Bonjour à tous,
Voici le contexte : Mon fils de 14 mois et est allaité sans difficultés depuis sa naissance, diversifié depuis ses 5 mois et mange très bien. Il n’a jamais voulu de tétine ni de doudou, ne prend correctement le biberon que depuis ses 12 mois et rejette le lait en poudre. Il ne s’endort qu’au sein pour les siestes et la nuit, c’est toujours la crise si papa prend l’initiative ou le relais.
Nous avons traversé des mois difficiles au début, avec des dizaines de réveils par nuits. À 7 mois, nous avons décidé de le mettre dans sa chambre et ne plus intervenir lorsqu’il se réveillait. Première nuit premier réveil, bébé n’a pleuré que 3 minutes avant de retourner se coucher pour le reste de la nuit. Deuxième nuit, 1 minute de pleurs. La troisième nuit était la bonne, depuis bébé est sevré la nuit et dort 12 heures non-stop.
Voici la situation actuelle : Mon mari a toujours soutenu cet allaitement, jusqu’aujourd’hui. Bébé a maintenant 14 mois, et mon mari trouve qu’il tête beaucoup trop la journée. Il commence à parler de sevrage car il trouve que notre fils est complètement dépendant et ne tète que pour le confort la plupart du temps. Il pense que cette situation n’est pas normale, qu’elle le pénalise lui dans sa relation avec bébé et qu’il faut maintenant limiter un maximum les « tétées réconfort » pour s’en tenir aux tétées « alimentaires. Le fait que notre fils me déshabille avec aplomb devant tout le monde en société n’arrange rien.
Je vois régulièrement des bébés de cet âge-là agrippés en permanence à leur tétine et ai donc tendance à penser que c’est un besoin de succion naturel et un comportement normal pour notre fils de vouloir téter très souvent (10+ fois dans la journée).
Nous bloquons sur ce débat depuis quelques semaines maintenant et la communication entre nous commence à en pâtir. Et puis techniquement, je vois pas comment limiter les tétées sans que ce soit la crise. Et je n’en vois pas le besoin personnellement, car je sais que cette situation ne sera pas éternelle.
Mon mari a-t-il raison ? Existe-t-il un compromis ?
Merci d’avance pour vos précieux retours
Voici le contexte : Mon fils de 14 mois et est allaité sans difficultés depuis sa naissance, diversifié depuis ses 5 mois et mange très bien. Il n’a jamais voulu de tétine ni de doudou, ne prend correctement le biberon que depuis ses 12 mois et rejette le lait en poudre. Il ne s’endort qu’au sein pour les siestes et la nuit, c’est toujours la crise si papa prend l’initiative ou le relais.
Nous avons traversé des mois difficiles au début, avec des dizaines de réveils par nuits. À 7 mois, nous avons décidé de le mettre dans sa chambre et ne plus intervenir lorsqu’il se réveillait. Première nuit premier réveil, bébé n’a pleuré que 3 minutes avant de retourner se coucher pour le reste de la nuit. Deuxième nuit, 1 minute de pleurs. La troisième nuit était la bonne, depuis bébé est sevré la nuit et dort 12 heures non-stop.
Voici la situation actuelle : Mon mari a toujours soutenu cet allaitement, jusqu’aujourd’hui. Bébé a maintenant 14 mois, et mon mari trouve qu’il tête beaucoup trop la journée. Il commence à parler de sevrage car il trouve que notre fils est complètement dépendant et ne tète que pour le confort la plupart du temps. Il pense que cette situation n’est pas normale, qu’elle le pénalise lui dans sa relation avec bébé et qu’il faut maintenant limiter un maximum les « tétées réconfort » pour s’en tenir aux tétées « alimentaires. Le fait que notre fils me déshabille avec aplomb devant tout le monde en société n’arrange rien.
Je vois régulièrement des bébés de cet âge-là agrippés en permanence à leur tétine et ai donc tendance à penser que c’est un besoin de succion naturel et un comportement normal pour notre fils de vouloir téter très souvent (10+ fois dans la journée).
Nous bloquons sur ce débat depuis quelques semaines maintenant et la communication entre nous commence à en pâtir. Et puis techniquement, je vois pas comment limiter les tétées sans que ce soit la crise. Et je n’en vois pas le besoin personnellement, car je sais que cette situation ne sera pas éternelle.
Mon mari a-t-il raison ? Existe-t-il un compromis ?
Merci d’avance pour vos précieux retours