MamanLibellule
Période de pointe
Bonjour à toutes et à tous!
Après de nombreux mois à arpenter ce site (plus d'un an, même), j'ai franchi le cap : Je m'inscris.
Enceinte, j'avais décidé d'aborder le sujet sans prise de tête: objectif allaitement minimum 1 mois. Si ça marche, tant mieux pour plus longtemps. Si ça ne marche pas, les laits du commerce feront parfaitement l'affaire.
Malgré tout, j'ai arpenté internet à la recherche de tous les témoignages possibles sur le sujet : pour, contre, mitigé,... J'ai tout lu, je me suis renseignée sur tous les cas de figures.
Ma fille est née, et j'ai eu la chance d'être très bien entourée à la maternité. L'équipe médicale m'a donné moult conseils et astuces à foison pour m'en sortir (position de bébé, goutte de lait pour réparer le mamelon endolori,...).
Le premier mois s'est assez bien déroulé. Ma fille étant une vraie vorace, la voir manger faisait vraiment plaisir. Seule la tété interminable du soir mettait ma patience à rude épreuve : 18h-22h non-stop. Ma fille s'endormait au sein... Mais se réveillait aussi sec dès que j'osais lui retirer. Les premiers soirs ont été difficiles, jusqu'à ce que je comprenne que c'était son fonctionnement. Je l'ai appelée "la tétée de la mort subite".
Je la mettais au sein vers 18h, je changeais de néné toutes les 20min sous ses cris indignés... Puis, vers 22h elle sombrait dans un sommeil profond et la nuit pouvait commencer. A une semaine de vie, elle dormait 5h d'affilées. A 2 semaines, elle dormait 6h30. A 3 semaines, elle dormait 8h.
La tétée "de la mort subite" était bien plus facile à gérer pour moi sachant qu'une nuit complète m'attendait ensuite.
J'ai donc voulu continuer l'allaitement plus loin. J'ai profité du congé maternité pour tirer mon lait et faire des provisions au congélateur.
J'ai continué à tirer mon lait au boulot. Jusqu'à 6 mois, je me disais. Puis 9. Puis, pourquoi ne pas attendre le sevrage?
Bref, ma fille a 9 mois 1/2 maintenant, je tire mon lait depuis 6 mois au boulot, et je lui prépare tous les soirs les biberons pour la crèche le lendemain. Ca demande un peu d'organisation, mais ça vaut le coup. Et une fois le rythme pris, c'est un vrai bonheur.
J'ai donc franchi le cap aujourd'hui de m'inscrire car vous m'avez aiguillé, rassuré, guidé et conseillé pendant tous ces mois. Avec mes petits 9 mois 1/2 d'expérience, je voulais vous remercier pour toute l'aide que vous m'avez apporté.
Sans vous, je ne me serais pas lancée dans l'aventure de l'allaitement... Du moins, pas aussi longtemps.
Merci
Après de nombreux mois à arpenter ce site (plus d'un an, même), j'ai franchi le cap : Je m'inscris.
Enceinte, j'avais décidé d'aborder le sujet sans prise de tête: objectif allaitement minimum 1 mois. Si ça marche, tant mieux pour plus longtemps. Si ça ne marche pas, les laits du commerce feront parfaitement l'affaire.
Malgré tout, j'ai arpenté internet à la recherche de tous les témoignages possibles sur le sujet : pour, contre, mitigé,... J'ai tout lu, je me suis renseignée sur tous les cas de figures.
Ma fille est née, et j'ai eu la chance d'être très bien entourée à la maternité. L'équipe médicale m'a donné moult conseils et astuces à foison pour m'en sortir (position de bébé, goutte de lait pour réparer le mamelon endolori,...).
Le premier mois s'est assez bien déroulé. Ma fille étant une vraie vorace, la voir manger faisait vraiment plaisir. Seule la tété interminable du soir mettait ma patience à rude épreuve : 18h-22h non-stop. Ma fille s'endormait au sein... Mais se réveillait aussi sec dès que j'osais lui retirer. Les premiers soirs ont été difficiles, jusqu'à ce que je comprenne que c'était son fonctionnement. Je l'ai appelée "la tétée de la mort subite".
Je la mettais au sein vers 18h, je changeais de néné toutes les 20min sous ses cris indignés... Puis, vers 22h elle sombrait dans un sommeil profond et la nuit pouvait commencer. A une semaine de vie, elle dormait 5h d'affilées. A 2 semaines, elle dormait 6h30. A 3 semaines, elle dormait 8h.
La tétée "de la mort subite" était bien plus facile à gérer pour moi sachant qu'une nuit complète m'attendait ensuite.
J'ai donc voulu continuer l'allaitement plus loin. J'ai profité du congé maternité pour tirer mon lait et faire des provisions au congélateur.
J'ai continué à tirer mon lait au boulot. Jusqu'à 6 mois, je me disais. Puis 9. Puis, pourquoi ne pas attendre le sevrage?
Bref, ma fille a 9 mois 1/2 maintenant, je tire mon lait depuis 6 mois au boulot, et je lui prépare tous les soirs les biberons pour la crèche le lendemain. Ca demande un peu d'organisation, mais ça vaut le coup. Et une fois le rythme pris, c'est un vrai bonheur.
J'ai donc franchi le cap aujourd'hui de m'inscrire car vous m'avez aiguillé, rassuré, guidé et conseillé pendant tous ces mois. Avec mes petits 9 mois 1/2 d'expérience, je voulais vous remercier pour toute l'aide que vous m'avez apporté.
Sans vous, je ne me serais pas lancée dans l'aventure de l'allaitement... Du moins, pas aussi longtemps.
Merci