a du respect, mais à partir du moment où il y a jugement et intrusion, est-ce vraiment possible ?
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